Patience...

Chapitre 1- Circé Hernandez

Hey! Voilà le premier chapitre , j'espère qu'il vous plaira. N'hésitez pas à me le faire savoir en commentaire. Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes que vous pourrez trouver.

Je refais un avertissement ici mais ça sera le dernier. Si vous êtes sensible à la violence, le sang ou le sexe ce livre n'est pas pour vous. Il est encore temps de faire demie tour. Mon histoire aborde beaucoup de sujet (souvent tabou) alors soyez avertis.

Pour ceux qui resteront.
Bonne lecture à tous! ;)

Ps: dites moi si vous avez une préférence de longueur pour les chapitres. Vous préférez qu'ils soit longs ou court?

17h50-Mexique, Acapulco.

Dix heures et cinquante minutes.

Dix putain d'heures et cinquante putain de minutes!

Dix minutes. Encore dix minutes de mierda. Je t'interdit de craquer. Tu n'as pas fait tous ça pour abandonner maintenant.

La petite voix dans ma tête se fait interrompre par un coup particulièrement bien placé qui eu pour effet de me couper la respiration quelques secondes. Je n'ai pas eu le temps de contracter les abdos, son poing vient littéralement de ratatiner mes organes .

Voilà bientôt onze heures que je subit cet entraînement dans la cave de mon oncle. Rué de coups et d'insultes. Je ne suis pas attachée, pas menottée, j'ai la possibilité de mettre un terme à cette mascarade si je le veux. Mais je sais bien que ce que j'encours si je met fin a cette séance, ça sera bien pire .

Alors je la ferme.

La douleur n'est qu'une illusion.

Aucun son.

Pas de gémissements.

Je ne cille pas.

Parce que c'est ce qu'il attend de moi.

Placée au centre de la pièce vêtu d'un simple legging et d'un débardeur, tous deux noir. Debout sur mes deux pieds, les bras le long du corps. J'ai interdiction de parler, de bouger, et encore moins de me défendre. Et dieu sait que je si je réponds à ses provocations, tío Ricardo ne s'en sortirait pas indemne.

Mais, alors que ce dernier allait m'affliger un énième coups, la sonnerie de son téléphone se fait entendre. Annonçant la fin de la séance.

Onze heures.

Cela fait onze heure qu'il m'inflige ce traitement dans sa cave. Cette pièce vide, sale, seulement éclairée d'une ampoules qui pend au milieu de la pièce.  Le seule meuble présent est une armoire dans laquelle se trouvent les armes, tous plus insolites les unes que les autres pour mes séances.

Aujourd'hui j'ai eu le droit à la barre de fer, le balai en bois, la batte de baseball métallique, la planche à découper, et bien évidemment les fameux poings américains. Ces derniers ont étaient utilisés dans l'unique but de me faire réagir en m'assenant de coups. Mais encore une fois, j'ai tenue. Depuis maintenant 15 ans toutes les séances d'entraînements vont en ma faveur. Et malgré mon état pitoyable, la fierté d'avoir tenue jusqu'au bout oblige le coin de ma lèvre fendu par les coups à se retrousser. Fièrement, sourire en coin je regarde le frère de mon père qui se tient face à moi. La sonnerie cesse enfin et les sourcils de tío froncés depuis 7H du matin se détendent miraculeusement.

Et c'est en affichant un visage neutre que mon oncle me dévisage avant de me lâcher un simple.

- Bien.