« C’est ma vie, mon amour »
[Cracher la vérité amère, de la part de la classe ouvrière Passer mes nerfs a travers quelques vers Changer les choses, c'était le but C'est c'que j'ai cru Je suis venu, j'ai vu, j'ai fait ce que j'ai pu Je te le jure J'ai été jusqu'à parler de moi Moi qui d'ordinaire préfère me taire Muet comme un voyou devant l'commissaire J'ai essayé d'être juste, peu importe s'ils me croient J'ai essuyé des insultes, et mes yeux quelques fois Quel qu'en soit le prix à payer, j'paierai J'préfère mille fois crever debout que vivre à genoux, c'est vrai J'ai dû ravaler ma fierté, tenté par des vieux démons En faisant semblant de sourire pour ressembler à tout l'monde J'ai même mis d'côté la honte Pris sur moi souvent Afin de mettre des mots sur mes dégoûts, mes tourments Mis à poil en parlant d'moi, un peu il fallait qu'ils le sachent Ce qui se cache derrière le masque Mon côté face ténébreux Un côté sage qui semble n'être une mascarade fragile Parce que, comme Anakin, j'ai la colère facile Je suis pire que c'qu'ils imaginent Parfois la violence me fascine ]
J'ai beaucoup trop de chose a faire partager de nature silencieux je ne sais pas par ou commencer rien a faire de l'image que je renvois j'ai jamais su ce que je voudrais faire mais je savais d'avance quelle homme je voulais être j'ai grandi avec la rue j'ai grandi sans repère j'ai préféré choisir le chemin de la facilité jamais était celui qui suit les bancs de l'école akhy déçu de ce que le système me renvoie j'ai déserté la France dans haut côtoyé la mort de loin je suis l'homme qui a perdu son cœur l'homme du ghetto celui qui n'a jamais trouvé le temps de vivre une vie normal et puis je vous parle de la rue je vous parle de la mère qui m'a élevé j'ai quitte le berceau trop tôt moi je viens de loin trop loin pour mes banlieusards elle m'a donné l'argent pour nourrir ma famille elle m'a bruler le vo-cer noyé dans la drogue elle m'a plante des couteaux dans le dos elle m'a élevé a la dur elle ma charmé akhy et comme un con j'ai succombé ma réussite je la doit a personne je m'impose ou je vais mon respect je l'ai mérité j'ai jamais eu le temps de freiner j'ai pas eu le temps de côtoyer les halls perdu dans l'argent facile j'ai tous fait pour me faire une place dans le milieu 25 ans après j'en suis là j'ai passé ma vie à courir j'ai toujours visé plus loin que le bitume aujourd'hui j'entends mon nom dans tout les ghettos français je suis l'homme qui n'a jamais aimé pour certains l'homme a ne pas côtoyer pour d’autre j'ai briser toutes les règles pour que mes banlieusards suivent les mienne c'est moi qu'ordonne c'est moi qui dirige et les autres se la ferme je fourni de la mort au gens détruit des vies des familles des ghettos entiers je suis l'homme a abattre l'homme a remplacer j'ai perdu mon éducation la pitié chez moi n'existe pas j'ai délaissé ma famille; mes amis; mon quartier pour ne pas crever comme un chien pour ne pas faire parti de mes frères qui tiennent les halls j'ai fait couler les larmes de ceux que j'aime mais au delà de ce que j'ai pu perdre dans ma vie j'ai perdu mon coeur entier j'ai perdu mes sentiments j'ai vu des hommes pisser le sang devant ma balafre j'ai vu des frères de cœur crever sous mes yeux mais ces scènes aussi horrible qu'elle soit non pas réussi a piquer ce que j'essaie de faire réanimer depuis des années. Pourtant de l'amour j'en n’ai eu de la par de la gente féminine j'ai jamais était un homme a femme la rue me suffit pas besoin d'autre chose dans ma vie combien de fois j'ai brisé des pauvres petits cœurs jamais eu de regret rien à faire de m'en aller en voyant une femme pleuré derrière moi rien à faire de passer pour un connard j'ai jamais rien fait pour ne pas l'être.
Jamais bondi les armes pour protéger mes arrières jamais eu peur que mon cœur succombe j’ai baissé les armes sans savoir que j’allais briser des promesses que j’ai fait il y’a des années j’ai tous fait pour ne pas me rendre compte de l’erreur que j’ai osé faire essayant de me convaincre que sa va me passé qu’une femme ne pourra jamais me charmer j’ai cramé mes plans du futur j’ai même osé perdre la notion du temps mais quand une perle te tombe dessus lorsque ta vie se résume a la mort comment faire pour ne pas se laisser emporte ? J’ai jamais rêvé d’avoir une famille, jamais eu l’envie de me posé, j’ai toujours était un homme solitaire qui avance sans vraiment savoir ou aller mais elle était là, elle ma juste regardé pour simplement me rendre paro parce que je suis entrain de devenir complètement fou cette mra me rend malade putain de merde elle a tout pour elle, un ghetto entier qui l’aime des anciens qui la soutienne une vie de merdre mais le courage de dizaines de rajel elle est paro ces yeux me rend paro son visage me rend paro sa mentalité me rend paro son caractère me tue et j’ai tout fait pour pas craquer j’ai quitté ma famille, le quartier pour ne plus penser a elle mais akhy je crois que je suis tombé. Bien sur qu’elle mérite mieux bien sur que cette femme est un ange, une perle pour tout un ghetto bien sur que je suis qu’une pourriture a côté d’elle mais comment on fait quand ces trucs de merde vienne t’empoisonner t’empêche de réfléchir au point a ne plus savoir ce qu’est entrain de se passer dans ta propre vie.
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Mon ghetto Français
Ficción GeneralJe suis qu'une banlieusarde balafrée par les éprouvent de la vie, j'en n'ai reçu des coups dans ma court existence, j'ai vécu se que personne a su, j'ai subi ce que personne aurait cru ! hak Allah que j'ai ramé, j'ai ramé quand d'autre ce sont laiss...