Dans l'enfer, un minimum de paradis

62 8 0
                                    

Retour en arrière.
Avant qu'Izuku se décide à chercher Katsuki.

Froid.
Mal.
Peur.
Triste.

Encore une fois dans la pièce sombre, abandonné de toutes choses.

Seul.
Vide.

Savoir qu'il n'est plus dans son cher lui, avec ses amis le terrifie.

Dégoût.
Salit.

Voilà ce à quoi il ressent depuis son arriver. Rencontrer des personnes qui n'ont pas la même image de la vie lui fait mal. Avoir rencontrer le chef de cette partie du pays l'a terrifié. Mais le plus choquant, graver en lui était ces images. Il a vécu des similaires, et bien avant d'être arriver au Sud.

Alors qu'il sent les bras bien musclés de la personne autour de sa taille, il réprime en tremblement avant de se tourner vers la personne.

- Coucou, mon petit oméga. Comment tu vas aujourd'hui? Notre bébé se porte bien, aussi?

Il baisse les yeux, grimaçant sur la vision de son ventre.

- Ça va dans les deux côté, murmure-t-il.

- Bien. J'ai besoin de toi. On va aller dans mon bureau et je voudrait que tu me rende un service.

La peur envahit le corps de l'oméga. Il n'a plus aucune force pour s'opposer à cette homme, bien plus grand et opposant que lui.

Ils entrent dans la pièce et reste dans l'entrée. Il observe l'alpha s'assoir sur sa chaise en cuir noir, et observe de ses yeux, dans ceux de son petit oméga.

- Approches.

Il s'approche doucement, prenant des longues minutes à arriver à destination. Il sent une force sur ses épaules, auquel le corps réagis par des tremblements avant de s'effondrer au sol. Le poussant sous le bureau, il approche sa chaise avant de montrer quelque chose du doigt.

- Je ... Je peux pas ... Je suis fatigué, supplie Katsuki.

- Moooh, tu vas le faire et tu auras une récompense.

La porte s'ouvre en voler, laissant un petit groupe rentrer.

- All for One, on a dû nouveau.

La main dans les cheveux blond incite à Katsuki a faire ce que All for One souhaite.

- Aah ~ Qu'est-ce donc?

- Overhaul veux qu'on s'allie.

- Si il coopère avec nous, on pourrait soumettre le pays à nous, interviens une blonde, exciter.

Le silence s'installe avant qu'un rire grave prend sa place. L'homme se redresse de sa chaise et pose ses mains sur son bureau en bois.

- Génial. Une des branches de mon plan est accessible. Il me faut lui et son groupe, allier à nous. Une fois que tout le monde est à nos pieds, on le tue. Disposez.

En a peine une minute, la porte claque. Ne perdant pas de temps, la poigne sur le corps frêle de l'oméga se fait ressentir. Il est poser sur le bureau, à moitié allonger par la fatigue.

A moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant