Chapitre 19

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Cette semaine était passée tellement lentement que la brune avait envie de pleurer, même si elle savait que rien ne coulerai. Elle attrapa une feuille de son sac et à l'aide d'un stylo, elle coucha sur le papier quelques mots. 

En cas d'accident où ma vie me serait enlevés, je fais don de mes chevaux à Andréa Anders. 

Elle ne sentait pas la mort arriver, mais elle sentait le besoin d'écrire ces mots. Cela lui faisait du bien de savoir que si elle partait, ses chevaux seront entre de bonne main. Elle plongea se morceau de papier dans son portefeuille et entama un nouveau bouquin. 

Son cellulaire sonna à plusieurs reprisent, l'informant que d'un appel. Elle jeta un coup d'œil avant de se replonger dans sa lecture. C'était Caz. Et elle n'avait répondu à aucun de ses messages. Elle était comme ça, distante, et froide. La blonde n'allait pas changer ça avec quelques petites coucheries. Elle souffla quand on frappa à la porte. Elle savait pertinemment qui c'était. Avec toute la lenteur du monde, elle se leva et se dirigea vers la porte. Elle l'ouvrit, sans surprise, Caz était sur le pas de sa porte. Elia lui lança un regard d'interrogation remplie de fatigue. 

-Ton téléphone te sert à quoi! 

-Je ne réponds jamais aux messages, souffla t elle avec lassitude. 

-J'ai besoin de ta parler, avoua la blonde sans quitter le regard de la brune. 

-Et moi j'ai besoin que tu me foutes la paix, grogna la cavalière d'un ton dure. 

Caz serra les dents, pour contenir sa colère. 

-On couche ensemble plusieurs fois et tu ignores mes appels et message! cracha t elle en se rapprochant de la brune. 

-A quoi bon répondre à de simple futilités. 

-A de simples futilités! Tu te moques de moi, je m'inquiète, tout le monde s'inquiète pour toi bon sang ! Je pensais qu-

-Quand couchant avec moi tu me changerais. Elle émit un rire jaune avant de reprendre. Je ne change pas, j'évolue. Je me protège des espèces dans ton genre, vociféra la brune. 

Le regard de la blonde noircie, sa mâchoire était contracté à son maximum. Elle pourrait se casses des dents, tant la colère était présente pour elle. Elle plaqua avec forces la plus jeune contre la porte.  

-Pourtant tu étais bien contente de m'avoir en toi, je me trompe, aboya t elle le regard plus sombre que jamais. 

-Je l'aurai été encore plus si ce n'était pas toi, beugla la brune en rapprochant son visage. 

Caz frappa le mur à quelques centimètres du visage d'Elia. La respiration erratique à cause de la colère, elle ferma les yeux tentant de retrouver un semblant de calme. Elle réouvrit les yeux au bout de quelques secondes. 

-Ose me dire que tu n'as rien ressentit, souffla avec désespoir la blonde. 

Elia ne répondit pas, mais ses yeux répondirent pour elle. Son regard et son âme semblait avoir vécue durant leur moment intime mais aussi pendant leur engueulade. Elles de jaugèrent du regard pendant de longues secondes. 

Et contre toutes attentes, la brune plaqua ses lèvres contre celles de la blonde. Un doux baiser remplis de tristesse et de colère. L'embrassade n'eut durer qu'une démit secondes, qu'elle prit déjà fin. Seulement Caz refusait de quitter les doux croissants de chère de la cavalière. Elle abattit ses lèvres sur la bouche de la brune.  Leurs muscles rosés ne mit pas de temps avant de se rejoindre, entamant une douce danse.  

Elles ne savaient peut être pas le dire, et refouler ce que leurs cœurs leurs dictées, mais au fond, elles savaient toutes les deux. Elles s'aimaient et se détester profondément, et elles aimaient se faire l'amour et la guerre. 

Leur peau se rencontrèrent une nouvelle fois, leur bouches s'amusaient sur le corps de l'autre. Leur corps fut parcours de plusieurs dizaines de frissons de plaisir. Leur iris reflétaient leur désir communs. Leur souffles exprimaient leur plaisir. Leur gémissements parlaient de leur jouissance. Leur bouche exprimaient la volupté. Et leur cœurs criaient leurs amours. 

Un jour peut êtreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant