Dangereux regard (En Pause)

Nous deux (chapitre 10)

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Flash-Back.

- Quoi ?!?! Tu ne vois pas ton grand talent. Recommença-t-il.

- Si tu veux... Dis-je.

Jamais je n'allais le battre, il avait sa dans le sang. Je n'étais qu'une vulgaire débutante comparé à lui. Stealy toujours en face de moi reprit un visage sérieux et me posa la question que je voulais éviter.

- Pourquoi t'es-tu évanoui ? Demanda-t-il.

- Ce n'est pas de tes affaires ! Répondis-je agressivement.

- C'est moi qui t'ai trouvé, j'ai bien le droit à une explication. Me dit-il commençant à s'énerver.

- Non ! Je te dois rien. Si sa n'aurait pas été toi, ça aurait été quelqu'un d'autre. Dis-je aussi sec que je pouvais faire.

- De toute façon ça ne doit pas être si grave que ça. Souffla-t-il bruillament.

Je m'avança vers lui et perdant la maitrise de moi-même, je le gifla de toutes mes forces. Je voyais rouge tant la colère me dévorait.

- TU NE SAIS RIEN CONNARD !!!! Hurlais-je hors de moi.

Je serra le petit dragon dans ma paume, tellement qu'il me fit mal, mais j'ignora la douleur. Il me regarda choqué, avant qu'il ne puisse dire un mot, je dis dune voix calme mais froide :

- Tu ne sauras jamais à quel point il était important pour moi. Tu n'es qu'un sans coeur, coureur de jupons, qui se prend pour un badboy et tu crois que le terre devrait être à tes pieds. Mais réveille toi, personne ne te dois rien, tu n'es qu'un petit insecte sur cette planète. Tu n'es qu'un minable qui croit tout savoir. Dis-je sans m'arrêter.

Je tourna les talons et partit sans un regard en arrière. Je ramassa mes affaires et retourna chez moi. Arriver, je monta dans ma chambre et lança mes affaires à travers la pièce. Je pris tout ce qui me passait sous la main et le lançais. Quand ma petite crise fut passé, je m'assis sur le sol à-côté sur mon lit.

J'observais avec attention le carton légèrement à vu cacher dans mon placard. Je rampa jusqu'à lui et pour la première fois depuis 2 ans, je m'autorisa a y penser. J'ouvris le carton et des dizaines et des dizaines de photos de nous s'y trouvait.

Un de ses vieux coton-ouaté, des dessins fait par sa main et des souvenirs mémorables. Je me releva avec en main plusieurs photos. Je me dirigea vers mon dernier mur blanc innoccupé. Un rouleau de papier colant proche, je le pris et commença à les coller au mur. Des souvenirs que j'avais enfuit tellement longtemps.

Une photo de nous deux sur la plage, riant aux éclats en s'éclaboussant.

Une autre où nous étions au parc d'attraction mangeant une barbe à papa.

Après plusieurs heures, mon mur était couvert de souvenirs et j'étais heureuse du résultat. Mais au fond du carton, il restait un double de sa photo préféré, celle qu'il avait dans sa boite. Je la pris et la colla sur mon plafond en haut de mon lit à coté de la photo déjà présente. Ma préféré.