CHAPITRE SEIZE- LES SOUVENIRS #1

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IVY VICTORIA CARTER

FLASH BACK – QUELQUES ANNÉES PLUS TÔT – 2 ANS AVANT LA DISPARITION DE PEGGY CARTER - LONDRES

... : Ivy tu es prête ? * résonne la voix dans le couloir *

Ivy : J'arrive grand-mère * en prenant mon sac à main posé sur mon lit *

Ma grand-mère m'attendais dans le salon, à mon arrivée dans la pièce, j'avais remarquée qu'elle s'était tenue à une chaise et l'autre main sur son front, je me précipite d'un pas rapide vers elle d'un air paniqué.

Ivy : Grand-mère tu vas bien ? * d'un air inquiet *

Peggy : Oui ça va, juste un petit vertige, c'est passer, ne t'inquiète pas pour moi ma chérie.

Ivy : Si, je m'inquiète pour toi

Sans dire un mot, elle me prend dans ses bras pour me faire un câlin, je sens bien qu'il se passe quelque chose, mais qu'elle n'a pas du tout envie de m'en parler, elle est plus toute jeune maintenant.

Nous avons quittée l'appartement, marchant en direction du métro, je ne sait vraiment pas où elle m'emmène, elle m'a juste dit que  c'était une surprise d'anniversaire, je viens d'avoir 14 ans, je suis très mature pour mon âge. Pendant le trajet, j'ai tentée de savoir où on allait, mais elle n'a rien voulu me dire, le suspense est à son comble. Elle adore me faire des surprises, je suis sa seule et unique petite fille donc elle me gâte beaucoup, la ligné Carter se termine par moi, je suis très fière d'être la petite fille de la célèbre Peggy Carter, depuis enfant, j'ai toujours adorée qu'elle me raconte sa vie dans les années quarante, elle était tellement belle, je ne vous parle pas de ses tenues , d'une beauté, elle les a garder, le moment voulut, je pourrais les essayée, je suis encore petite, en étant une belle femme, elle a du faire tomber plus d'un sous son charme, j'adorais son histoire avec ce belle homme dont elle ne m'a pas dit le nom, dont elle était tombée amoureuse, qui a malheureusement disparu d'un accident d'avion, la vie en a décidé autrement pour ma grand-mère en rencontrant mon grand-père.

Je ne sais pas pourquoi, je sens que la surprise et en rapport avec ça, plus on arrive à l'endroit, plus je le sens, je le sens bien une exposition sur les années quarante, elle me pris par la main, j'adore être main dans la main avec elle, c'était ma grand-mère adorée, on est tellement complice, je suis devenu sa fierté, je n'ai seulement quatorze ans, j'espère devenir la jeune femme que j'ai envie d'être, rendre encore plus fière Peggy Carter.

Je ne me suis jamais senti aussi proche d'elle qu'avec ma mère, mes parents ont eu cette folle envie de faire le tour du monde, en me laissant ici à Londres, je le ne regrette pas car je vie avec elle, parfois avec ses problèmes de santé, je me sens si impuissante.

Nous arrivons devant le guichet, elle tend à la personne les deux billets, nous rentrons dans la bâtiment, je n'en crois pas mes yeux, c'était une exposition , d'après la banderole face à moi, pour une courte durée , j'avais raison une exposition sur les années quarante mais pas que, une exposition sur la seconde guerre mondiale et surtout sur le fameux Captain America, je reste sans bouger quelques instants, afin de réalisé où je me trouve, je sentis une main sur mon épaule, je me retourne, c'était ma grand-mère, elle me sourit.

Peggy : Surprise, j'étais tellement heureuse quand j'ai appris qu'il allait avoir ce genre d'évènement dans notre ville, il ne fallait pas manquer l'occasion

Ivy : Grand-mère, merci beaucoup * en lui fessant un gros câlin *

Je sens que nous allons avoir une longue journée à cette exposition, j'espère qu'elle va tenir le coup, si jamais elle est trop fatiguée, on rentre directement à la maison, on se mit bras dessous bras, on commence à marcher tranquillement dans l'exposition, la première partie c'était la vie dans les années quarante, le style vestimentaire de cette époque là , était vraiment magnifique, j'aime de trop, je suis heureuse qu'elle ai gardé quelques pièces, maintenant le style vestimentaire est vraiment diffèrent. 

Je suis émerveillée par tout ce que je vois, je suis la plus heureuse des gamines, nous voilà enfin à l'expo sur le Captain America, que j'attendais avec impatience. J'ai pu voir sur son visage des larmes qui coulent, en voyant le visage ce Captain America.

Peggy : * en me laçant un regard * C'est lui, Steve Rogers, celui que j'ai aimée

Ivy : Captain America, était l'homme que tu as aimée grand-mère ?

Peggy : * en rigolant * Et oui, malheureusement tu connais la suite, je l'ai perdu dans un crash en avion, je me demande ce qu'il serai devenu, s'il y était vivant.

Elle arrête rapidement la conversation sur Captain America, j'ai pu remarquée qu'elle était entrain de regarder un peu partout dans la pièce, on avait l'impression qu'elle est entrain de chercher quelque chose.

*Peggy : Ah le voilà !

Ivy : Qui ça grand-mère ?

Peggy : Celui que j'ai envie de te montrer

Elle me pris par la main, limite elle me tire, je ne sais pas qui est la personne qu'elle veut me montrer, je la suit de très près, enfin je n'avais pas le choix, nous nous arrêtons devant un panneau, j'ai pu voir un soldat.

Ivy : * je commence à lire à voix haute le panneau * James Buchanan Barnes ...

Peggy : * en me coupant la parole * Bucky, c'est lui, le meilleur ami de Steve Rogers, je l'ai connu vaguement, il m'a dragué, mais je n'avais que d'yeux pour Steve, triste destin pour lui, mort d'un accident de train dans les années quarante, avant sa disparition Steve a été très affecté par la disparition de son meilleur ami. Ce Bucky été quand même un très bel homme, j'en suis sur si vous étiez nés à la même époque et dans quelque année pour toi, vous aurez été fait l'un pour l'autre, je te connais par cœur ma chérie, même si tu n'as que 14 ans, c'est ce genre de garçon, va te convenir, il est fait pour toi, mais dommage le temps et le siècle en a décidé autrement.

J'écoutais ma grand-mère attentivement, je ne cessa de regarder le portrait ce Bucky, je ne comprends vraiment pas ce qu'elle veut dire dans tout ça, c'est impossible, il est mort il y'a bien longtemps et si jeune et quant à moi je suis bien née à la fin des années quatre-vingt-dix, donc impossible qu'on aurait pu se rencontrer, s'il était vivant, il aurait eu vers l'âge de ma grand-mère en y pensant.

Je ne reste pas plus longtemps dans mes pensées, quand j'entends sa voix criant mon prénom « Ivy », je me suis vite retournée vers elle, les larmes aux yeux, elle était allongée par terre, je tente de la réveiller et criant de toute mes forces, pour qu'on vienne m'aider.

Crazy In Love - Histoire Bucky Barnes #3 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant