Tu arrives à Yuei en cours d'année. Mais pourquoi...?
Tu es une fille normale... ou du moins c'est ce que tu fais croire. Jusqu'à cette événement où la vérité éclate au grand jour, ton secret est révélé. Comment vont réagir les gens ...oseront-ils r...
PDV: T/P J'entendis quelqu'un ouvrir la porte, alors je sécha rapidement mes larmes. C'était Katsuki.
Katsuki: Hum... ça va ?
Moi: Oui oui. Je ne voulais pas qu'il me voit comme ça, aussi faible et vulnérable. Mais une autre larme coula. Je me dépêcha de refermer la porte mais une main la retenait.
Katsuki: Je sais que ça va pas, ça sert à rien de mentir.
Il s'approcha de moi et me prit dans ses bras. Je ne suis pas tactile, les contacts physiques me mettent mal à l'aise mais je n'étais pas en posture de le repousser. Je posa alors ma tête sur son épaule, je pouvais sentir son souffle dans ma nuque. On était collé l'un à l'autre. Il me serrait fort. Ça faisait tellement longtemps qu'on ne m'avait pas fait de câlins. Je ne pensais pas qu'il pouvait être aussi doux.
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Il me lâcha et passa sa main dans mes cheveux.
Katsuki: Tu parle de ça à personne!
...
Moi: Je pense que je vais aller prendre l'air.
Katsuki: Je t'accompagne.
Pour sortir j'avais un sweat noir et un training de la même couleur. Katsuki, lui, il avait un débardeur noir et aussi un training noir. On avançait sans dire un mot. Mais au moins pour une fois je me sentais pas seule.
Moi: Pourquoi t'es pas tout le temps comme ça?
Katsuki: Les gens sont chiants et c'est parfois plus facile de s'énerver que d'expliquer.
Moi: Je comprends. Et moi je suis chiante ?
Katsuki: Moins que les autres.
Est-ce que c'est un compliment?
On a fini par s'asseoir sur un banc dans un parc à côté.
PDV: Katsuki Avec tout ce qui est en train de se passer j'espère qu'elle ne va pas s'imaginer des trucs.
Moi: Pourquoi tu pleurais? Elle ne répondis pas. Moi: Fait pas genre que tout va bien. Je vois bien que tout comme moi tu n'es pas aussi forte mentalement que tu voudrais le faire croire.
T/P: C'est à cause de mon père. Me dit-elle d'une petite voix.
Moi: quoi ?
T/P: Si j'ai pleuré c'est à cause de mon père. Il m'a appelé, même à travers le téléphone j'ai bien entendu qu'il était défoncer. En prononçant ces mots elle laissa couler une larme et puis deux et elle se remit à pleurer.
