26

527 36 55
                                    

Imran : vos grands parents étaient les seuls bandits venant d'Afrique à cette époque la.

Imran : vous savez les plus gros bandits de France étaient les portugais et les espagnol. Mais quand vos deux grand pères se sont vu. Ils ont chacun vu le potentiel de l'autre. Ils se sont mis à travailler ensemble certaines fois mais au fond il se méfiaient beaucoup.

Imran : il y a eu beaucoup de coup bas de la part des deux. Mais personne s'en mêlait car on savait qu'ils allaient se reparler et devenir les ennemis de tous. Un jour, il est arrivé quelque chose de très grave, très très grave. Et là ça été la guerre jusqu'à bout.

Imran : c'est pour cette raison que aujourd'hui vous êtes en guerre et c'est pour la même raison que vos pères étaient en guerre.

Imran : pourtant vos pères étaient alliés au début comme vos grand parents mais ils ont fini par se détester pour une histoire complètement futile.

Imran : si je vous vois aujourd'hui. C'est pour vous persuader d'arrêter cette guerre et de vous serrez la main pour vaincre votre ennemie qui n'est pas un simple homme. Il a une haine profonde contre vous, une haine qui vous ne pourriez même pas comprendre.

Imran : il a agit comme un serpent venimeux. D'abord, il vous observe, ensuite il rôde autour de vous, il vous étrangle, vous mord et vous mange.

Imran : il est plus vicieux que le mot vicieux. Cet homme est le diable en personnne.

Karim : ça sert a quoi de nous dire tout ça si tu dis pas le blaz ?

Imran : je tiens à ma vie. Il pourrait me tuer et c'est à vous de le découvrir, je n'en sais pas plus que ça sinon je vous l'aurait dit mais du peu que je sais, il est dangereux et prépare sa vengeance depuis longtemps.

Imran : vous pensez que c'est Bruno ou alors Rachid les hommes du trafic alors que c'est lui. Il a survécu à tout et a tout vu. Vous ne savez pas de quoi il est capable.

Imran : mais j'étais présent lors de vos deux fêtes de naissance et des que j'ai posé les yeux sur vous. J'ai su que c'était vous. Vous deux qui allaient pourvoir le détruire.

Imran : ça va peut-être compliqué. Mais vous êtes fort. Je doute pas de l'éducation que vos parents vont ont donné.

Karim s'est levé et j'ai suivi.

Imran : on se reverra quand vous aurez avancer dans votre enquête.

On est montés dans la voiture et il a allumé un joint.

Moi : t'en penses quoi ?

Karim : on règle ça et après on règles nos problèmes.

Moi : non je pourrais pas retenir mon frère de vous tuer mais pourquoi ils parlent de nous deux comme ça ?

Karim : je suis dans la même situation que toi. Me casse pas les couilles.

Moi : j'ai plus droit de poser une question ?

Karim : tu donnes mal aux crâne rhoya.

Il a démarré et il est allé dans un restaurant.

Moi : j'ai pas faim.

Karim : c'est pour toi ?

Il est descendue de sa voiture et il est rentré dans le restaurant.

-

Quelques minutes plus tard, il prenait trop de temps donc je l'ai rejoins.

Moi : tu manges ou on te manges ?

Il m'a regardé archi mal.

Bon je vais manger moi aussi.

Je me suis posée et j'ai commandé.

Amour criminel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant