- SUITE DU TOME 1 -
Désormais mariés, Lou et Giorgio ne vivent pas pour autant leur amour comme ils le mériteraient.
La menace Vassili Sarnova n'a jamais été aussi présente, les pions se placent sur l'échiquier et rien ne se déroule comme ils l...
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Dans la Ferrari, la température est... volcanique.
Giorgio a sa main sur l'ourlet de mes bas, à mi-cuisses, l'autre enserre le volant. Je vois les veines saillir au travers de sa peau hâlée, je sens la chaleur de son corps et du mien qui augmentent en écho, mais si je fais un geste maintenant nous courrons à l'accident.
Je déglutis en sentant ses doigts caresser le tissu en soie de mes bas, dessinant l'ourlet de gauche à droite puis de droite à gauche, humidifiant ma culotte déjà au comble de ce qu'elle peut supporter.
C'est simple : je crève d'envie de sauter sur lui et de le faire mien.
Je pourrais peut-être lui demander de s'arrêter ?... non, sois patiente, ce serait vraiment pas discret de nous planter sur le bas côté avec la procession de voitures qui nous suit...
Je ferme les yeux et inspire longuement pour tenter d'apaiser ma louve et ma libido croissante. Autant devenir surfeuse pro... je n'arrive à rien et mon mari ne me facilite pas la tâche : sa main remonte tout à coup jusqu'aux plumes volantes de mon jupon.
Je rouvre vivement les paupières pour me tourner vers mon bel italien, celui-ci regarde la route mais son sourire en coin extrêmement sexy est gravé sur ses lèvres. Il s'amuse de ma réaction qu'il devine aisément puisque lorsque ses doigts rencontrent le tissu fin de ma lingerie, j'émets un cri aigu proprement indécent...
—Ah ! Giorgio ! Qu'est-ce que tu...?
(Je compte vraiment lui poser cette question ?)
—Ssshhh mia dea, laisse-moi me concentrer sur... la route.
Alors que le paysage urbain au dehors défile et que le moteur rugit, les doigts de mon mari s'infiltrent impérieusement sous ma culotte. Le chemin qu'il emprunte est grandement facilité par mon excitation.
—Putain ce que t'es mouillée ! Ricane-t-il.
Son index et son majeur se joignent et tracent lentement la longueur de mon fourreau brûlant. Mon impatience se manifeste au travers de nombreux gémissements hachés, je referme mes deux mains sur la sienne pour... l'arrêter ? L'inciter à aller plus loin ? Accentuer ses attentions ?
Probablement tout ça à la fois.
—Hmmm... ah !
Un glapissement m'échappe en sentant la délicieuse pression exercée sur mon clitoris. Je cogne l'arrière de mon crâne à l'appuie tête tandis que Giorgio marie caresses sur la canopée de mon intimité et arcs de cercle sur son entrée.
Je suis persuadée de voir de la buée se former sur les vitres teintées alors que ses doigts me pénètrent subitement, déclenchant une vague de frissons de mon bas-ventre à la pointe de mes cheveux.
