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Je venais de rentrer et c'était autour de Salim de lire tout ce que j'avais lu auparavant.

Moi j'étais tellement perdu dans mes pensées. Je pensais à tout ce que la famille de la tranche avait vécu.

Salim : c'est qui ce fils de pute ?

Moi : je me pose la même question que toi.

Salim : un ennemie de papa ?

Moi : non pas jusqu'à ce point et papa nous aurait parler de lui vu comment il est dérangé.

Salim : tu sais on a tous nos secret et surtout dans ce milieu. Peut-être qu'ils nous a caché une grosse histoire.

Moi : t'as pas tord.

Je suis allée me laver et j'ai dormi sans manger, j'étais trop dégoûté de toute cette histoire.

-

Deux jours plus tard

Je venais d'arriver chez Moctar, la porte était déjà ouverte.

Je suis rentrée et j'ai vu Karim torse nu.

Moi : il est où Moctar ?

Karim : il arrive.

Moi : ça t'arrive de mettre des tee-shirts ?

Karim : T'aime pas ?

Moi : non.

Karim : c'est bien.

Je me suis assise et j'ai commencé à regarder un peu la maison.

Moctar : salut la sœur.

Moi : t'étais où ?

Moctar : voir une mousso comme d'hab. Mais bon le travail m'appelle on dirait.

Moi : je suis là pourquoi ?

Moctar : on sait que t'as une clé et tu nous la pas dit.

Moi : pareil pour les papiers. On est toujours ennemie à ce que je sache. 

Il a rigolé avant de regarder Karim.

Moctar : c'est pas une ptite conne t'avais raison.

Moctar : bon on te donne les papiers et tu nous donne la clé.

Moi : non. La clé ne concerne que moi, c'est sur mes parents.

Moctar : peut-être qu'on a des éléments qu'on peut coordonné.

Moi : non je ne veux pas. On s'aide avec ce qu'on trouve pas ce que chacun trouve.

Moctar : mais ça sert à quoi alors ?

Moi : tu m'as demandé de vous rejoindre pour ça ?

Karim : tu servais à rien toute façon.

Moi : toi ferme ta gueule. Tu sers à quoi toi ?

Karim : tu vas voir à quoi je sers.

Moctar : eh vas-y moi je vous laisse.

Il est monté en haut et Karim s'est approché de moi.

Je me suis levé et il m'a regardé dans les yeux donc j'ai fait de même intensément.

Il s'est mis à fixer mes lèvre puis mes yeux. Je commençais à sentir une chaleur en moi, je sentais que j'allais pas me contrôler.

Il m'a regardé une dernière fois et il est partie.

Karim : sale conne.

Il est monté lui aussi à son tour.

Amour criminel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant