Introduction

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Malgré leur couleur jaune, il arrive que mes pensées perdent de leur éclat.

Seulement, elles ne s'éteignent  jamais. Elles ne font que divaguer, ou se dissiper parmi la masse de présences qui nous harcèlent et nous tiennent par le col au-dessus d'une falaise.

Malgré la flore et la faune, l'imagination se tarit dès le vent levé, car les nuages de poussière nucléaire dispersent sur ces euphories du moment des particules de noirceur – une sorte d'anti-bonheur.
Les textes ne peuvent être toujours parfait, sans quoi le terme « littéralité » n'existerait pas. Sans quoi Gérard Genette non plus.

Mes pensées ne s'éteignent jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant