Un amour interdit : Le royaume d'Oroly

Chapitre 14 : une chute

Après être sortie de la bibliothèque, Diane se balade dans les différents couloirs du château puis décide de prendre un bain de soleil. Elle retourne près de son arbre fétiche et décide de grimper au sommet. Elle ouvre le livre qu'elle a emprunté à la bibliothèque et commence à le lire.

Dans le château, toutes les jeunes filles sont parties se vêtir. Sauf Athéna qui cherche son amie dans le jardin. Elle regarde un peu partout mais ne la voit pas. La seule chose qu'elle n'a pas encore fait est de regarder en hauteur. Elle décide de se rendre dans la salle à manger et en chemin elle croise le prince mais ni fait pas plus attention.

Diane ne le voit pas, mais au pied de l'arbre, un jeune homme vient de s'assoir et lit lui aussi un livre. Ni l'un ni l'autre ne se sont aperçus d'une présence intruse. Diane ne sait pas qu'il est en bas. Il ne sait pas qu'elle est en haut.

Diane, perchée en haut de son arbre, relève la tête. Sur la branche à côté de la sienne, elle voit un oiseau. C'est un petit moineaux qui est coincé. Diane essaie de se lever pour aller le sauver. Elle tend sa main, encore un peu, mais elle dérape et lâche son livre. Le livre fait un vole plané et atterit sur la tête du jeune homme sous l'arbre. Celui ci relève la tête d'un coup et voit une forme en haut de l'arbre. Il n'a pas le temps de comprendre ce qu'il se passe que la forme est en train de tomber. Elle dégringole du haut de l'arbre et tombe sur les jambes allongés dans l'herbe du jeune homme.

Le jeune homme, qui si on le regarde bien est le prince, lâche son livre et se penche sur la jeune fille tomber de l'arbre. Il regarde le sommet de l'arbre puis reporte son regard incrédule sur celui de la jeune fille. Il prend la jeune fille telle une princesse et la ramène à l'intérieur du château.

Dans l'herbe, abandonnés de leurs propriétaires, les deux livres gisent immobiles. Ils sont tout deux ouvert. Approchons d'eux, ses deux livres superposés ce ressemble. Même forme, même couleur, même épaisseur, même couverture. Les propiétaires de ces livres, lisaient en faites le même. Sur la couverture, écrit en lettre d'or, il y a écrit : Raiponce.

Un peu plus loin, Diane recouvre ses esprits. Elle essaie de bouger mais elle sens une forte pression la maintenir contre quelque chose.

C'est bizzare...le mur auquel je suis adossé n'est pas si froid que ça. Il est même chaud. C'est tellement agréable. Mais pourquoi je bouge !? Se demande Diane perdus.

Diane tourne sa tête en direction du « mur ». Elle croise le regard d'un bel Apollon. Le rouge lui monte au joue.

-« Tu peux me lâcher, je sais marcher ! S'exclame Diane

-Je ne préfère pas...répond simplement le prince. »

Diane rougie encore. Son cœur se met à tambouriner dans sa pointrine.

Boum...boum...boum...

-« Pardon ?! Dit Diane choqué.

-Tu es au courant que tu viens de tomber d'un arbre ? Alors je vais t'emmener à l'infirmerie pour être sûr que tu n'as rien.

-Mais c'est absurde, je vais très bien ! Lâche moi maintenant ! »

Or le prince ne l'écoute pas et continue ça route vers l'infirmerie. Au loin, il y a deux silhouettes, elles approchent. Elles ne sont plus qu'à un mètre de Diane et Apollon. Nous pouvons voir se dessinait des cheveux virevoltant, la forme de leur robe et leur visage inquiet. Si on regard bien on s'aperçoit que ces deux demoiselles sont en faites :

-« Diane ?! Crie Athéna. Que t'es t-il arrivée ?

-Rien mais rien voyons. C'est juste monsieur le prince qui ne veut pas me lâcher tous ça parce que je suis tomber d'un arbre...