Chapitre sept : Une approche... particulière

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Katsuki était là, assis sagement à son bureau, fixant des heures durant chaque objet ou instrument qui composait la pièce. À vrai dire, il n'avait rien d'autre d'intéressant à faire. Momo s'occupait du problème logistique de son entreprise et personne n'avait encore tenté de le tuer aujourd'hui. Le chef de famille s'ennuyait à mourir. Sa seule compagnie était son imagination qui semblait être sa meilleure amie en ces temps difficiles où l'ennuie semblait régner en maître. Le jeune homme s'adossa plus confortablement dans son fauteuil en cuir avant de défaire la ceinture autour de son pantalon de costume gris. Il fit glisser légèrement ses deux couches de vêtements sous ses fesses avant de venir empoigné son sexe moue. Katsuki était encore jeune et il lui arrivait encore assez souvent de se masturber quand il s'ennuyait, usant de son imagination et de ses mains pour jouir. Il imaginait chacun de ses fantasmes lorsqu'il se touchait, s'amenant lentement à la jouissance. Ces derniers temps, l'homme de vingt-quatre ans visualisait sans mal le visage de l'assistant fleuriste. Aujourd'hui encore, Katsuki imaginait Izuku tandis que ses doigts glissaient lentement jusqu'à sa verge pour se rendre dur.

Izuku était à présent dans son bureau, vêtu de son tablier de fleuriste. Ses joues et son nez étaient couverts de rougeurs. L'homme était nu sous son tablier, tandis qu'il léchait ses doigts en défiant Katsuki du regard. L'étudiant s'avança vers le yakuza en balançant ses hanches de droite à gauche tandis que le seul bout de tissu qui couvrait son corps nu était déformé et humidifié par un sexe dont s'échappait du liquide pré-seminal. Izuku écarta les cuisses de Katsuki se passant lentement la langue sur ses lèvres comme s'il se retrouvait devant sa sucrerie favorite. Alors que dans son imaginaire l'étudiant aux cheveux verts commençait à lui lécher le sexe, Katsuki caressait en longueur son pénis durcis tout en se mordant furieusement la lèvre inférieure. C'était si bon.

L'apprenti fleuriste aspira le liquide blanchâtre qui s'échappait du yakuza avant de prendre en bouche son sexe qui semblait si délicieux à ses yeux. Katsuki poussait des râles de plaisir, respirant bruyamment tandis que ses mains s'agitaient avec frénésie, clapotant sur sa peau nu et couverte de poils pubiens. Bien qu'il ne soit pas réellement avec lui en train de lui faire une fellation, Katsuki parvenait à s'imaginer chaque sensation. La langue de l'étudiant s'enroulant autour de son pénis, sa salive coulant le long de son menton. Son lui imaginaire appuya sur la tête d'Izuku, forçant le passage de sa gorge plus en profondeur, contrôlant de lui même ses aller-retour dans sa bouche saliveuse. Se sentant venir, Katsuki s'imaginait jouir dans la bouche de l'étudiant, appuyant de toutes ses forces sur sa tête pour le forcer à avaler sa semence qui s'écoulait dans sa gorge.

— J'en veux plus... murmura le faux Izuku dont les yeux brûlaient de désir tandis que du sperme coulait sur son menton. Je la veux en moi...

Le fleuriste se leva et s'assit sur le bureau de Katsuki. Il écarta ses jambes, posant ses talons sur les accoudoirs du fauteuil du yakuza, offrant son trou et son sexe à Katsuki. Izuku vint mordre son tablier, coinçant le tissu entre ses dents dévoilant davantage de choses au chef de famille qui tenait sa propre chemise entre ses dents pour ne pas la tâcher. Katsuki se délectait de son illusion, alors que l'étudiant s'écartait les fesses afin de laisser un libre accès au sexe de Katsuki pour qu'il puisse le marteler de coups.

— Prends-moi... maintenant... fort... je veux crier... fit la voix haletante de l'apprenti fleuriste alors qu'il se secouait les hanches pour tenter davantage Katsuki.

Le chef de famille se masturbait de plus en plus vite, excité par cette vision si érotique qu'il s'était imaginé d'Izuku. Après un dernier mouvement sur son gland et sa verge, Katsuki finit par éjaculer sur son torse dénudé, couvrant ses abdominaux de son sperme. Sa respiration était précipitée et son esprit embrumé. Il visualisait encore légèrement l'étudiant se masturbant son trou avec ses doigts, gémissant même son nom. Katsuki se sentit cotonneux après avoir joui, attendant plusieurs minutes avant de se décider à s'essuyer. Son torse était humide et poisseux et son pénis à nouveau moue et coulant légèrement. Katsuki saisit une boîte à mouchoir presque vide dans l'un des tiroirs de son bureau, arrachant les derniers de leur boîte en carton afin de se débarrasser de sa semence gluante.

Tu m'appartiens [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant