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2 semaines plus tard

Travailler, travailler, essayer d'oublier, être dans le déni, la salle de sport et se sentir mal mais cacher sa souffrance sont les seuls choses que je connais ces deniers temps.

C'est vrai, il me manque.

Je vous parle à cœur ouvert.

Mais je ne peux pas retourner vers lui après tout ce qu'il m'a fait.

Sofiane : eh Alika, Brahim il est en zonz.

Moi : quoi ? Comment ?

Sofiane : il était recherché en Espagne donc il a voulu fuire mais ils l'ont attrapé.

Moi : un ennemie en moins.

Brahim en prison ? C'est une bonne nouvelle ça.

Bref j'étais entrain de suer comme une fontaine a taper dans le punching ball quand mon téléphone s'est mis à sonner.

Inconnu : allo ?

Moi : oui.

Inconnu : bonjour Alika.

Moi : oui bonjour.

Inconnu : j'ai le regret de vous annoncer que Brnuo Alcatera est décédé ce matin.

Moi :

Inconnu : je vous présente mes condoléances. Il faut que vous veniez remplir quelque papiers, il a tenu à ce que ce soit vous qui les remplissent.

Moi : j'arrive.

J'ai pris une douche vite fait et je suis allée
à pied jusqu'à l'hôpital.

Médecin : bonjour vous êtes Alika ?

Moi : oui.

Médecin : ok venez.

Il m'a ramené devant une salle avec une vitre transparente.

Médecin : êtes vous en mesure de rentrer ?

J'ai hoche la tête et il m'a ouvert la porte. 

C'était bien lui avec un corps sans vie, les yeux fermés et le corps bleuté. 

Médecin : vous confirmez que c'est bien lui ?

Moi : oui.

Médecin : ok. Je vous laisse un instant ?

Moi : non allons signer les documents.

Il m'a prévenue que une fois qu'il m'aurait dit toute la vérité, il mourra. Je suppose que c'est Musa qu'il l'a alors tuer.

Médecin : il a des documents pour vous et pour un certain Karim Ben Khadir. Vous le connaissez ? Vous pouvez lui dire de venir ?

Moi : je n'ai plus contact avec cette personne.

Médecin : pourtant sur les papiers de testaments, Monsieur Alcatera offre toute sa richesse à un supposé enfant qu'il est le vôtre et celui de Karim.

Bruno est vraiment sérieux dans son affaire genre.

Moi : en rigolant tship déchirez ça.

Médecin : on ne peut pas et même si on pouvait c'est écrit dans son grand testament donc bon. De toute façon ce n'est pas pour vous, c'est pour l'enfant.

Moi : il y a pas d'enfants.

Médecin : bah pour les enfants qu'il y aura.

Au même moment, je vois Karim par la vitre transparente.

Amour criminel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant