Chapitre 10

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Bonne lecture

-ah bon est-ce que tu l'as appelé ?
Me demande t'il.
- oui mais elle est injoignable, té à pareille heures ce n'est pas sûre pour une fille. Lui dis-je
-ah bébé tamite qu'est ce que bien faire là-bas ? Motakh je n'arrivais pas à la joindre tamite.
Wa écoute vas jusqu'à la station Total, tu demandes mère Dème, je crois qu'elle y est toujours deh elle vas sûrement t'indiquer. Me dit il.
-daccord merci Abdoul vraiment, ma mère s'inquiète vraiment.merci
-de rien

...
Je suis aller alors vers la station tout près j'ai demandé après Mère Dème et effectivement elle était là , c'est une vendeuse de fondée lol.
-Salam mère nanga def ? Saluais-je
-diam rek dôme mangui fi
-faite je demande après Zahra... Oui Zahra Bodian. Lui dis-je aussitôt
-ah Zahara migui fi, elle est rentrée, vous êtes son copain ? C'est ça ?
-euuuh... Balbutais-je gêné et ne sachant quoi dire, parce que là ça ce voyait qu'elle s'attendait à un Oui de ma part.
-ah manchalah manchalah viens je t'amène chez elle, puis nous avons emprunté une ruelle très sombre thioo, comment peut on habiter ici beeeurkkkk, il y avais de le sale partout en plus. Da khawa roukké aussi.
5min plus tard nous étions arrivé devant une maison et elle c'était dirigé vers une chambre et je l'ai suivie.

Toc-toc ...
-Zahara... Zahara fatima....
-Name mère Dème j'arrive répond t'elle.
-ioe ne nous fait pas attendre fi il y'a ton fiancé qui est venu te voir hihihi dit-elle avec le sourire.
Dama sakh tite Mane fiancé diam? Là fille sera plus vénére nak à cause de cette femme la.
Rek elle a ouvert la porte aussitôt.
-mere dème.... Voulut commencer Zahra lorsqu'elle me vois et me lance un regard meurtrier, si elle pouvait me dévorer à cette instant, je crois qu'elle l'aurai fait sans hésiter.

-Zahra approche moh, ngay melni kouko ragal ni. Dit la dame
-wa mère Dème c'est bon je peux lui parler merci.
-lane merci seulement t'oublie que j'ai laissé ma marchandise là-bas pour l'accompagner tamite yombna deh. Et tu as vu comme il sent bon, tu as gagné le gros lot deh.
-mere dème c'est bon je vais....
-non Zahra attend je lui donne ceci; j'avais 50mil sur moi et je lui remis, elle était toute contente.
-ah manchalah jeune homme Zahra mi, je savais que genre bi rek ngay am. Un bon mari. Kou maneu diokhé nak manchalah. ... Elle à parlais parlais à ne pas en finir ....
Mere Deme: Et puis Zahra même pour quoi tu te met loin de lui, allez viens par la.
Elle l'a tira et l'amener à côté de moi, et mis sa met sur la mienne, thiooo mère bi sadik neu.
- voilà ni leu kay en temps que couples. Dit-elle a nouveau
Zahra crée nak un sourire forcé.
Puis sous les ordres de la féroce mère Dème, Zahra m'a fait entré dans sa chambre...

- Waaa Heeee ....j'allais oublier.  Cria mère Dème au dehors avant de dire à nouveau : ne me faites pas de bébé maintenant deh khar léine khewmi ... Puis la femme est parti.
Lol c'est ça ouais
J'étais à présent dans cette chambre. Shuuuutttt elle était entrain de la ranger, tout etait en désordre. Il y'avait un tout petit lit par terre, un lit assez sec, sa valise defaite, il yavait une tasse de café par terre... J'étais entrain d'observer lorsqu'elle me dit.
- c'est bon là vous me voulais quoi wesh? Vous Ne pensez pas sûrement pas venir jusqu'à mon Chez Moi pour m'insulter, vous n'en avez pas mare? Dit elle en colère
-mais Zahra... Voulu-je. parler
- mais Zahra rien la wakh. Vous allez vite sortir de chez moi et foutre le camps. Vous savez quoi je vous déteste de tout mes forces. Me crache t'elle à nouveau
- je ne partirai pas d'ici tant que vous ne m'aurai pas écouté. Dis-je ferme aussi
-haha(rire sarcastique) walae que vous allez dégagé d'ici et c'est moi qui vous ferait sortir d'ici de gré ou de force. Dit elle
Avant de venir me pousser, té thiaxanoul deh.
Elle n'arrivait même pas à me faire bouger, si c'était dans une autre situation j'aurais tellement rigolé mais là ça ce voit qu'elle me haie et c'est moi qui ai causé tout celà.
Sans plus je les prise dans mes bras et l'ai serré très fort contre moi. Je ne sais pas c'était un réflexe
Elle se debattait mais s'était sans issue, parce que je serré plus mon étreinte.
A un moment elle a fini par lâcher prise et a fondu en larme.
Je me sentais désolé à présent.
-qu'est ce que j'ai pu vous faire me demande t'elle en pleure.
-shuuuuuuutttt parle pas encore calme toi. Et après traite moi par tout les noms d'oiseaux qui te chante. Frappe moi de tout tes force si cela peut te faire sentir mieux.
Elle avait beaucoup pleuré et walae que cela m'a touchée. Et tout cela était de ma faute. Mane même je ne comprends pas pourquoi j'ai parlé de son paternel.

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Elles me veulent toutes (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant