Amour criminel

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Une semaine plus tard

Rien ne s'était passé depuis. Aucun message, aucune odeur, rien.

Aujourd'hui y'avait encore de ses réunions de merde organisé par Rachid mais celle-ci semblait importante vu qu'il avait une annonce à nous faire.

Ce qui veut dire que tous les chefs de gang seront présents. Rachid personne ne l'aime vraiment mais c'est un des plus anciens.

Salim : tu penses qu'on peut laisser Inaya seule ?

Moi : je pense pas que ce soit une bonne idée.

Salim : oe moi aussi elle est encore traumatisé, elle fait encore des cauchemars et pleure la nuit.

Moi : faut que tu l'emmène chez une de ses potes. On peut pas la laisser comme ça.

Salim : vas-y.

Inaya va un peu mieux mais avec elle j'ai compris qu'un viole c'est juste tuer quelqu'un sans prendre son âme.

C'est l'une des premières fois que j'ai autant pitié de quelqu'un, surtout qu'elle n'a rien à voir dans nos histoires.

Du coup je suis partie me préparer.

J'ai mis une longue robe noir coupe sirène avec quelques strass noirs avec des talons noirs et j'ai laissé mes cheveux en repassant quelque coups de lisseur.

Avec un maquillage tout simple, d'ailleurs c'est Inaya qui m'a appris à me maquiller.

Je suis descendue vu que Salim et Issa m'attendait.

Salim : la beauté c'est de famille on dirait.

Issa : oe mais toi on t'as raté.

Salim : ferme ta gueule toi. Y'a aucun qui touchera ce dimant.

Moi : c'est de toi que tu parles Salim ?

Salim : oe t'es une Pierre précieuse en mettant son bras autour de mon cou.

J'ai enlevé son bras et le tchipant.

-

21h23

On est arrivé devant une sorte de villa/ manoir en tout cas c'était très grand et assez beau.

Y'avait vraiment tout le monde, Issa n'avait pas menti.

Comme d'habitude, des regards comme si ils n'avaient jamais vu de femmes avant.

Un serveur nous a proposé des verres qu'il faut toujours refusé, c'est une trop bonne occasion pour nous empoisonner.

Bruno : la femme noir est d'une beauté exaltante.

Je me suis retourné.

Moi : c'est pas faux.

Bruno : vous êtes magnifique.

Moi : merci.

Bruno : je ne savais pas que vous viendrez sachant que vous ne portez pas Rachid dans votre cœur.