𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐗𝐈𝐕

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A    R    T       D    U
—      C      R      I      M      E      —

A    R    T       D    U—      C      R      I      M      E      —

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             ASSISE SUR LA BANQUETTE arrière de l’onéreuse voiture noire d’Armin, je ne pipe mot. Mes lèvres sont scellées depuis plusieurs dizaines de minutes maintenant, le moment où un homme vêtu d’un treillis militaire et un fusil d’assaut m’a poliment escorté jusqu’à ce lieu avant de prendre place à côté du véhicule, la tête haute pour monter la garde.

             Mes yeux l’observent au travers des vitres teintées. Je ne peux voir son visage étant donné qu’il me montre le dos mais l’absence de tatouages sur son crâne dégarni m’indique qu’il n’appartient pas à un gang. Par ailleurs, le professionnalisme nullement austère qu’il affiché en présence d’Armin, quand le blond lui a indiqué ma chambre, ne fait que confirmer mes hypothèses.

             Si cet inconnu s’est montré respectueux envers mon ex-époux, il ne l’a pas honoré des mêmes marques d’admiration qu’un chef. Je suppose donc que Sieg, Livai, Edward et l’homme m’ayant trahi sont hiérarchiquement supérieurs à l’homme me gardant depuis tout ce temps sans être les patrons, le sommet de la pyramide.

             Me tirant de mes pensées, un claquement retentit à ma gauche et un vent frais s’engouffre soudain dans la voiture, m’arrachant quelques frissons. Mes yeux se posent vers la personne venant d’entrer et s’installant sur le siège conducteur, un soupir d’exaspération me prend en voyant la nuque couverte de tatouage donnant sur un crâne rasé en sa naissance et parcouru de mèches soyeuses sur le sommet de Livai Ackerman.

             Bien que dos à moi, je distingue la chemise noire habillant ses épaules et qu’il a retroussée de sorte à laisser voir ses avant-bras. Les tatouages de ceux-là brillent quand il pose une main sur le volant et l’autre sur le tableau de bord.

𝐋'𝐀𝐑𝐓 𝐃𝐔 𝐂𝐑𝐈𝐌𝐄 (sieg x reader x livai)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant