Chapitre 2

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Elia et Andréa était sur la piste effectuant leur reconnaissance. Toutes les deux vêtues d'un pantalon blanc elle avancée comme les autres cavalières d'obstacles à obstacles, comptant le nombre de foulés entre chaque verticales et oxer. Les stresses montaient pour les deux cavalières, dans quelques minutes, elles franchiraient ces obstacles avec leurs fidèles destrier.

De retour au van, Elia enfila sa veste bleu roi et mis le filet de sa jument. Elle enfila ses bottes et mit sa bombe. Elle faisait partie des cavalières qui monter sans air-bag ou protège dos. La brune aida Andréa à monté sur son hongre, en lui faisant la courte échelle. Quant à elle, elle s'aida des des gardes bouts du van pour mettre pied à l'étrier.

Elia attendit son tour pour détendre. En attendant, elle regardait son amie détendre sa monture. Elle fut étonné de voir la blonde au côté de son père. Elle ne semblait pas ravie d'être ici et encore moins quand la brune était là.

La cloche sonna, annonçant le début du tour d'Elia. Une pression de talons et Astral se mit au galop. Elle fit de son mieux pour gagner du temps, tout en faisant un parcours propre.

Quand elle mit pied à terre, Andrea vient la féliciter de son magnifique tour sans faute.

-Je vais chercher les frites saucisses, essayer de ne pas vous entre tuer, informa Andrea avant de tourner les talons. 

-Comme si c'est moi qui aller la chercher, murmura le brune en retirant le filet de sa jument.

Une fois Astral desseller et panser, Elia lui apporta son filet de foin et retira enfin sa bombe. Elle osa se retourner vers Caz, cette dernière la regardais déjà.

-J'ai quelque chose sur le visage ? demanda la plus jeune.

-Ta mocheté sa compte ? répliqua froidement la blonde.

-Je suis surement plus belle que celle qui ta fais ces marques, dit elle amèrement en retirant des bottes pour enfiler ses tennis.

-Peut-être, mais en attendant, elle sait fermer sa bouche et l'utiliser quand il faut, toi en revanche, elle laissa flottait sa phrase en observant la brune dos à elle.

-Je sais très bien l'utiliser, cependant, ce n'est pas moi qui écarte les cuisses à la première venue, dit-elle sarcastiquement en plantant son regard noir dans celui bleu de la blonde.

Le regard de Caz s'était assombrit, sa mâchoire c'était contracté. Elle plaqua la brune contre son pick up.

-Es tu entrain de me traiter de pute ? Grogna la plus vieille.

-Une pute est payé me semble-t'il, toi en revanche c'est gratos. Le terme salope est plus approprié pour toi. Souffla-t'elle un fin sourire aux lèvres.

Caz frappa la tôle du véhicule à quelques centimètres des hanches de la cavalière. Elle serra ses poings d'une force, faisant blanchir ses jointures. Sa respiration s'accéléra sous la colère.

-Tu n'es même plus drôle Caz à t'énervè tout le temps. Souffla la brune contre les lèvres de la blonde avant de la pousser.

Un jour peut êtreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant