Chapitre 7

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Jafar était assis dans son bureau depuis une trentaine de minutes déjà. Il avait depuis tout ce temps chercher la trace de ses ennemis sans pour autant la trouver.

- Tu devais aller te reposer dit Brahim en entrant

- J'arriverai pas à m'endormir.

- Elle compte pour toi n'est ce pas?

- Non.

- Menteur. Tu aurais dit "qui" sinon. Et ça se voit qu'elle compte pour toi. Ça fait quelques jours que vous vous connaissez mais déjà vous vous entendez très bien.

- C'est vrai...

- On va la retrouver.... enfin je l'espère. J'espère de tout cœur qu'ils ne vont rien lui faire. murmura t il

- J'espère aussi. Mais je veux éviter un quelconque dommage alors je vais travailler toute la nuit pour essayer de trouver un moyen de les localiser et sauver Iris le plus rapidement possible.

- Essayes de dormir un peu. Une équipe fatiguée ne vaut rien. C'est toi qui l'a dit

- Je sais très bien ce que j'ai dit mais merci de me l'avoir rappelé.

Brahim lui sourit et lui souhaita une bonne nuit avant de sortir du bureau. Jafar pencha sa tête en arrière en soufflant.

Oui elle compte pour lui mais pour une raison qu'il ne connaissait toujours pas. Il se promit de tout faire pour la retrouvervet ce le plis rapidement possible.



Les premiers rayons du soleil reveillerent la jeune femme en lui chatouillant la joue. Toujours attaché à cette chaise, elle ouvra les yeux et tourna sa tête sur le côté.

- Salut salua l'homme

- Salut.

Elle observa les lieux maintenant éclairés et constata sue l'endroit était réellement vide. Rien ne pourrait l'aider à s'échapper.

La porte souvra dans un bruit strident qui attira son attention. Un homme armé entra le visage neutre mais le regard moqueur.

- Bien dormi les nazes?

- Oui même si une chaise n'est pas l'idéal. répondit elle

- Pour les prisonniers comme toi une chaise c'est un luxe. Alors tais toi si tu ne veux pas passer la nuit prochaine au sol.

Iris le regarda le regard noir et préféra se taire. Le garde marcha jusqu'à eux puis s'accroupit pour être à leur hauteur.

- Un conseil: c'est pas parce que t'es belle et que t'es certainement bonne au lit que tu peux te permettre de répondre. Tu es une pute rien de plus ne l'oublies pas. Et toi dit il en se tournant vers l'homme, fermes ta grande gueule. Parce que tes cris soûlent mon collègue mais aussi parce que les seuls qui peuvent t'entendre cets les animaux. Et là mon pote ils feront rien pour toi.

C'est clair?

- Ouais..... répondit le jeune homme d'un air dégoûté.

- Parfait.

Il se leva avant de sortir de la cabane en verrouillant la porte.

- Ils sont même pas foutus de nous donner un verre d'eau?! Sérieux?!

- Tu as raison. Avec la chaleur écrasante qui ne va pas tarder à arriver on va mourir.....

Le jeune homme souffla en rejatanr sa tête en arrière.

La Cheikha aux yeux vairons Où les histoires vivent. Découvrez maintenant