Partie 18:J'avais vécue un truc de fou jusque ici, un espèce d'amour à distance, comme un rêve. C'étais mon conte de fée à moi, mon rêve à moi. Le
truc qui était censé jamais m'arrivé ou tout juste si j'étais pas née dans ce quartier, dans cette misère. Wallah j'en revenais pas mon coeur et mon
cerveau laisse tomber il allait lâcher, il suivait même pu la cadence. Mais voilà fallait que je reprenne mes esprits comme dab que je fasse comme si y avait rien et que je souris comme si je ressentais pas ce truc de fou. C'est ce que j'ai fais même si je crois bien que j'étais pas crédible du tout cette fois, je l'ai vu dans ses yeux. Il s'est direct reculé de moi j'ai fais de même, cette situation nous a mit grave mal à l'aise tout les deux, on connaissait pas ces trucs là on avait pas l'habitude, du moins, moi j'avais pas l'habitude de ce genre de contact physique surtout avec la personne qui faisait battre mon gelb, surtout avec houssam. Je lui est tendu sa pompe et j'ai sorti des mouchoirs de la vieille veste algérie de moha wallah je me souviens celle ci je l'a saigné à l'époque, c'était plus la veste à moha c'était la veste à intissar lol d'ailleurs au quartier on se taillait grave la dessus et dés que j'passais t'avais des grands ou des potes à moha qui me taillait sur cette veste. Mais qu'est ce que je l'a kiffé à l'époque
Mohim c'était un détail pas important mais j'ai sortie des mouchoirs et je lui est donné :
Moi : tu veux que j'aille chercher un pansement ?
Houssam : non non tranquille c'est bon
Bizarrement après cette scène il est devenu hyper froid et distant avec moi wallah c'est ouf comment jamais on pourra s'entendre même dans les meilleurs des conditions
Moi : non mais houssam regarde tu saigne de partout
Houssam : tranquille j't'ai dis t'as déjà assez fait
Moi : j'ai rien fais
Houssam : putain c'est bon j'ai dis !J'en avais marre que même quand je l'aidais il devenait lunatique, même quand je voulais bien faire il arrivé à m'embrouiller. J'ai fermé ma bouche pour une fois et j'ai dis
Moi : bon bah si t'as pu besoin de moi j'vais rentrer là je suis faya
il à relevé la tête choqué, bah ouais pour une fois c'est lui qui baissait la tête
Houssam : déjà ?
Moi : il est 7 du sbah houssam je suis pas censé être dehors
Houssam : oué bah vas-yPutain c'est fou le froid qu'on avait lancé, mais le gars il est incompréhensible il fait un truc comme ça et après il fait le distant. Je me suis donc levé de manière à partir :
Moi : tu rentre chez toi là ?
Houssam : j'sais pas
Moi : comment ça tu sais pas ? faut que tu t'soigne
Houssam : tu crois que j'vais rentrer comme ça ou quoi ?J'ai regardé son oeil putain .. il me massacrait le coeur ce clochard
Moi : putain houssam t'a fait comment ?regarde ton oeil
Jusque ici j'avais posé aucune question car je savais qu'il apprécierait pas mais je me voyais mal faire comme si de rien était face à son regard.
Houssam : c'est rien un échange qui à mal tourné
Moi : c'est pas rien alors
Houssam : commence pas, commence pas là à venir, là tu viens tu m'fais ta moral je m'en balle les couilles moi
Moi : je te fais aucune morale t'as pas besoin de moi pour savoir que tes connerie elle méne à rien
Houssam : quel connerie ? c'est des conneries de vouloir faire de la tune
Moi : m'embrouille pas moi ok ? c'est pas de ma faute si t'es dans cette état là ? je suis venue te voir il est 7 du sbah j'risque de me faire défoncer pour ça, et toi tu m'embrouilles ! c'est pas de ma faute si tes dans cette état là tu vois