Guerre // Partie n°2

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L'eau manque sur le terrain. La faim commence à se faire ressentir. Pour la plus part, le souffle est haché, mais d'autre, il c'est envolé a jamais. Un autre corps tombe sous le regard des autres. Comment rester serein face à cette vision?

Tandis que certains ce cachent, fuient ou combattent, Shoto cherche du regard Izuku, fuyant une nouvelle fois un ennemi. Il se retrouve cacher, avec une personne. Son regard ce porte sur la silhouette de Hanta, la main sur sa poitrine.

Dans la panique, le bicolore relève la tête du noiraud et prend sa respiration. Il remarque les paupières tomber sur les iris.

- Eh, Hanta! Flanche pas. S'te plaît!

Quelque seconde à fallut pour voir un sourire apparaître et un regard tomber dans le sien. La main qui était sur le haut de son corps s'enlève, la montrant tâcher de liquide rougeâtre et une blessure profonde.

- Déso, mec ... Ça ... Ça m'a toucher ... Un endroit ... Vital.

La phrase couper par un reprise de respiration serre le cœur de Shoto. Il essuie les larmes qui devalent sur les joues de son ami.

- Désolé.

Il tombe en sanglots, dans les bras du jeune Todoroki.

- Non, Hanta. Ne dis rien. Ne sois pas désolé. Ne le sois pas.

- Je ne ... pourrais mlus être ... Physiquement avec ... Vous. Je ... Vous ai ...Aimez. Je ... Suis content ... Que Kat' soit ... Sauver. Shoto ... Dis pour ... Moi ... Au revoir ... Au autres.

- Je le ferai. Promis.

Il se décolle du corps, et observe le visage de son ami. Il fini par laisser des larmes perler sur son visage à l'entente de la dernière phrase. Un simple "au revoir" la rendu faible. Il allonge le corps sans vie et reste agenouillé près.

- Tu as été un bon ami. Tu es rester brave et fort.

Il sursaute à l'entente d'un bruit sourd. Il se lève et regarde son ami.

- Sois tranquille maintenant. On pensera à toi.

Il s'éloigne en courant à la recherche de son objectif principal: trouver Izuku. Il sait pertinemment qu'il est en danger de mort face au chef de camp adverse. Mais de plus, il y a eu le camp de l'Ouest qui sont arrivé et à augmenté le massacre.

- Shoto!

Cette voix. Il se retourne et observe le rouge en difficulté, entourer de trois hommes. Par coup de chance et d'observation, il trouve une arme bien plus moderne que le sien et s'attaque à l'ennemi. Une fois assuré qu'ils sont bien assommé, ils se rapprochent de l'autre.

- Eijiro, ça va?

- Nickel. La merde. Ou est Izu?

- Aucune idée! Je le cherche. Et merde! On a pas ça temps de parler mais Hanta a fini sa vie dans mes bras. C'est horrible!

- Mec, je sais. C'était pareil pour l'un des soldats, Ken Malfry. C'est dernier mots étaient "Je crève la dalle. Je deviendrait bien un mangeur d'homme actuellement". Il vanne mais il m'a fait chialer ce con!

- Viens. On va retrouver Izuku!

Ils courent à travers les débris, les corps et dans les flaques sanguine pour se retrouver sur un autre champ.

- Merde! On s'occupe de ça et on retrouve le brocoli sur patte! Ne crève pas, Eijiro!

- Je suis un mec, Shoto. Crève pas non plus!

Ils se jettent tout deux dans la foulent, s'appropriant le rythme de la bataille. Les revoilà plonger dans les attaques et les esquives.

Dans un autre côté, sur le sol, il respire profondément avant de voir un énième corps tomber une fois de plus sur le sol. Il souffle, massant ses épaules avant de se tourner, pétrifié.

Il se précipite vers la scène et assume avec aisance la personne, puis, se tourne vers la victime au sol.

- Jeune Tenya. Je t'emmène dans un endroit de survie. Restes en vie le temps que tout se termine. Mei t'attend.

