Parfois, une boussole est inutile pour te repérer, pour te détecter parmi la foule et pour t'attirer contre moi.
Je n'ai qu'à regarder le ciel, plus loin que l'infini, plus pur que ton âme et bleu comme tes yeux.
Je n'ai qu'à regarder la terre, brune comme l'auréole de ta pupille, comme la chaleur de l'automne et les feuilles qui chutent sur tes joues.
Je n'ai qu'à regarder le Nord, vers la fleur, et son coeur d'or paraît refléter le blond de tes cheveux, le blond du blé et de la prairie un été.
Je n'ai qu'à regarder le Sud, écouter le prélude, et les échos qui atteignent mon visage rappellent la musique du bonheur : celui d'être dans tes bras.
Un escalier de souvenirs
Clair comme de l'eau de roche
Une ribambelle de fou-rires
Celle dont on s'accroche
Les amoureux d'un été
Je n'y ai jamais cru
Aucune raison de penser
À l'amour s'il a chu
10 mai 2022, 20:06
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Mes pensées ne s'éteignent jamais
Spiritual[EN COURS] Malgré leur couleur jaune, il arrive que mes pensées perdent de leur éclat. Seulement, elles ne s'éteignent jamais. Elles ne font que divaguer ou se dissiper parmi la masse de présences qui nous harcèlent et nous tiennent par le col au...
