L'ange Maudit ( Livaï x Reader )

Chapitre 31:

Après quelques minutes, je vis un groupe d'homme regroupés à côté de la forêt et tous ces hommes étaient commandés par une seule personne en première ligne que j'arriverais à reconnaître parmi des milliers : le boss.

Au purée ça y est, je suis morte, je pensais pas que j'allais mourir comme ça.

Et mais attendez, je n'ai même pas eu le temps de me marier avec Livai, non je peux pas mourir avant notre mariage, impossible.

La panique m'envahit et je mettais toute ma force dans mes coups même si cela ne servait à rien.

Je n'avais aucune envie de le voir et c'était d'ailleurs la dernière personne que je voulais voir sur cette planète. 

J'avais enfin réussi à trouver une vie paisible.

Pour la première fois de ma vie, je faisais quelque chose que j'avais réussi à apprécier, j'avais réussi à m'épanouir dans un quotidien qui était opposé à celui d'il y a quelques mois. 

Mais, la vie avait décidé autrement. Elle avait décidé d'être injuste avec moi et de me ramener que des problèmes. 

La vie me ramenait à la réalité.

Je ne pouvais pas le croire, je me rapprochais petit à petit du« boss » qui m'attendais impatiemment à côté de ses hommes, sûrement pour se faire un malin plaisir de leurs montrer comment tuer une jeune fille. ( Je garantie pas à ces hommes que sa démonstration sera meilleure qu'un tuto YouTube.)

En moins de quelques secondes j'arrivais juste devant lui avec une expression de dégoût.

Boss: Après quelques mois je t'ai enfin retrouvé ! Maintenant on peut rentrer à la maison.

Je ne pensais pas qu'il était aussi crédule. Il ne voyait pas que je me débattais pour ne pas le rejoindre ? Parce que tout ce que j'éprouvais pour lui n'était que du dégoût.

Il ne voyait pas que tout cela était fini ? Que je n'était plus sa possession et qu'en quelques mois j'ai pu changer et que maintenant je n'avais plus peur de lui. Il ne voyait donc rien de cela ?

[t/p]: Je préfère rester ici que de vous rejoindre.

Je n'avais plus peur de lui répondre, et encore moins de le défier du regard.

Boss: Mais je n'ai pas demandé ton avis, tu n'as pas terminé ta mission et mon client attend toujours.

[t/p]: Dans tes rêves, je me sens comme chez moi ici maintenant, je démissionne de ton petit business.

J'avais dit les termes et je me sentais d'une part libérée d'avoir pu lui dire en face que je ne voulais plus travailler avec lui et d'autant plus que j'avais pu me reconstruire une nouvelle vie sans lui.

Boss: Tu crois que ça me fait plaisir de te récupérer et de savoir que tu ne veux plus de moi, tu veux m'abandonner ?

Si il veux jouer sur ce terrain, alors on va jouer.

[t/p]: Oui.

Il me claqua d'un grand coup de main direct dans mon visage. Ma joue partie dans la même direction que la frappe. C'était si violent que j'ai mis du temps à réagir.

Je restais tout de même pas surprise par son geste, il a toujours était violent et quand il s'énerve, c'est pire.

Boss: Réfléchis à deux fois avant de dire des sottises, je ne t'ai pas élevé comme ça.

[t/p]: Tu n'as jamais était mon père, juste un simple inconnu.

Je répondais du tac au tac.