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Dans la peau d'Haïssam

J'étais posé entrain de fumer un bon teh pendant qu'une ptite salope était entrain de faire son boulot sur ma bite.

Moi : mets pas les dents frère.

Je sais pas qui lui a appris à sucer mais faut qu'elle refasse un stage.

Moi : eh c'est bon vas-y dégage.

Je me suis rhabillée et elle est sortie de la chambre . J'ai fini mon joint et je suis allée me laver.

J'ai pris mes affaires et je suis rentrée à la barque.

J'ai tcheké Karim et je me suis posé à côté de lui.

Moi : y'a pas un p'tit babtou qu'est venue déposer un sac ?

Il a hoché la tête négativement.

Moi : il se fout de ma gueule lui ou quoi ?

J'ai appelé le gars mais il répondait pas.

Au même moment, ça a sonné. J'ai ouvert et jsuis tombée sur cette pédale.

Je l'ai pris par le col et je lui ai envoyé une patate.

Moi : quand je dis une une heure c'est une heure.

Il a hoché la tête comme un p'tit bolosse et il m'a
passé le sac.

Moi : cours.

Il m'a regardé avec des gros yeux, il avait trop chaud.

Moi : cours !

Dès qu'il a commencé à courir, j'ai sorti mon arme et je lui ai tiré dessus 3 fois.

Moi : rire sale con va.

J'ai appelé un gars et il a débarrassé son corps.

J'ai donné le sac à Karim.

Il m'a regardé en fronçant légèrement les sourcils.

Moi : les armes que j'ai donné aux fermiers.

Il a commencé à compter.

Karim : il manque 5000e.

Moi : j'ai bien fait de le tuer ce fils de pute.

Karim : faut qu'on aille faire un tour chez Rachid.

Moi : j'ai oublié son batard. Ça fait 3 semaines qui nous doit du biff.

On s'est sappé et on a pris la voiture jusqu'à chez Rachid.

Dès qu'on arrive, on voit qu'ils attendaient déjà notre arrivé. Y'avait pleins de gardes.

On les a enculé un par un et après Karim les a tous buter un par un, c'est pour ça que j'aime mon reuf.

Rachid : je vois que ça n'a été qu'un jeu d'enfants pour vous.

Karim : l'argent sinon je te baise ta race.

Rachid : si Karim s'avère à s'exprimer ce que l'heure est grave n'est-ce pas ?

Moi : eh vas-y ferme ta gueule là.

Rachid : j'ai un marché pour vous.

Karim : 1,2...

Rachid : c'est bon c'est bon.

Il a pris une mallette sous son bureau et il l'a sorti.

Karim : jvais compter. Il manque 1€ je te baise ta mère.

Karim était déjà partie.

Moi : continue à nous prendre pour tes p'tits. C'est bientôt ta fin en partant.

Amour criminel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant