Tout est répétitif

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Si déchirer.
Si briser.

Un corps sans âme.
Une vie sans cœur.

Il ne compte plus.
Il ne veut plus.

Il sait que cela fait une bonne heure, voir plus que ça à fini, mais il se sent brûler intérieurement, comme briser sans la vie.

Dans les bras de sa mère, il essaye de trouver un réconfort qu'il avait perdu lors de son enlèvement.

La porte grince, laissant l'homme s'approcher.

- Ne le touchez pas!

- Pauvre femme. C'est mon oméga! Je me doit de l'avoir près de moi!

- Non!

Elle ressert la prise sur le corps de son fils, ne voulant pas le voir partir vers la personne bien plus malsaine qu'on ne le voit.

Un bruit sourd mais rapide retentit. La main sur la joue endolori, elle le regarde avec horreur avant de reculer tenant Katsuki, tremblant.

- Ne vous approchez pas! Je ne sais pas ce que vous lui faites.

- Lâche mon oméga!

Voulant arracher le blond des bras de sa mère, l'homme essaye par tout les moyens qu'il dépend pour l'avoir.

Après un énième coup, il arrive à avoir ce qu'il souhaite, sous le cris de Katsuki. La porte s'ouvre à la volé, laissant apparaître Dabi ainsi que le père familial des Bakugo.

- Vous faites quoi, intervient le noiraud.

- Je voulais mon oméga, mais cette salope ne voulait pas lâcher. Va la mettre dans une chambre, sous clé. Je vais lui régler son cas plus tard.

- Non! Ne lui faites rien!

- Calmes toi. Je vais rien lui fait, grogne l'homme. Déjà que je n'ai rien fait à ton cher ami, je ne vais rien faire qui puisse souffrir mon petit oméga.

- Vous le faites souffrir en le violant et en le faisant tomber enceinte, dit dans le plus grand des calme, Dabi.

- La ferme, toi! J'ai son consentement.

- Ah? Et quand?

- A chaque fois. Hein, mon petit oméga?

Le regard tourner vers lui, Katsuki tremble et affirme lentement, de peur que si la vérité apparaît, on lui enlève ce qui lui reste.

- Tu vois! Tu n'es qu'un bon à rien, Dabi. Tu crois tous savoir, tous permis alors que c'est faux. Rappelles moi qui t'a sauver de cette endroit miteux?

- Vous.

- Qui t'as donner un logement, à manger?

- Vous.

- Alors, restes à ta place de merde en disant rien. Limite, tu vois, sauver ou pas, tu vas crever. Pas pour la même raison, biensur. Non, soit tu meurs dans la faim, le froid. Soit, tu meurs par mes mains ou suicide car tu as approcher mon oméga.

- Vous avez essayer de me tuer. Ce fut un échec, non?

- Insolent petite vermine!

Atterrissant au sol, le regard carmin de Katsuki observe la scène avec peur. Dabi a son cou entourer des grandes mains de l'alpha. Il prend doucement la couleur rouge, mais reste immobile.

Les effets n'étant pas ce qu'il voulait, l'homme laisse tomber et porte l'oméga jusqu'à sa chambre.

- Je voudrait que tu crèves. Shigaraki, tu peux bien le tuer le jeter dans la fausse.

- Bien, maître.

Et en un rien de temps, les minutes défilent à la vitesse de la lumière. Et une nouvelle fois, le revoilà détruit sur des draps souiller par l'ébat involontaire.

▪︎▪︎▪︎▪︎▪︎

- Je ne veux pas que tu me suives lors de ces truc comme ça.

- Pourquoi?

- Je ne veux pas. Je suis ton supérieur donc, tu suis mes ordres. Je fais ça car je tiens à toi et je ne veux pas souffrir une nouvelle fois.

- Tu es dans l'égoïsme. Mais dans le pur.

- Tu comprends pas. Je te protège. Je ferais tout pour toi, pour que tu sois en vie. Moi, je m'en tape complètement. Si je vis, c'est bien. Mais toi, tu dois vivre une vie heureuse.

- Je te l'apporte donnerai si tu restes près de moi.

[...]

- Je t'en supplie Deku! Sauve moi!

- KATCHAN!

*Explosion*

- NAN! KAT ...

Un bruit sourd retentit, le réveillant en sursaut de se cauchemars. Il observe Dabi courir vers lui, dans la panique la plus total.

- Que ce passe-t-il?

- Cette bâtisse est vieillot, tu le vois bien. Mais le toit vient de tomber. En a peine une semaine, on se retrouve à errer dans ce trou paumé.

Porter, il se retrouve à l'extérieur. Il observe la poussière et se tourne contre le noiraud, pour oublier ce qu'il se passe, ce mauvais rêve sans fin.

- Ça va aller. Tu seras sauver.

- Je veux Deku.

- Il viendra, je te le jure sur tout les Dieux des croyants, qu'il va venir de chercher. En même temps, un cul comme toi ne s'oublie pas.

- Pervert.

- Mais je dit par pur ironie.

- Tu dis par pur vérité. Mais je sais que j'ai un beau cul pour qu'on me le viole.

- Eh, tu es traumatisé, normal. Mais c'est passer, donc oublie. Ton petit Deku viendra et hop, tu partiras.

- J'aimerai tant.

Ils marchent encore longuement avant de se retrouver dans une ville.

- Bon, j'ai trouver où on se loge. Suivez moi, apparaît Shigaraki.

Ils le suivent sans broncher vers un bâtiment ayant une peinture fraîche.

- Ça a été rénové récemment. Donc, rien de grave va nous arriver.

- Ok.

- Installez vous. L'oméga doit être avec le maître. C'est l'ordre donnée. La chambre est dans le couloir, au fond.

La peur au ventre, il se doit de se rendre dans la pièce. Il calme sa respiration avant d'être tiré violemment dans une piece. La panique prend son corps en voyant la personne tant redouter face à lui.

- Tu allais dans ma chambre, hein? Il ne t'a pas dit de se rendre dans mon bureau? Un bon à rien. Et ce Dabi toujours présent. Ça m'énerve. Tu le sens de plein fouet!

Il remplie la pièce d'une odeur de cuire, impregnant Katsuki de son odeur. L'envie de vomir le prend mais reste tout de même fort face à cette alpha. Et un énième coup se passe pour le retrouver un moment après, dans un lit, fatigué de ce train de vie.

Il regarde, vide, la pièce, tremblant de froid. Il ferme les yeux, pensant à son passé bien plus heureux que l'actuelle avant de s'endormir.

Une main passe dans les cheveux blond avant de passer sur la joue, le pouce passant sur les lèvres rosés.

- Bonne nuit mon petit oméga.

A moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant