Il n'y a de bonne recette pour trouver le bonheur, que de prendre le temps comme il vient, les gens comme ils sont, et d'être bien avec soi-même.
-: Je vais partir la voir essayez de ranger le salon.
Moussa: T'es accro akhy.
-: Comment ils ont fait pour venir jusqu'ici ? Putain c'est pas possible.
Samir: Va la voir on parlera de sa, après.
Elle est pas bien, pas bien du tout même ils l'ont effrayé avant de repartir, tout mais pas elle j'ai pas assez de retenue, pas assez de coeur pour ne pas réagir alors je lui envoyé mon poing j'étais parti pour le mettre à terre, dans le coma pourquoi pas, mais j'ai entendu sa petite voix derrière apeuré qui me suppliait d'arrêter. Elle est monté dans la chambre prétextant avoir besoin de repos : seul. Je sais qu'elle ment, elle a eu peur et sa j'aime pas, pas du tout. Elle avait pas a voir sa, sa devait pas se passer comme sa. C'est déjà compliqué à gérer y'a tellement de non-dit entre nous, tellement de chose que je lui partage pas, tout reste dans le silence pour l'instant.
Doucement je toqua à la porte, aucune réponse de sa part, j'ouvris discrètement la porte, elle était dos à moi la tête sur le cousin et elle sangloté le plus doucement possible, j'entra sans trop faire de bruit tout mais pas sa, j'ai horreur de la voir pleurer, c'est une fois de plus de ma faute, je sais que je suis entrain de merder je la laisse rentrer dans mon univers, je la laisse me découvrir, et attraper le peu de coeur que j'ai. Je suis entrain de causé sa perte et la mienne par conséquence, des mises en garde j'en n'ai eu et j'en aurais encore et encore mais putain comment on fait, comment sa se passe ? Les gens ont peur de moi sans vraiment me connaître je suis l'homme a fuir, j'ai jamais essayé d'etre une personne bien dans ma vie, J'ai été un enfoiré tout le long de mon parcours pas de pitié pour se qui me prenne pour un con, pas de pitié pour la famille, les amis et maintenant elle ? J'ai pas réussi c'est vrai que j'ai jamais rèellement essayé de la faire fuir. Et la de la voir pleurer doucement comme un bébé alors que j'ai toujours entendu que peu de personne l'ont vu pleurer, que les larmes chez elle c'est aussi rare qu'un vrai sourire, elle a une réputation de guerrière derrière elle, c'est ma guerrière.
-: Inlay. Dis-je en m'approchant
Inlay: laisse moi. Dit-elle en suffoquant.
Je m'approche d'avantage d'elle, je m'asseya en face d'elle pour ne pas la brusquer.
-: Non.
Elle releva la tête vers moi les sourcils fronçaient et me frappa la cuisse. Je la laisse faire doucement elle essuiya ces larmes avant de me regarder de nouveau.
-: Je veux pas rentrer chez moi comme sa.
-: Tu dormira ici.
-: Ta vie est trop dure pour moi.
-: Je sais.
-: Tu terrorise tout le monde, t'as vu comment tu as frappé le policier.
-: Je sais sa aussi.
Elle me regarda de nouveau avec ces grands yeux rempli d'innocence et je fond.
-: On fait quoi maintenant ?
-: j'aime pas te voir comme sa.
Pdv inlay:
Je me blottis dans ce bras, pour qu'il se taise sans doute. C'est pas sa l'amour ? Dites moi que c'est pas sa ? Y'a mieux les autres vivent heureux non ? Ils connaissent pas toute cette souffrance, cette violence, cette peur à longueur de journée. C'est pas sa la vie, je veux pas d'une vie comme sa, je veux plus vivre dans le déni je veux avancer avec le Souheine attentionné, à l'écoute, un peu joueur et protecteur sur les bords.
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Mon ghetto Français
General FictionJe suis qu'une banlieusarde balafrée par les éprouvent de la vie, j'en n'ai reçu des coups dans ma court existence, j'ai vécu se que personne a su, j'ai subi ce que personne aurait cru ! hak Allah que j'ai ramé, j'ai ramé quand d'autre ce sont laiss...