Parti XXVI

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C'est vrai que j'ai posé la plume, j'ai depose les armes, j'ai délaissé l'histoire et je m'en excuse sincèrement je n'ai pas vraiment d'excuse toute faite à vous donner j'avais plus d'inspiration j'étais en pleine remise en question recommencer, ou laisser comme telle et puis voilà finalement j'ai écris cette partie avec beaucoup d'envie, avec une plume assez fine, simple je trouve elle est courte, très courte même. Je vous laisserais juger par vous même pour cette fois je vous demande à maximum de commentaire et vos avis. Vos messages me touche beaucoup.
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"Ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter"

Nahim: Et après qu'est ce que tu feras Lasco ? Je te reconnais pas akhy tu perds le nord, elle te fait perdre la tête. Qu'est ce que t'en fait de Malak ? Tu vas la détruire, tu vas la mettre en sang et c'est toi seul qui paiera les pot cassé.

-: C'est bien plus que sa, pour l'instant il me l'a faut j'ai besoin qu'elle soit la avec moi, alors fuck you le reste j'assumerais.

Une putain de semaine que j'ai pas de nouvelle d'elle, 7 putain de jours que je pète un câble, je suis entrain de devenir fou, certains disent qu'elle a quitté le ghetto, les anciens n'ont pas de nouvelle, ils sont dans le néant dans un trou noir, Elle est à Marseille, à des kilomètres de moi, loin des problèmes, je suis un putain d'égoïste si j'ose vous dire que malgré sa peine je suis dans ma voiture pour la rejoindre, je suis un putain de fils de pute si je vous dis que sa peine me tue même si c'est moi la cause de tous ces malheurs, j'ai baissé les armes quand j'ai su qu'elle était dans le train j'ai demandé à Said de veiller sur elle, elle me rend faible putain de merde j'ai pas le droit d'être comme sa, j'ai pas le droit de m'inquiéter comme sa je suis entrain de briser trop de règle pour elle et Nahim à raison je 2 les pot cassé. Mais merde comment on fait quand ces comme sa, comment on fait ?

Je me gare près des quartiers Nord, ici c'est beaucoup plus dangereux pour elle, ils ont pas les même principes que dans le nord, la hargne, la peur, la drogue c'est toute leur vie et pour sa ils sont près à buter qui que se soit, mais qu'est ce qu'elle est venu faire ici putain. Je croise quelques gars, des connaissances j'essaie de partir loin dans un lieu sur pour elle, qu'est ce que j'aurais pas fait putain je suis entrain de devenir paro.

Appel entrant:

-: Allo

Said: T'es déjà à Marseille.

-: Je viens d'arriver.

Said: C'est une fille bien Lasco, c'est une petite guerrière.

-: Je sais.

Said: Elle est pas prête à te voir, ni à tourner la page gros.

-: Ramène la moi Said.

Said: T'es trop borner.

-: Je suis prêt de la base derrière me quartier. Dis-je en raccrochant.

Fin d'appel.

J'ai pas le droit de cogité, j'ai pas droit de regretter ma venue ici t'es venu jusqu'ici t'assume, tu portes tes couilles. J'ai attendu de bonne minute cigarette à la main je sais qu'elle déteste me voir fumer, elle déteste aussi me voir avec une capuche et sa m'amuse de la voir s'énerver pour peu. J'ai entendu son rire résonne tout près de moi, ces petits pas j'ai subitement relève la tête, elle avançait vers moi sans réellement me voir j'avais maintenant la certitude que j'étais entrain de merde, elle avait l'air heureuse, elle avait reprit des couleurs ces longs cheveux toujours attaché, le sourire au lèvre elle rigolé avec Said, bien sûr que ces une guerrière c'est déjà un bout de femme malgré son jeune âge.

Puis tout d'un coup pam pam pam.

Pam pam pam.

Pam.

PDV Inlay.

Puis tout d'un coup le monde s'arrête de tourner, mon coeur se serre mon sourire disparaît, mon regard se fige, j'arrête de respire, je reprend mon souffle, mon corps n'avance plus, je ne répond plus de moi, qu'est qui m'arrive ? Qu'est ce que je dois faire ? Je suis entrain de paniqué mon dieu, je suis dans un rêve il est devant moi j'essaie de trouver une issue de secours mon coeur bat la chamade.

Puis tout d'un coup mon regard trouve le sien, il est aussi perdu que moi, aussi stressé, pommé, les mains dans les poches de son jeans je sens son corps tendu à travers son tshirt qui ne cache rien de son corps sculpté. Ces yeux, son regard, le bleu, la peine; la haine, les sentiments tous vient de basculer. Said ? Ou est Said ? Il peut pas me laisser comme sa, il n'a pas pu partir j'entends des pas s'approcher mon corps est tendu je veux pas rester ici je veux pas le voir maintenant. Il crie mon nom, il hurle sur moi.

Et il me soulève dans ces bras accroche mes jambes à sa taille, son souffle tout près de moi, il a dû mal à respirer son front se colle automatiquement au mien, mes mains accrochés à son cou j'essaie de me tortiller pour descendre, il me parle, me regard désespérément, il me demande de ne pas reste comme sa je sens mon corps plaquer contre le mur, son être, sa chaleur tout prêt de moi il enfuit son visage dans mon coup, il me dévore, me donne des milliers de baisers et je suis déjà entrain de craquer, il relève son visage scute mes lèvres, les admire doucement tout doucement, délicatement il me mord la lèvres inférieur me la tire, il dépose ces lèvres sur les miennes il m'embrasse passionnément à la folie sans aucune délicatesse il me transmet son manque, sa maladresse et aussi faiblement je lui répond avec la même hargne, la même douleur il me serre plus fort, son corps m'étouffe et j'en demande encore je l'aggrippa par les cheveux je veux le voir souffrir, pleurer, abandonné.

Je me dégage de son entrainte toujours aussi loin, je le fixe, j'attends, j'attends de longue minute avant de lui envoyé une claque, puis une deuxième, et la troisième et j'enchaîne mes toutes petites mains souffre elle aussi il ne se défend pas, il encaisse et je veux pas le voir comme sa, son son regard, son visage, ses lèvres.

-: Je te déteste....

Souheine:...

-: Je te hais, je te déteste, ta pas le droit, t'avais pas le droit, tu m'as menti, tu m'as humilier, tu m'as tout caché, ta tout gâché, je te déteste.

Il ne répond pas continue à me fixée j'ai mal au coeur, je ne veux pas le voir je ne veux pas le voir, il desserre son entrainte et j'ai peur, je me sens perdu, je me raccroche à lui son regard devient plus sombre, il est surprit, horriblement surprit, il recommence et je me continue à m'approcher, et sa continue, sa ne s'arrête pas et je lui crie que je le déteste, il ne m'ecoute plus il caresse mes lèvres, il s'approche d'elle, il ouvre la bouche et m'embrasse à nouveau avec délicatesse et malgré mon discours mon "je te deteste" disparaît je l'embrasse aussi avec douceur j'ai besoin d'air, j'ai besoin d'oxygène il arrête le baiser et pose sa tête dans mon cou il me chuchote des mots doux à l'oreille et je le serre de toute mes forces.

Souheine: J'ai besoin de toi, putain de merde j'ai besoin de toi. Répéta - il la voix rauque dans un murmure.

On leur donne si peu mais on attend tout d'elles
Alors notre vie à deux aboutit souvent à un duel
On rêve de ne faire qu'un, mais la question c'est "Lequel ?"
Depuis quand l'égoïsme peut se conjuguer au pluriel ?
La Femme est surprenante, même son silence est un cri
En plus de l'écouter on devrait deviner ses non-dits
Doucement nous séparer comme les sentiments et l'esprit
Et au fond nous somme liés, j'dirai comme le Jour et la Nuit
Nous sommes condamnés à accepter les compromis
Même si c'est se contenter de la moitié de se qu'on s'est promis
Loin de l'insouscience et de l'ignorance des premiers jours
Sur les routes de la différence on peut encore croiser l'amour. Kery James

Mon ghetto FrançaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant