6. Prisonnière.

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{ je corrige et remet en forme :) }
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Je me sens secouer, mes alarmes me brûle le visage je ne sais pas depuis combien de temp je pleure mais ça me pique les yeux.

Ça fait au moins plus de 10h que je suis en voiture et je sens que je suis attaché et mes membres ne me réponde plus...

J'ai des mèches de cheveux un peu partout sur mon visage que j'essaye d'enlever mais je n'y arrive pas.

Car tu as les bras attaché.

Oui.

Je souffle d'agacements et j'ai besoin de sortir.

J'entends la voiture rouler vite et là music a fond, ce qui me donne envie d'arraché ce putain de poste de radio à la con !

Je respire et souffle, je sens la voiture s'arrêter.

ENFIN !!!

IL ÉTAIT TEMP PUTAIN !

J'entends les voix lointaines alors qu'elles sont juste à quelque mètre de moi...

Je crois que quand il m'a lâché, ça m'a casser quelque chose...

Peut être la cheville, j'essaye de bouger mes chevilles mais j'avais extrêmement mal à ma cheville gauche.

BINGO !

IL TA CASSER LA CHEVILLE CE CON !

IL EST CON ET PSYCHOPATHE AVEC SON REGARD GLAUQUE QUI MA LANCER !

Un frisson me parcours l'échine et des frissons incontrôlable me parcours.

J'entends des pas ce rapprocher du coffre, j'ai du mal à respirer et d'un coup sec le coffre souffre et moi j'ai juste le temp de justesse de fermer les yeux.

- Tu peux ouvrir les yeux mi quérida. Prononce t'il doucement.

Hein ?!

Comment il-

J'ouvre les yeux doucement et les referme de suite. Le ciel m'agresse les yeux.

Je sens une main me tiré du coffre et me porter comme un sac de patate sur son dos.

Sans grande délicatesse.

J'ouvre les yeux et regarde partout où j'étais et qu'est-ce que je faisait là surtout ?

J'étais sur l'épaule d'un grand blond.

Il remarque que j'ai ouvert les yeux et me repose par terre.

Il me pose et je pose mon pied droit puis gauche.

Je perds l'équilibre et tombe au sol

Merde ma cheville !

J'ai mal et je grimace, il le remarque et je vois son visage en entier.

Un peu rond avec de belle lèvre et un regard calme mais pas pour longtemps si je reste par terre.

Ses iris était verte, il me submergé avec ses yeux c'était insoutenable.
- Aller debout. Me dit' il calmement en me tend la main.

Je l'a prends et essaye de me lever, mais je re bascule en arrière et il me retiens et me pose sur le coffre de la voiture.

- Humm.., tu t'es casser la cheville tu dois aller voir Juan. Dit il en la regardant.

Juan ?

Qui sais ?

Je hoche la tête et il me porte jusqu'à ce "Juan".










En arrivant on entre dans un palace gigantesque avec de belle marche blanche et des écritures au sol. On passe donc à un couloir juste à droite et entre dans une petite chambre et ce chère monsieur Juan m'affiche un grand sourire en me voyant arriver et je lui rends. Ça fait du bien de pouvoir revoir et parler avec quelqu'un de "sympathique"
Il observe ma cheville et la bouge de droite à gauche. Il m'explique que je n'ai rien de grave et qu'elle était juste foulée donc qui ne faut ni que je sois attentive à ma cheville.

Émilie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant