9. La cause de sa mort.

176 18 47
                                    

{ je corrige et remet en forme :)
—————————————————

Je suis dans le flous total, le brouillard. J'ai mal à l'oreille droite c'est insoutenable j'ai bien crus y passer.

Un crie strident sort de ma bouche, et je touche mon oreille qui saigne.

Je suis paralysé par la peur.

- Tu es tellement innocente. Me dit-il, ça en devient presque lassant mais pour toi on va faire une exception Princesa. Souris t'il.

- T..TU M'AS TOUCHÉ !!! Criais-je.

- Oui et alors ?, me dit-il en arquant un sourcil.

- Dans ce monde tu trouveras que douleur et souffrance. Continue t'il de parlé en le fixant.
- Tu trouveras la trahison comme ton cher père. Cracha t'il.

Son regard c'est assombrit d'un coup et il me regarde avec un air tranchant.

Il me tourne le dos et part en laissant la porte ouverte.

Aller Émilie !, c'est maintenant ou jamais !

Je dois le faire mais j'ai pas le courage de me lever, mon oreille me fait mal et je suis totalement paralysé.

Je pleure sans le vouloir et je le revois revenir avec des compresses en main et de l'alcool.

Il s'approche de moi et imbibe la compresse avec l'alcool puis approche sa main de mon oreille, je tremble et il le vois.
Il me regarde et baisse les yeux sur mes mains.

- N'est pas peur je vais juste te soigner. Plaisante t'il en souriant.

Je ne dit rien et lui il rapproche sa main de mon oreille et me la désinfecte.

Mon visage ce tort de douleur et lui sourit.
Son visage et à deux cm de mon visage.

- Je ne pensait pas te voir un jour j'avoue. Me confie t'il.

Il finis de me soigner et ce lève.

- Un conseil, si tu ne veux pas mourrir et rester en vie je te conseil de rester tranquille. Dit il simplement.

Je le regarde sans rien dire.

- je le sais très bien que tu compte t'enfuir. Lâche t'il en souriant en coin.

Eh merde.

- comment tu peut en être aussi sûr ? Demandais-je en arquant un sourcil.

- je le sais car tu n'es pas bête Princesa. Sa lèvre c'est incurver sur le côté droit de sa bouche.

Je ne répond rien, je suis abasourdi je ne sais pas quoi dire.

Comment le sais t'il ?

Et comment-

Bref c'est pas ça le plus important.

- Si tu le dis. Je croise les bras sur ma poitrine.

- T'es drôle dit donc, tu tient bien de ton père. Dit il avec un rire mauvais.

Je fronce les sourcils et détourne le regard.

Il fixe le collier au tour de mon cou.

- Tu l'as encore. Me dit-il avec une voix grave.

- Ouais. Je dis simplement.

- Tu sais, princesa tu ne devrais pas... être aussi...

Aussi quoi ?

Émilie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant