Chapitre 2:

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[t/p] : Très bien caporal.


Nous allâmes jusqu'au quartier du bataillon d'exploration, je suivie le caporal sans broncher. Nous arrivâmes enfin devant une porte où il toqua, puis une fois la porte ouverte, il m'invita à entrer et à m'asseoir sur l'uns des deux sièges devant un bureau où un homme sans expression me regarda de la tête aux pieds.

Une fois assise sur la chaise plutôt confortable à mon goût, l'homme debout à ma droite pris la parole en premier.

Livai: J'ai trouver cette recrue pas très loin du quartier général, elle refuse de me dire son nom, et son  nom d'escouade, j'espère que vous connaissez cette gamine.

L'homme assis en face de moi assimila les paroles de l'homme qui finit de parler.

Là, j'étais dans un sacré pétrin, je sais pas comment je vais sortir d'ici.

[t/p] calme toi. Il dit ça pour te faire peur mais ils vont de relâcher dans quelques minutes. Reste neutre et tout va bien se passer.

Erwin : je vois, merci Livai. (en se tournant pour me donner sa parole) Dites moi, qui vous êtes et quelles sont vos fonction au sein du Bataillon ?

[t/p] : Vous n'avez rien à savoir de moi, je suis là juste pour travailler pas pour m'embrouiller avec mes supérieurs.

J'aurais du fermer ma bouche avant d'encore plus m'enfoncer dans cette embrouille.

Erwin : On t'as juste demandé ton nom, en ce moment il y a beaucoup d'espion aux sein des corps de l'armée, maintenant on est prudent sur le noms de nos recrues et plus particulièrement sur celle qui sont nouvelles.

Ça y est je suis cuite, pourquoi ma vie est faites que de problème ?

Livai :(en me faisant face à côté d'Erwin) Dit moi gamine, comment s'appelle le major ?

J'ai signer mon arrêt de mort.

[t/p] : Je ne me rappelle plus.

Livai : C'est bien se que je pensais, pour qui travaille tu ?

[t/p] : Pour le bataillon.

En prenant soin de bien faire paraître la froideur et l'atteinte de la situation sur mon visage.

Les deux se mirent à chuchoter, je ne pu écouter mais de toute façon je savais qu'ils parlaient de ce qu'ils allaient faire de moi.

Si le Boss apprend que je me suis fait chopper de la sorte par le Bataillon, il va me tuer demain au plus tard.

L'homme assis en face de moi décida de prendre la parole :

Erwin : Je vois bien que tu n'as pas les idées claires aujourd'hui. Demain on reparlera de tout cela, pour l'instant tu peux disposer, le caporal va t'emmener en cellule.

Le caporal m'attrapa sèchement le bras et m'obligea à me lever brusquement avant de partir du bureau, juste avant de quitter cette pièce, je fis signe de reconnaissance au major, histoire de faire genre que j'étais de leur côté alors que ce n'était pas le cas.

on m'emmena dans une cellule, je rentrais dans celle-ci sans me révolter, j'essayais encore de me faire petite dans cet endroit pour sortir au plus vite. Si j'utilise la force, ils vont avoir encore plus de doute sur moi. Je préfère étouffer se quiproquo au plus vite pour que je sorte au plus vite.

En attendant, j'étais dans une pauvre cellule avec un lit à gauche de la pièce et un sceau à droite de la pièce et trois mur. Les barreaux me donnaient une vision directe sur un mur en brique en fasse de ma cellule et deux chaises en vision directe sur ma nouvelle cage. 

Pendant que j'étais dans mes pensées, l'homme qui m'avait accompagné été déjà parti.

Il était que le début de l'après-midi, et l'homme aux cheveux blonds avait dit qu'on se reverrait demain, donc je présumais que je devait attendre jusqu'à demain. 

Attendez, je dois vraiment rester jusqu'à demain avant de sortir de se troue à rat??! je déteste attendre, je sens que ça va être long.

Puis surtout qu'est-ce que je vais dire au boss pour la commande ??!il va me tuer c'est sur.

En attendant je réfléchissais à ce que j'allais dire au major. Si j'invente un nom ça va être cramé à tous les coups, puis ils sont pas tous stupides ici, ils vont vite remarqué mon stratagème si ce n'est pas déjà fait...

Il faut que je sois plus maline que ça, mais comment ? Bonne question.

Je finis mon après-midi à réfléchir sur certaines questions qu'ils allaient me poser et mes réponses pour ne pas éveiller les soupçons.

Ils ne le savent pas encore mais ils s'attaquent à un gros morceau entournant l'attention sur ma personne.

Enfin bref, après cette longue réflexion j'attendais mon repas du soir qui est bien sûr, jamais arriver, en même temps je m'attendais à quoi ? je suis une inconnue et un problème pour ses personnes.

Tout ce temps à réfléchir était l'occasion idéal pour penser plus en profondeur sur ma vie, moi-même. Pour au final venir à la conclusion que je suis juste un objet pour tout le monde, ma vie n'a était qu'un tas d'ennui et ma vie restera ainsi, quand je repense au passé....Purée faut pas que je craque, pas maintenant, pas ici, je vais trouver une solution. C'est juste une question de temps.

Soudain j'entendis des pas dans les escaliers ce qui fit éclater la bulle dans laquelle j'étais.

C'était bien sûr le caporal chef avec une pomme à la main.

Livai : Tiens mange ça gamine, t'as besoin de force pour demain.

J'étais assez surprise que cette personne vienne m'apporter de la nourriture. Il dû bien voir ma maigreur. C'est vraie que j'avais une grande faim, alors je me leva de mon lit et m'avança vers les barreaux pour prendre la pomme de la main tendue en face de mon visage. Je pris la pomme.

[t/p]: Merci.

Je m'assis sur le lit et pris soin de déguster le fruit.

Livai : Depuis combien de temps tu n'as pas manger ?

[t/p]: Ma vie vous regarde pas. Encore moins mon alimentation.

Je prononçais ses paroles tout en continuant de manger.

Livai : Comme tu voudras.

Puis il partit dans la direction opposée de laquelle il était venu.

C'est vraie que ça fait du bien de manger. En réalité je mange tous les jours, 2fois par jour quand je peux, mais je mange peu en quantité. 

Après se court repas, je pris soin de me reposer, en espérant que le jour suivant sera meilleur qu'aujourd'hui. 

Mais c'était que le début des ennuies.

L'ange Maudit ( Livaï x Reader )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant