Une amitié.
Assise sur le « Banc », tête dans les mains, je n’avais pas le courage ni la volonté de rentré chez moi, j’ai besoin de me retrouver, j’étais en état de choque, venais-je vraiment de serrer souheine dans mes bras ? venait-il de me dire qu'il ne me fera jamais de mal ? suis-je reellement entrain de comettre cette terrible erreur ?
Toujours assise c’est ici que tout a commencé, c’est ici que j’avais passé la moitié de mon enfance, c’est ici que j’avais grandi, ici ou j’avais rencontré une amie, une sœur de cœur, un membre de la famille, c’est ici qu’on c’était fait la promesse d’être unis jusqu'à la mort, quelques années plus tard je suis ici sur le même banc en train de cogité sur ma vie, ironie du sort quelques années plus tard j’y suis sans Nadya, sans celle qui m’avait fait promettre de ne jamais lui tourner le dos et j’avais grandi j’étais pas celle qui venait quand elle était encore une jeune fille sans soucis, j’étais pas la même j’avais changé, je m’étais endurcie, et c’est maintenant que je réalise les côté sombre du ghetto « mon ghetto français ». J’ai basculé ma tête tout en fermant les yeux, je n’oublierai pas tout ces moments, à non je n’oublierai pas a qu’elle point j’ai eu une enfance magnifique, des rencontres extraordinaire, un passé plein de rêve. Je sentais le vent sur mon visage c’était si agréable.
… : Tu changeras jamais.
Je sorti doucement de ma bulle afin de relevé la tête You était assis sur le banc à côté de moi fixant droit devant lui.
- : Pourquoi voudrais-tu que je change You ? Dis-je en me replaçant correctement.
You : Pour que je retrouve celle que j’avais connu à l'époque..
- : J’ai grandi, j’ai murit mais je suis la même qu’il y’a quelques années.
You : L’ancienne.
- : You. Dis-je en souriant.
You : T’as 17 pige, t’es encore un enfant.
- : Je te permets pas. Dis-je en lui donnant un coup d’épaule tout en souriant.
Je le vis faire un petit sourire avant de baissé la tête je le sentais un peu bizarre, il avait l’air nostalgique, You ? C’est le poto depuis l’enfance, le poto du quartier, celui qui a le cœur sur la main You c’est le surnom que je lui avais donné en réalité il s’appelle Youssef, il a toujours était la pour moi, il me défendait tout le temps même quand y’avait rien à défendre, c’était l’homme au cœur de pierre celui qui n’exprime jamais rien, qui ne montre rien, le thug du ghetto devrais-je dire. On c’était éloigné, perdu entre les problèmes, les crises, les décès, malgré tout sa resté toujours le même malgré qu’il a changé, qu’il c’est perdu dans les vices de la rue, sa resté You celui qui se battait quand on me manqué de respect.
- : Qu’est qu’il y’a You.
You : Moi je te parle pas de l’ancienne, moi je veux retrouver Inlay, elle est passé ou Inlay ? Hein ? Celle qui avait toujours le sourire, celle qui rappé pas avec autant d’hargne et de rage, moi je parle de celle qui était mon bras droit, la Inlay qui avait les yeux qui brillé, celle qui disait « qu’il serait temps de partir et changé de paysage », celle qu’avait encore des larmes pour pleuré, j’ai un bloc devant moi un bloc de ciment un bloc qui voit même pas que je suis là. Dit-il en souriant.
- : Tout n’est que destin, tu te rappelles de cette phrase, tu m’avais même fait juré pour que je ne la sorte plus sinon tu me tuerai, tu vois après toutes ces années passés elle est encore la dans mon crane grave a jamais, est si je suis la aujourd’hui si je te parle avec la même pêche c’est qu’elle m’a sauvé, ces quelques lettre m’ont permise de pas sombré, t’as raison You la Inlay du passé elle est morte, mais dit toi qu’après les patates que j’ai reçu, moi je suis toujours en vie, j’ai juste appris a encaissé, encaissé comme un bonhomme si je voulais pas finir dans un cercueil et toi t’a là même place, la même cas l’époque des bacs à sable.
VOUS LISEZ
Mon ghetto Français
Genel KurguJe suis qu'une banlieusarde balafrée par les éprouvent de la vie, j'en n'ai reçu des coups dans ma court existence, j'ai vécu se que personne a su, j'ai subi ce que personne aurait cru ! hak Allah que j'ai ramé, j'ai ramé quand d'autre ce sont laiss...