Les combats se déroulent dans des conditions extrêmes

7 4 0
                                    

Toi, que fais tu là, ai je dis sur un ton de haine.

-Hahaha, déjà de la haine d'en l'air, calme toi, a t'il ironisé.

-T'as tué mon village et la famille, comment veux tu que je me calme, lui ai je renvoyer.

-Oui, désolé.

-Désolé, ce n'est pas ce qu'il faut dire pour des choses pareilles.

-Vraiment je n'ai pas voulu, c'est mes hommes qui les ont vus et qui les ont tué, j'avais pas prévu qu'ils allaient faire ça.

-Menteur.

-Non, c'est vrai.

-C'est ça.

-Je te le jure.

-Ok, je te crois...pas.

Il n'entendis pas la fin de la phrase et continua:

-Je voulais te voir pour te demander de t'allier à moi, on deviendrait les plus grands guerriers de l'histoire, on serait respecté dans le monde entier.

-Non, jamais,on deviendrait pas des guerriers mais des assassins.

-Oui, mais pour ceux qui seront avec nous si.

-Jamais quand même.

-Ah tant pis tu l'auras voulus, garde,ils entrèrent dans la pièce et Herobrine continua, mettez le dans la cellule (il s s'adressa à moi) adieu mon "ami".

Il me tenirent fort et m'enmena dans la cellule, devant, ils ouvrirent et me firent entrer puis reférmèrent derrière moi. De retour dans le noir absolue et sans aucun bruit que celui des pas qui s'éloigner peu à peu, comme mon espoir de sortir un jour d'ici et de revoir Alexa, tous les autres et de combattre avec eux, je pleurais dans mes bras, je ne pourrais pu jamais la revoir.

Je parlais à moi même toute la journée et des fois, j'essayais de faire un plan pour me tuer. L'hallucination commence.

Des jours et des jours passer dehors, sûrement que la guerre a déjà commencé, en pensant à ça, je décida de méditer, puis je devrais essayer de sortir.

Le plan était parfait, j'allais crier, puis les gardes vont m'ouvrir pour voir ce qu'il se passait, et moi je vais m'enfuir discrètement en les enfermant dans la cellule.

-Haaaaa, sauvez moi!!!

La clé était maintenant dans la serrure, la porte s'ouvrit, les deux piglins regardèrent dans l'ouverture, et, je les ai assomé avec mon poing, je les ai enfermé et suis partit.

La peur au ventre, je marchais dans les couloirs bondés de soldats, une fois devant la porte de sortie, je vit plein de piglins devant le pont qui menait à la liberté, ils crié, armes à la main.

La guerre va bientôt commencer.

Après une heure caché, les piglins sortit du château.

J'en profita pour moi aussi sortir.

Dehors, je revit ce beau soleil qui m'eblouissait, la brise du vent qui me chatouillait le visage et cette herbe douce et chaude comme la température.

L'armée était à la montagne, ils étaient deux cents, je pouvais me les faire, je ne devais pas les laisser allé attaquer des villages, des familles et des royaumes.

Alors, armés d'une épée et d'un arc, je commença le massacre.

Une flèche se planta dans le cou d'un piglin qui hurla de douleur, son sang coulait autour de la flèche puis s'étalait sur le sol.

Ces compagnons l'entendirent et me fixèrent.

Ils étaient à plus de trois cents mètres de moi, je pourrais abattre une centaine de piglins.

Noci et Alexa, Les Sauveurs Des Univers Où les histoires vivent. Découvrez maintenant