Après l'arrivée de Charles de Jilinyle escorté par vingt soldats, les deux autres rois arrivèrent à leur tour simultanément à la réunion comme s'il s'était donner le mot mais j'en doutais fort car les relations entre ces deux souverains étaient quelques peu tumultueuses au point de se faire la guerre l'un l'autre. Lorsque leurs yeux se croisèrent, ils s'affrontèrent du regard et on pouvait lire sur leur visage comme dans un livre ouvert. On y voyait de la méfiance, de l'agressivité, de la vengeance et l'envie de s'étriper l'un l'autre. Ils avaient une telle haine entre eux qu'ils ne se lâchaient pas du regard et s'installèrent le plus loin possible l'un de l'autre. Ensuite le roi d'Argenteaux s'assis entre les deux, nous en face et tous les soldats se positionnèrent. Certains ce postaient juste derrière le roi, ceux avec des arcs et des flèches sur le chemin de ronde et le reste proche des colonnes. Quand le silence s'installa, je dis au roi d'une voix éxagérée pour attirer les rois qui se fusillaient du regard :
- Salutation à tous cher roi, bienvenue dans le pavillon de la première alliance où nous allons je l'espère créer l'union des rois qui sauvera la race des hommes de l'esclavage.
- Salutation seigneur Deirosis et ses incroyable acolytes. Dit Charles de Jilinyle en prenant un ton très solennel.
Je ne reçu aucune réponse des deux autres qui étaient totalement concentré sur leur rancoeur. Je fus contraint de les nommer individuellement pour attirer leur attention :
- Salutation roi Manelius, salutation roi Karteros.
- Excusez moi réalisateur de l'impossible, salutation à vous. S'excusa le dernier roi que nous avions rencontré dans notre précédente mission en luttant intérieurement pour ne pas tourner la tête vers son ennemis juré. Je commençais sérieusement à douter du fait que ces deux là puissent s'allier pour combattre ensemble.
- Salutation Thaomios et les autres. Dit le dernier roi ennuyé.
- Nous sommes aujourd'hui réunis pour débattre de la menace Januarka et trouver un moyen de la contrer ensemble. Je souhaite que vous parliez comme des alliés, presque des amis pour décider de comment contre-attaquer. Je souhaite que vous formiez une alliance solide dans lesquels les soldats des différentes bannières se battent côte à côte pour nous sauver de l'esclavage. Je souhaite plus que tout voir une grande armée humaine composé de tous les hommes en âge et en capacité de se battre à mes côtés dans l'espoir d'un avenir meilleur. Je désire voir le sang des Januarkas coulait à flot grâce à une stratégie mis en place et appliquée par vous roi du royaume des hommes. Bien des royaumes ce sont déjà écroulés par un manque d'unité et j'ai l'espoir que cela ne se réalise pas ici. Maintenant, je vais laisser Glalin, un nain d'un royaume voisin qui a vécu une guerre perdue d'avance face aux Januarkas et l'esclavage par ceux qui ont défait son peuple pourtant très puissant.
Glalin se dévoila devant les trois rois habillé d'un costume soigné et élégant. Les rois ne l'ayant jamais vu leur regardèrent surpris par sa taille et Manelius se moqua de lui caché derrière sa main. Le petit homme s'installa sur une chaise plus haute à côté de moi lui étant réservé et dit aux rois n'ayant jamais échangés avec lui :
- Salutation majesté. J'ai connu les Januarkas bien avant vous et je les connais aujourd'hui bien mieux que vous. Ils sont conquérants, insensibles, cruels, nombreux, puissants, forts, imprévisibles, agiles mais pas invincible. Une alliance solide peut les défaire même si nous n'arrivons pas à éliminer leur supériorité numérique. Pour preuve, j'ai un jour affronté un millier d'entre eux avec une maigre troupe d'environ deux cents soldats nains. Et nous avons réussi contre tout attente a divisé par deux leur nombre avant de nous rendre. Et je suis convaincu que si vous réussissez à réunir une armée comptant au moins la moitié de leur propre armée, vous réussirez à les vaincre. Ils ont été créés pour se reproduire rapidement pour compenser leur désavantage physique. Je pense qu'un seul de vos guerriers, sans gène ou charge dévastatrice, peut vaincre cinq guerriers ennemis à lui seul. Et je n'ose imaginer combien peut en tuer des guerriers talentueux comme Thaomios ou Kiarina. Donc suffisamment de soldats peuvent contrer la supériorité numérique de notre ennemi, ses armes de sièges, ses alliés d'une notre espèce et tous les avantages qu'ils arrivent à soutirer pour compenser leur faiblesse au combat. Il suffirait si vous vous alliez que chacun des soldats de l'armée humaine tue deux Januarkas seulement. Une unité peut vaincre le nombre, croyez moi. C'est ce qui a manqué à mon peuple, nous étions tellement divisés que nous combattions une horde de Januarkas avec une maigre armée en comparaison. J'ai eu la triste occasion de voir la dernière armée nain se faire massacrer depuis une tour j'étais prisonnié. C'était comme si un insecte combattait un animal au sommet de la chaîne alimentaire. Du ciel, j'ai vu un petit point affronter une masse sombre chargeant à toute vitesse. J'ai vu l'armée de mon peuple se faire submergé comme une vague sur une plage. Rapidement, les armures étincelantes des nains ont disparus dans le gris sombre des armures Januarkas. Malheureusement, les nains sont tous morts et les Januarkas sont presque sortis indemne de cette bataille en remportant ainsi la guerre. Finit-il avec presque les larmes aux yeux en se rappelant la sombre fin de son peuple.
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Tome 2-Le bûcher de l'alliance
Viễn tưởngAprès avoir triomphé du terrible seigneur Tyrsonos, Thaomios et ses compagnons sont partis du château de Deirosis pour réunir les trois rois toujours en vie du royaume des hommes. Ils vont traverser d'inhospitalières terres pour repousser l'invasion...