Chapitre seize : L'enfer sur Terre

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NDA : Avertissement ! Ce chapitre contient des scènes de violences et de viols. Si vous y êtes sensibles, ne lisez pas.

§

Une pièce humide aux murs crasseux et au sol poussiéreux. Une pauvre fenêtre en hauteur, pas plus grande qu'un trou de souris qui ne laissait passer qu'un mince filet de lumière. Au milieu de cette pièce vide et abandonnée, un matelas, troué, usé et couvert de tâches jaunâtres.
Plongé dans cette pénombre presque angoissante, un jeune homme y était installé depuis plusieurs heures ou plusieurs jours, qui sait, le temps n'était pas facile à déceler sans horloge ni Soleil à observer. Son corps nu était coupé, marqué, torturé. Allongé sur le dos, il avait les yeux clos et le visage tuméfié. Lorsqu'il reprenait conscience, son subconscient l'endormait encore pour lui faire oublier ce qui lui arrivait. Les cuisses ramenées contre son ventre, un homme nu le souillait depuis plusieurs minutes. Son corps ne possédait plus aucune force et se laissait malmener par tous ces hommes venus le visiter sans pause. Il était devenu un morceau de viande pour ces animaux qui le dévoraient sans honte. Les bras ballants, écartés sur le matelas, son corps était secoué à chaque coup de reins. Il était couvert du sperme des hommes venus abuser de lui, poisseux et odorant, il n'était plus qu'un outil de masturbation, un objet.

L'homme qui le pénétrait, respirait comme un bœuf, se contentant de le baiser rapidement pour simplement se vider dans son trou. Il serra le derrière des genoux du jeune homme inconscient puis donna un dernier coup de hanches avant de se déverser en lui. Le sperm coula le long des fesses du captif. Il laissa ensuite tomber les jambes de son objet sexuel sur le sol le matelas avant de cracher sur la poitrine de ce garçon.

— Une bonne pute, puis il partit.

Un autre homme entra à son tour. Il était plus grand et mieux bâti que le précédent, et comme son prédécesseur, il était nu et en érection.

À leurs yeux, il n'y avait rien de mieux pour ressentir du plaisir que le corps d'un autre homme soumis à leurs désirs. L'homme brun s'approcha de l'étudiant prisonnier puis il s'assit sur son torse, écrasant sa poitrine. Bien qu'inconscient, Izuku ressentait une pression lui écraser la cage thoracique, empêchant l'air de rentrer correctement dans ses poumons, mais il ne se réveilla pas. Celui qui avait pris place sur corps agrippa sa nuque pour redresser sa tête alourdi, il pressa son pouce contre ses lèvres avant de les ouvrir. L'intérieur de sa bouche semblait collant, il restait même des traces des précédentes éjaculations qui y avaient été déversées. Et comme ces hommes, il fit entrer son sexe dans cette bouche faible, faisant attention aux dents qui pourraient le blesser. Il vint s'appuyer sur le sol en béton pour se mettre à quatre pattes au-dessus de cet homme amorphe dont il pénétrait la bouche. Il creusait le bas de son dos à chaque mouvement, poussant des râles de plaisir en sentant cette langue gluante frotter son sexe. Il faisait glisser son pénis jusqu'au fond de la gorge d'Izuku, puis il appuya sur la tête de son outil pour venir coller son visage à son bas ventre. Le sexe enfoncé dans la bouche du jeune homme jusqu'à la verge, il jouit dans un gémissement bestiale.

— Putain... c'est bon...

Il se retira. Son sexe était couvert de sperme et de salive. Il saisit le visage de l'étudiant puis le bascula sur le côté pour laisser couler sa semence sur le matelas. Il y avait encore beaucoup d'hommes excités après lui, il valait mieux éviter qu'il ne meurt étouffé après une fellation. Il le gifla puis partit.

Cette fois-ci, ce fut deux hommes qui entrèrent.

— Regarde ce qu'ils en ont fait ces salauds, fit l'un.

— Ils l'ont souillé, répondit l'autre.

— Ce beau corps couvert de bleus... Ça m'excite encore plus... mais j'aurai aimé être celui qui lui inflige ces blessures.

Tu m'appartiens [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant