[Marseille]
J'ai parcouru des kilomètres, j'ai été jusqu'à déposer mon armure moi qui mettais promise de ne jamais faiblir j'avais tout prévu, j'aurais tout donné et même si tout me manquer j'étais parti chercher la perle le rare pour ma famille, mes amis, pour ma mère, mes frères, pour espérer un avenir, j'avais tout donné je n'avais rien demandé en retour et malgré les embûches et les épreuves j'ai donné tout ce que je pouvais et que mon seigneur en soit témoin je n'ai jamais regretté de mettre oublier en route, de mettre perdu entre les crises et le ghetto j'avais perdu mon pilier Abdallah un ange parti trop tôt le temps c'etait arrêté de tourner pour mon ghetto aucune larme n'avait coulé j'ai poursuivi mon chemin délaissant ma propre peine, que le ghetto soit témoin pour mes dire j'ai tellement prier pour qu'il m'apaise de mon chagrin, mon visage est marqué par la fatigue mon coeur est déchiré j'ai été trop naïve, trop bonne, trop conne, trop optimiste et maintenant ?
Et maintenant ?
Si on m'avait donné un peu plus de temps, si mon frère serait encore la, si j'avais pas autant renfermé mes sentiments, et si j'avais lâché des larmes ce jour là, si j'avais pleurer dans mon enfance si le ghetto ne m'avais pas aussi pourri, si il aurait continuer à m'ignorer, si ces yeux ne m'avais pas fait autant craqué, s'il avait des sentiments, si mon coeur n'avait pas succombe entraînant tous ces sentiments ces pleures cet amour et tous ces cries, sa violence ces non dit.
J'avais passé une semaine de plus dans le ghetto j'étais plus la même je bossais toute la journée 24 heure sur 24, j'avais plus assez de force mais je lachais rien, j'ai oublié les autres plus de nouvelle de ma part j'étais plongé dans un long silence sans donner aucune explication je sortais du ghetto solitaire et je revenais aussi fermé cas mon départ j'avais passé mes nuits à réfléchir, à culpabiliser j'étais dans un trou noir alors en secret je préparais mon départ je faisais ma valise mettant le strict nécessaire prévenant ma mère et ma soeur de mon départ sans rentrer dans les détails je quitté le ghetto j'avais besoin de respirer, de changer d'air, j'avais besoin de me reposé juste un peu, une semaine loin de la France d'en bas, loin de mes banlieusards les anciens n'en savait rien j'avais coupé les ponts avec eux aussi. Cette nuit la j'avais essuyé mes larmes couru des dizaines de kilomètre j'avais crié ma rage a qui voulait bien l'entendre vivre ma vie, j'avais juste besoin de vivre une vie normal. You m'a retrouver dans cet état j'avais tout déballé, tout lâché longtemps il avait gardé le silence avant de me prendre dans ces bras me certifiant que Souheine était fou de moi à un point que je ne m'en rendais même pas compte qu'il l'avait toujours connu et si ce n'était pas moi jamais il aurait cru ce que je racontais.
Je l'ai parlé de mon départ et il m'a soutenu jusqu'au bout valise à la main la tête rempli de remord je serra ma seul famille dans mes bras les promettant de revenir bientôt. J'ai traîné ma valise dans les escaliers jusqu'au dernier étage. Et en bas de la tour y'avait tout un ghetto comme s'ils c'étaient donné le mot ils étaient posé tenant les murs j'ai souris doucement avant de m'avancer vers la sorti je lança un salam aleykoum avant de continuer ma route. J'étais rentré dans la voiture de You, il avait roulé des heures avant de me ramener devant la gare il était resté jusqu'au départ et je le salut pour son soutien.
You: Je te laisse ici l'ancienne repose toi et si cette semaine ne suffit pas ne rentre pas t'en n'a trop fait tout le monde le sait l'ancienne même ceux qui te connaissent pas.
-: Je vais essayais. Dis-je en souriant.
You: Il t'appelle encore ?
-: Tous les jours j'ai éteint mon téléphone.
You: Il est fou de toi.
-: On peut pas faire sa malgré les sentiments You on n'est condamné à l'échec.
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Mon ghetto Français
General FictionJe suis qu'une banlieusarde balafrée par les éprouvent de la vie, j'en n'ai reçu des coups dans ma court existence, j'ai vécu se que personne a su, j'ai subi ce que personne aurait cru ! hak Allah que j'ai ramé, j'ai ramé quand d'autre ce sont laiss...