Il serait temps

3.3K 197 6
                                    


[Parti V]

« Mental en béton, rien ne peut nous abattre, c'est c'qu'on pense avant de bé-tom et qu'on apprenne à s'débattre mais les premières erreurs amènent aux premiers remords. Qui nous mènent bien trop souvent vers l'heure de notre mort. Des rideaux fermés, des remords enfermés au plus profond de moi-même Malgré ma vie finie, un nombre indéfini de personnes m'aiment. Et que des larmes en trombe on été versées à mon insu, déçu de n'plus pouvoir inverser le cours des choses éternel insatisfait même de voir ma tombe fleurie de roses. »

Les anciens sont des hommes, les grands de nos cités étaient ceux a qui on n’avait le plus de respect. Ai-je réellement besoin de vous le dire ? Ils avaient goûté a la souffrance, ils avaient vu leurs potos partir un par un, ils avaient connu la prison, avant que d’autre ne la voit, ils avaient vu des familles ceux décomposer, ils avaient vu leur famille s’en aller et malgré la misère qui les a élevé ces banlieusards n’ont jamais eu l’envie de baisser les bras, ils étaient là lorsque d’autre te tourné dos, Ils avaient tous fait leur vie mais jamais ils ont oublié ou ils avaiet grando c'est ma deuxième famille c’est eux qui m'ont réconforté lorsque les coups de la vie me met a terre, ils m’avaient vu grandir chaque personne qui était dans ce Hall m’avait forgé, ils m’avaient formé de béton comme on construit un bloc de ciment, mon cœur n’était que pierre et si aujourd’hui je m’en sort je ne le doit qu'a eux. 

Je me suis posé prés de Jibril a ma place habituelle Personne ne parlé on n’attend tous mon coup de feu avant que tout éclate. J’avais t’en de choses à dire s’ils savaient que leur coup avait réussi a touchee mon cœur de pierre s’ils en n’avaient conscience me regarderont-ils sans aucun remord ? Je n’aurais jamais osez monter une magouille derrière le dos de la famille non par respect  je ne l’aurais pas fait par respect mais par principe j’avais des valeurs et l’une d’entre elle m’interdit de trompé ceux qui font parti de mon ghetto. 

Moi : Si l’un de vous me l’aurais dis hak Allah que je l’aurais cautionné, la pilule serait mieux passé. Je croyais être la famille ou sont partis les principes et les valeurs de celle-ci ?

Yanis : Tu es la famille, tu es la petite sœur, tu es un membre du ghetto, tu es la relève d’un frère et la fierté des anciens, tu es la réussite d’une famille, la femme d’une seul vie, mais malgré tous les statues que tu possède l’ancienne tu n’es qu’une gamine, tu es aussi fragile qu’un enfant, et même si tu essayes de nous persuader que ton cœur ne lâche pas, même si tes paroles laisse croire que tu faibliras devant rien, jamais tu n’aurais assumé si nous t’aurons dis de vif voix que Malak était parti en zonz si on t’avait annoncé cette nouvelle se jour la tu ne l’aurais pas cautionné l’ancienne tu ne l’aurais pas fait. 

Moi : Alors c’était a lui de me l’annoncé. Hein ? C’était l’homme qui nous a tous oublié qui devrait m’apprendre que mon frère n’est plus la. (En criant) MAIS ZAKARIA N’EST PAS LA FAMILLE IL N’EST PAS L’HOMME DIGNE DE M’APPRENDRE QUE LE CŒUR DE MA SŒUR ET DE MA MÈRE ALLÉ ETRE ANÉANTI, VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT DE ME LE CACHER, VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT DE FAIRE SEMBLANT QUE TOUS ALLÉ BIEN OU SONT PASSE LES RÈGLES DE LA RUE ? OU EST PASSE CELLE QUI NOUS INTERDIT L’HYPOCRISIE HEIN ?

Youzar : Si l’une des règles doit disparaître pour ne pas voir l’un des notre souffrir Inlay, elle disparaîtra, Si on n'avaient pas droit de te cacher que Malak a pris 4 ans, tu n’as pas le droit de nous reproché de t’avoir protégé. 

Moi : je dois donc me taire et vous remercié ?

… : On ne remercie pas se qui est normal ; ton silence nous aurez suffit.

À l’entente de sa voix je m’en suis allé, je n’avais plus l’envie de me faire encore du mal pour rien leur excuse n’explique rien, je cautionne pas leur geste durant des mois je me suis inquiété de la soudaine disparition de mon frère et la seul chose qu'ils ont pu faire c'est de laisser Zakaria m'annoncer cette nouvelle, dégoûté déboussolé j'étais dessus peut être que j'en fait trop,  ils avaient peut être  raison leur geste n’avaient rien de déplacé ?  ils avaient juste envie de ne pas me voir pleurer enfin je crois pourquoi ne rien me dire alors ?

Mon ghetto FrançaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant