« Du ferme »

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[Parti III]

« T'es incarcéré mais un beau jour tu vas sortir, te réinsérer et en fin de compte fonder un empire. Les regards accusateurs, tu t'en fous tu les feras mentir t'as l'droit de devenir meilleur toi qu'a toujours connu le pire l'espoir brille à l'horizon, laisse ses rayons t'éblouir quelque soient tes lésions, tu finiras par guérir. Tes rêves peuvent encore courir même en fauteuil roulant l'espoir c'est comme un sourire dans ton cœur il prend son élan tu peux encore construire même sur des ruines tout recommencer, partir et changer de vie. Changer de vie, changer de ville, changer d’île, changer de vision savoir ce que c'est d'être libre, en t'évadant de ta propre prison; le bonheur à l'horizon, faut juste pas être peureux on s'fait facilement des raisons pour ne pas être heureux. On s'invente des arguments pour ne pas être deux Quoique cache l'horizon, ça vaut le coup d'être curieux. »

Zakaria (souriant): Inlay 

J'ai pas bougé d'un pouce, j'étais resté passive depuis le début il était la devant moi et moi je le fixé.

Tbarekallah qu'est ce qu'un homme pouvait changer en seulement 3 ans. Je l'avais connu dans la galère, aujourd'hui il était rayonnant. Il avait tellement grandi en toute vérité il devait faire trois mètre de plus que moi, il était haut comme trois pomme, c'est cheveux était toujours aussi noir et son regard toujours autant profond. Sa cicatrice sur sa joue lui donne un côté viril. On n'était sur les marches des escaliers, tous deux en train de se défié du regarde, il l’avait certainement compris je n’aurais jamais baissé les yeux devant lui, ou devant qui que ce soit après de longue minute il détourna le regard, il nous sorti par la suite de ce long silence pesant. 

Zakaria (les yeux baissés) : Hak Allah Zak, que si tu décides de partir, de prendre tes bagages et de t’en aller. T’en vouloir sa serait te priver de viser plus haut que la cité. Montre a tous ceux qui disent le contraire qu’un banlieusard n’est pas qu’un bon a rien, t’as bossé des années pour avoir une si belle occasion qui je suis pour te privé d’avoir un vrai avenir ? Qui je suis Zakaria ?

Moi :….

Zakaria-fixant droit devant lui- : C’est toi qui a prononcé ces paroles l’ancienne, t’avait cru en moi tandis que d’autres se moquer de tous mes projets, et t’a raison j’ai réussi en tant que banlieusard, j’ai galéré mais j’y suis arrivé. Mais regarde de toi t’es rongé par la haine, tu m’en veux, tu m’en veux d’avoir quitté le ghetto et je te connais, je te connais alors n’essaie pas de nier. Ou étais-tu quand j’ai posé mon pied à la cité ? Ceux qui n’avaient jamais eu espoir en moi sont venus m’accueillir les bras ouverts. Ils étaient la à m’attendre comme si j’étais un ancien.

Moi : « Salam aleykoum l’ancienne, alors t’a eu des nouvelles de Zakaria c’est un bon celui là dit lui qu’on n’est tous derrière lui »« L’ancienne dit à Zack qu’on l’oublie pas, passe lui le Salam de notre part »Je pourrais t’en cité plusieurs des phrases comme celle-ci mais a quoi bon ? Le ghetto demandé derrière toi car le fait de voir un de nos frères réussir fait plaisir à tout le monde, t’était l’exemple à suivre une fierté pour les grands. De tes nouvelles croit moi des personnes que tu ne connais sans doute pas on m'ont n'a demandé et qu’elle fut ma réponse face a ces tonnes de questions, elles étaient tous négatives, ai-je réellement besoin de te le dire ? Ou étais-tu passé ? T’es parti comme un homme, ton absence est lâche pour qu’elle raison j’aurais accueillit celui qui a oublié la famille ? Ces trois dernières années t’avait eu l’occasion de passé un coup de fil, de passé nous voir mais tu là pas fait. La réussite fait taire les absents ceux qui t’on accueillit en pense pas moins.

Je n’avais plus rien à ajouté il était 21 heure il fallait que je rentre vite pour préparer le dîner de ce soir. Je ne voulais pas que ma mère ce fatigue, elle avait besoin de repos c’est ce qu’on lui à  recommandé et même si elle disait le contraire elle serait épuisé de préparer à mangé. J’avais constamment cette peur, j’avais peur qu’elle s’en va parce qu’on ne c’était pas bien occupé d’elle.

Mon ghetto FrançaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant