Chapitre 13: MON amie

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Sa main m'attrape et me sort de l'eau et je reviens dans le jardin. C'est comme si je n'avais jamais quitté ce lieu. Je n'arrive pas à l'expliquer. Par réflexe je regarde ma montre ce cauchemar ou ce monde parallèle je ne sais pas n'a fait que une minute alors que ça semblait être une éternité quand j'y étais plongée.

Je ne me tourne pas vers lui, trop honteuse mais je sens un regard chaleureux sur moi. Il eut un long moment de silence que je décide de briser.

— Pourquoi m'as-tu tendu la main ? Demandais-je timidement.

— Parce que! Dit-il en riant.
Ça avait brisé la gêne que je ressentais. Il était vraiment doué pour me faire sentir bien.

— Tu te souviens du mouchoir que je t'ai tendu la première fois que tu es venue dans mon bureau ? Continue-t-il.

— Hm, oui !

— Tu sais je ne refuse personne comme certains le pensent. J'aime tout le monde sauf si tu es un néphilim. Mais vu que tu ne l'es pas, rit-il.

__ Oh oui j'en ai entendu parlé dans les mythologies. D'après la mythologie grecque c'est de ce mélange d'homme et ange que serait venu les dieux tels que Zeus et consort...

__ Hm !

— Je devine que tu me parleras de ça au fur et à mesure qu'on se rencontra? C'est ça hein ?

Il tourne sa tête vers moi et sourit avant d'ajouter:

— Ça veut donc dire que tu veux passer plus de temps avec moi. Quel honneur me fais-tu donc , dit-il avec un geste royal.

Et on se mit à rire puis il continue,

— Une manière pour moi de te dire que tu n'as pas besoin d'être parfaite pour être mon amie. Oui tu as bien entendu, MON amie. Sinon tu n'aurais même pas eu accès à mon hall d'entré.

— C'est vrai , dis-je me rappellent de comment l'un des gardiens ou gardes je ne sais pas, m'avait dit que je n'avais pas accès à ce lieu.

— Tu vois ? Tu n'as donc pas besoin d'être sainte ou propre pour m'approcher, JE me charge de ça lorsque une personne de son plein gré, car je ne force personne , décide de m'approcher. Lorsque un homme vient pour me voir je le rends << saint et juste >> il n'a donc pas besoin de se tuer à la tâche. Aucun de ses œuvres peut le justifier ou le rendre saint. C'est moi qui le fais! Je précise: gratuitement aussi!

— Je vois. Pour éviter que les hommes te disent << j'ai fait plus que mon voisin alors je mérite ça et ça alors que lui non>> .

— Tu captes vite dis donc, dit-il en me tirant la joue. Et laisse moi te dire que ce n'est jamais une perte de temps pour moi d'être avec toi. J'aime beaucoup ce moment que nous avons  et ne doute jamais de ça.

— Vraiment? Je pensais que je te dérangeais. Tu sais ? Tu es Dieu alors que je ne suis que moi tu vois... eh euh Tu m'aideras?

— Je suis là pour ça aussi !

— Je ne t'ai pas rien posé comme questions la première fois. J'ai été un peu trop égoïste. Je ne me suis même pas intéressée à toi où même au sujet des autres alors que plusieurs si ils te croisent, t'auraient bombardé de questions comme pourquoi il y a la guerre, les maladies , ou encore pourquoi tu es sur terre?

— Pour la dernière question, il regarde de gauche à droit et me fit chut , C'est top secret. Et il se mit à rire !

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Bientôt la fin de l'histoire !!

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