Un sentiment qui dépasse les blocs de ciments.
- : C'..es..t euh S..ouheine. Dis-je essayant de cherché mes mots.
Souheine : Oublie Inlay.
Il mit ses mains dans ses poches et traversa la route. Le cœur battant, la boule au ventre mes membres devenait incontrôlable il ne pouvait pas sans aller comme sa, il n'avait pas le droit je ne pouvais pas rester sans réponse dans l'ignorance la plus totale, il fallait que je comprenne, que je sache, que je vois ou juste que j'entende. Il fallait qu'il me rassure sur tout ça, il devait être la, il n'avait pas droit de s'en aller avec le peu de force qu'il me resté j'accrochai son bras le secouant violemment et tout aussi brutalement il se retourna vers moi :
- : Tu peux pas t'en aller comme sa, t'as pas le droit, me laisse pas comme sa Souheine, tu peux pas partir.
Il resta silencieux, intouchable, froid sans aucun regret, aucun remord, stoïque.
Il regarda ma main posé sur son bras et délicatement il la retira.
- : Qu'est ce que tu veux ? Il sait rien passé me soule pas.
- : Tu peux pas faire sa et te casser comme un voleur je suis qui moi ? Je suis qui moi Souheine.
- : Alors tu crois que t'es une exception ? On n'a tapé discute plus de 5 minutes et tu t'es sentit poussé des ailes ? T'es une personne parmi tant d'autre Inlay je fais ce que je veux quand je veux rentre sa dans ton crane.
- : Pourquoi t'es la Souheine ? Sa t'amuse de blesser les gens ? Tu veux que je pleure une nouvelle fois dans tes bras c'est sa que tu veux ? Ils avaient tous raison j'suis juste une pauvre idiote t'approche plus jamais de moi tu m'entends.
Je fis demi-tour, déçue et blessée par toutes ces paroles. Mais celui-ci m'attrapa le bras fermement afin de m'empêché d'avancer.
- LACHE MOI ME TOUCHE PLUS JE VIENS DE TE DIRE !!!
Sans prêter attention à mes paroles, comme pour me défier, il m'attrape le deuxième bras et l'avança vers lui.
- JE T'AI DIS DE ME LACHER QU'EST-CE QUE TU COMRPENDS PAS ?
Il serra encore plus fort et agrippa ma nuque. Je gigotais dans tout les sens incapable de me dégager, il me tenait fermement, s'approchant violement vers moi.
- J'suis pas ton pote moi.
- : J'ai compris Souheine et je m'en fiche lâche moi.
- Je suis pas ton pote Inlay, j'ai jamais rien fais pour l'être.
- : d'accord lâche moi maintenant.
- Écoute moi, écoute un peu au lieu de t'agiter comme une dinde là. Écoute.
- : J'ai plus envie de t'écouter j'en n'ai assez je veux que tu me lâche que tu sors de ma vie va t'en loin de moi va chercher une autre personne a qui tu pourras faire la misère.
- : tu le penses pas.
- : SI JE LE PENSE JE VEUX PLUS JAMAIS TE REVOIR.
« Je sais d'où je viens je ne sais où je vais la vie m'apprend que rien n'est certain je sais d'où je viens mais où aller? Quand je vois au loin le vice avancer je sais d'où je viens je ne sais où je vais.»
J'ai perdu la notion du temps, j'ai perdu mes repères j'ai essayé de me reconstruire akhy comme j'ai pu, j'ai tout donné pour que ma famille ne manque de rien j'ai encaissé les coups dure de la vie j'ai pardonné les erreurs des autres, j'ai soutenu mes amis, j'ai du respect pour nos grands frères.
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Mon ghetto Français
General FictionJe suis qu'une banlieusarde balafrée par les éprouvent de la vie, j'en n'ai reçu des coups dans ma court existence, j'ai vécu se que personne a su, j'ai subi ce que personne aurait cru ! hak Allah que j'ai ramé, j'ai ramé quand d'autre ce sont laiss...