- J'arrive pas. J'ai mal. All Might ... Chercher Izuku.

Le blond porte le corps du blesser et entre dans un bâtiment. Il le pose dans un coin et observe les blessures.

- Rien de grave à signaler. Espérons que ça ne va pas s'infecter. Repose toi. Je vais chercher Izuku. Je reviens rapidement.

Le blond part le laissant seul. Tenya pense à sa femme qui est rester au Sud, à s'occuper de leur nouveau né. Il espère sincèrement rester en vie et de les retrouver, disant que actuellement, c'est une passe ou un cauchemar. Il observe le brin de ciel par la fenêtre. Le ciel est bleu avec un soleil qui éclair le paysage comme un jour d'été. Il sourit avant de sombrer doucement dans le sommeil.

Les recherches sur Izuku continuent. Mais le terrain est trop vastes pour savoir ce qu'il en est de son côté, où il se trouve. Et c'est ce qui ronge les personnes qui essayent de le retrouver.

Tokoyami, courant dans l'ombre accompagner de Neito, évite encore une attaque.

- Mais merde! Où est ce trou du cul, râle le Monoma.

- La ferme. Tu n'avais pas à venir avec moi.

- Je viens si je veux, tête de piaf!

- Ta gueule!

Il continu de courir en attendant une réponse mais rien ne vient. Il s'arrête et se tourne vers le blond, pour le voir à terre. Il s'approche de lui et le voit inconscient. Dans la seconde suivante, il se décale pour éviter une arme blanche se planter dans le haut de son crâne.

- Ton blondi est mort.

L'homme étant face à Tokoyami rigole avant de lancer un autre couteau.

- Putain, mais prend le! Crève merde!

- Je dirai plutôt: retour à l'envoyeur!

Une fois de plus, le corps s'écroule du au couteau que Fumikage à récupérer doucement et lancer après sa phrase. Il se tourne vers le blond qui rigole silencieusement.

- Je vais crever ... De toute façon ... On a perdu ... Du monde.

- Pas une raison.

- Calme. Tu diras à ton ... chef. que je suis le ... meilleur. Hein?

- Toujours aussi con.

- Je veux ... Dormir.

- Neito, fais pas le con! Dors pas!

- A la prochaine ... Tête de piaf.

- Fumikage!

L'interpellé se tourne vers la voix avant de retourner son regard vers le blond.

- Merde. Je pense qu'on perd Neito. Je sais pas si on peux dire c'est pas grave mais ... faut laisser couler.

- On doit trouver ce brocolis sur patte, commence Shoto.

- Et l'aider car il se trouve avec le Boss final. Je ne veux pas rentrer et dire a sa mère et Katsuki qu'il est mort, termine Eijiro.

- On y va, dit le noiraud.

Il s'élance dans une course, bien vite interrompu par ce qu'il cherchaient. Mais cela ne se passait pas comme ils le souhaitent. Du moins, pas comme ceci. La panique née en eux.

Izuku est allonger sur le sol, se débattant de l'emprise qu'à son agresseur. Mais ce qui saute au yeux est ce qui brillent sur le sol. S'approchant de plus près, le rouge tache le vert au sol.

- Mais tiens, qui voilà. Tes amis? Je crois que tu vas dire bye bye.

Recevant un coup dans le vent, Izuku se retourne, sentant la liberté de ne plus avoir le corps sur lui. Il se tourne comme son corps pouvait et observe ce qui se passe.

- Non! Partez, suppli-il.

- Mais non, voyons, intervient le chef. Voyons voyons. Des amis à toi. C'est aimable de venir ici. Mais voyez vous, on est un peux occuper à parler. Enfin, rendre des comptes est le terme plus exact. Donc, veillez prendre la chance de partir sans que je ne fasse rien ou vous crevez.

- Autant crever et sauver son ami, commence le bicolore.

- Que fuir et crever par des dégénérés plus tard, termine Eijiro.

A moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant