Objet de France?

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Ce souvenir douloureux brise chaque fois, ce cœur meurtris. La sensation de déchirure ainsi qu’un manque est ressenti. Mais tout est évité quant c’est panser et noyer dans un autre monde, fuyant ce passe.

Quand les paroles ont fini par sortir vers la personne, une douleur apparaît dans son interlocuteur. Personne ne pouvait imaginer un tel souvenir, une tel scène. Même avec imagination.

Aussitôt appris, Katsuki regrette l'insistance émis. Il regrette aussi ces paroles, profitant de ce moment pour s'excuser de ses mots. Mais rien ne change à la grande tristesse qu’il évoque.

Comment oublier une danse absurde, dans l’une des rues, au claire de lune ainsi que la rue pavé, couverte de neige? Une danse auquel l’amour des deux personnes est ressentit en les voyant. Leur sourires dessinés sont lisibles sous la lumière nocturne. Personne ne peux oublier cette image en tant que témoin de cette scène. Personne. Pas même les étoiles.

Mais fallait que ce jour, normalement comme les autres, devient la plus noir de sa vie. Plus noir que cette nuit auquel, elle paraît jalouse.

Une mission devenu normal dans la vie quotidienne.
Une mission qui a mal tourné.
Une mission qu’il veut oublier.
Une mission qu’il ne veut plus refaire.

Le conseil auquel est donné à chaque veille, à chaque départ est ignorer sur la confiance. Mais qui peut prévoir cet incident? Mais pourtant, cela c’est produit. Et à ce même moment, une autre personne voit son coeur se fissurer, se briser, tomber dans le fond sans revoir le jour par la suite.

Ressassant ces moments heureux, des moments auxquels devenu un simple souvenir, deviennent douloureux à porter. Mais qui va l’aider dans ce fardeau? Personne.

Dormir à la belle étoiles, dans ses bras, souvenir.
Travailler et rigoler, passée.
Danser à ne plus avoir de pieds, moment échapper de ce corps.
Partage d’amour, oublier dans la noirceur de ce jour.

Tellement ces souvenirs le hantent, qu’il ne croit plus en ce sentiment. Il ne croit plus l’amour devenu un amour qui détruit chaques choses construites.

Un jour ensoleillé n’est pas le bienvenu malgré le sourire adresser aux autres. C’est un temps comme celui ci, où le ciel bleu montre son âme qui est le soleil. Et il aurai beau crier le prénom de son bien aimé, le corps reste et restera inerte.

Rentrer sans sa présence était un supplice. Partager un quotidien est devenu fade et sans couleur. Un lit double, ou le milieu est souvent couvert des deux corps enlacés, devient froid et vide. Tout devient vide d'émotions.

Et c'est depuis ce jour, depuis cette mort qui a chamboulée son quotidien, qu’Izuku se promet d’oublier ce sentiment. Un sentiment joueur et imprévisible.

Actuellemnt hors de la bâtisse 2A, le vert détend ses muscles après une séance de sport. Ses pas reprennent vers la maison que sa mère vit. Elle qui s'inquiète énormément pour son fils, ne peux que de lui poser la question auquel la même réponse suit.

- Je suis de retour, crit le chef de la 2A.

Il ne fallait pas deux minutes pour qu'un bruit brise le silence de la maison. En peux de secondes, la mère de famille se retrouve devant son fils. La même question se pause.

- Je vais bien. Pas la peine de me le demander, sourit le jeune Midoriya.
- Tout de même. Je m'inquiète. Je ne veux pas que tu souffres de nouveau. Et ce Bakugo, pourquoi l'avoir pris? Je ne te comprend pas.

D'un pas ennuyer, un soupire passe la barrière de ses lèvres. C'est vrai. Pourquoi avoir pris directement c'est deux personnes en tant que disciples? Il ne les connaissait pas après tout.

A moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant