L'ange Maudit ( Livaï x Reader )

chapitre 29:

Je passa de longues minutes dans mon lit à repenser à lui et à sourire comme une mongole. Il avait clairement chaviré mon cœur et son sourire mamamia, il me fait plonger dans un paradis sans fin.

C'était la première fois que quelqu'un me procurer autant bonheur, j'étais si heureuse.

Si à mon arrivée on m'avait dit que tout cela allé ce terminer comme ça, je ne pense pas que j'y aurait cru.

Mais cela me procure un bonheur infini, Livai avait réussi à combler le vide qui c'était installé quelques jours auparavant. 

En repensant encore à cette scène, quand il m'a embrassé, j'étais tellement surprise. C'était a vrai dire inattendu. Mais juste après, je flottais sur un petit nuage. Un énorme sentiment de joie c'était emparé de min corps et je crois que j'étais la plus heureuse du monde.

Sur cela, je me suis endormis en rêvant des événements précédents.

On frappa fort à ma porte ce qui me réveilla d'un coup sec.

Puis l'inconnu rentra sans même que je dise un mot.

C'était bien sûr celui qu'on imagine tous à se moment là, il vint lentement vers moi avant de se poser sur mon lit et m'embrassais tendrement, je ne bougeais pas.

[t/p]: On t'as jamais dit de ne pas mettre les chaussures sur le lit ?

Livai: Et toi on t'as jamais appris la politesse ? Bonjour petite.

[t/p]: Pfff... bonjour minus.

Fis-je en roulant les yeux vers le ciel.

Je commençais à rigoler mais pas lui. Il me regardait avec un petit sentiment de colère, mais il était comme même très mignon.

Livai: Plus de respect microbe.

Il commençais à rentrer dans mon jeu et j'avoue que j'aimais beaucoup ça.

[t/p]: C'est bon t'as gagné vieillard.

Et on rigolait tous les deux après cette phrase, il me fit un bisou puis il se leva d'un coup et il me porta jusqu'à la salle de bain et ferma la porte. Je ne compris pas tout de suite et je croyais que c'était un autre jeu, alors j'essayais de sortir de la pièce mais rien n'y faisait, il bloquait la sorti avec sa masse musculaire.

[t/p]: Livai laisse moi sortir c'est pas drôle.

Livai: Douches toi, tu pue.

[t/p]: Mais....

Livai: Douches toi ou c'est moi qui vient le faire.

Sans rien dire, je fis couler l'eau pour prendre une bonne douche chaude, mais au moment de m'habiller, je vis que je n'avais pas mes affaires, il fallait bien que ça m'arrive...

Je sorti donc avec une serviette et Livai m'observa m'avançais vers mon armoire. Il me bloquait l'entrée et il pris lui-même des affaires avant de me l'ai donner.

[t/p]: Merci !

Livai: Aller, dépêches toi sinon on va être en retard au réfectoire.

[t/p]: Oui je me dépêche Caporal.

Je sorti en appuyant chacun de mes mots avec grand air ironique, surtout sur le dernier mot avant de retourner dans la salle de bain.

Une fois habillée, je sorti et juste avant de partir je lui demandais :

[t/p]: Est-ce que quelqu'un sait pour nous ?

Livai: Non, essayes d'être discrète par rapport à nous deux, on leur dira quand on sera prêt.

[t/p]: Tu as raison.

Après un dernier bisou, nous descendions pour rejoindre l'escouade à la cantine.

Je m'assis juste en face de Livai et je levais la tête pour voir les nouvelles têtes des nouvelles recrues.

Tout le monde me dit bonjour et ils étaient tous content de me connaître.

Je leur dit aussi de bonjour, mais après ça, je ne parlais pas et j'évitais de leurs parler. Je crois qu'ils avaient peur de me parler et cela m'arranger, j'étais pas trop d'humeur à discuter avec eux.

Après la fin de ce petit-déjeuner, je vis Hanji me fonçait dessus telle une voiture de course, je n'ai même pas pu me décaler qu'elle m'écrasa avec tout son poids en me sautant dessus.

Je crois qu'elle était contente de me revoir après quelques jours enfermés.

Sur le trajet pour aller à l'entraînement elle m'accompagna jusqu'au terrain tout en me parlant de tout ce qui c'est passé durant mon absence. Puis elle termina son monologue par une excuse, elle me dit qu'elle était désolée de ne pas m'avoir rendu visite ces derniers jours, elle ne voulait pas me déranger mais je la pardonna très rapidement.

Puis j'étais arrivée sur le terrain et je rejoignis ma nouvelle escouade ainsi que Livai.

Il m'énonça le programme du jour et je commençais l'exercice sans broncher.

Cette journée était plutôt tranquille, je reprenais le rythme de l'entraînement progressivement en essayant de le changer les idées. 

L'après-midi, je me suis occupée des chevaux à l'écurie, une autre recrue m'aida, et on discuta quelques longues heures.

Puis, je n'avais qu'une idée en tête ; chasser toutes ses images atroces qui c'était passé pendant l'exploration extra-muraux de ma tête. Je n'en pouvais plus de voir tous ces corps inertes par terre chaque minutes, chaque secondes de mes journées.

Alors pour essayer de plus pensée à ça, je terminais la soirée par une petite balade à cheval dans la grande étendue d'herbe en profitant de l'air pur et de la fraicheur du début de soirée.

Quelques heures auparavant, je m'étais préparée un pique-nique pour ensuite regarder le couché de soleil sur une petite colline.

C'est ce que je fis, et quand je commençais à ne plus avoir suffisamment de lumière, je décidais de rentrée à ma nouvelle maison.

Après cette longue journée, j'étais épuisée et je n'avais envie que d'une chose : dormir.

Alors j'allais vite fait dans ma chambre et je m'endormis très rapidement profondément.

Mais après quelques heures, quelqu'un entra dans ma chambre et avec la lumière d'une bougie, me réveilla. J'étais en colère par se réveille si brutal.

Mais je n'avais pas vraiment la force d'ouvrir les yeux plusieurs secondes, alors je les refermais en ignorant la personne qui s'avançait vers moi.

C'était bien évidemment mon futur mari qui était là.