Chapitre 15

2.7K 311 0
                                    

Point de vue Summayah

Je découvrais un Djamil hyper attentionné et très tactile. Il me regardait comme si j'étais la plus grande merveille du monde. Je me sentais aimée et désirable. Je me sentais femme.

Les choses devenaient de plus en plus excitantes et torrides. Je n'aurais jamais pensé ressentir pareilles sensations un jour.

Il me débarrassa de ma robe qu'il avait déchiré en me l'enlevant. Il ne me restait que mon string. Djamil continuait son exploration. Je ressentais des émotions contradictoires le froid et le chaud, l'excitation et l'apaisement. J'étais en extase.

Djamil me débarrasse de mon string j'étais à présent toute nue et offerte à lui. Il se redresse pour me contempler mais instinctivement je couvre mes seins d'une main et de l'autre mon entrejambe. Il me prend les mains et y dépose des baisers

~lui: ne te cache pas princesse tu es à moi tout ce beau corps m'appartient tu es parfaite. Regardes moi

Sans prononcer mot je relève mes yeux vers lui intimidée par sa carrure et sa beauté. Il continue son entreprise.

Il écarta mes jambes et s'installa entre ces derniers. Il abaissa son short. A la vue de son sexe je n'arrivais plus à respirer. J'ai commencé à avoir une crise de panique.

C'était dans ma tête, on avait remplacé le visage de Djamil avec celui de tonton Matar. C'était comme s'il me narguait. J'étouffais je peinais réellement à respirer. Je faisais carrément une crise d'angoisse. L'ayant sûrement remarqué Djamil me prend par les épaules, je me débattais sauvagement



Point de vue Djamil

~ Summayah : s'il te plaît laisse moi tranquille ne me fais pas de mal je t'en prie ne me fais pas ça

J'étais perdu qu'est ce qu'elle était en train de raconter? Je ne comprends plus pourtant tout se passait bien. J'essaye alors de la calmer mais dès que je la touchais elle se débattais comme si ma main l'a brûlé

~ moi: princesse calme toi c'est moi Djamil ton mari allez inspire c'est bien expire

Elle répéta l'action plusieurs fois mais ne s'était pas calmée pour autant. Elle était comme possédée et continuait à se débattre. J'essayais de la maintenir avant qu'elle ne se blesse. Elle avait commencé à crier heureusement que la chambre de Aicha se trouve de l'autre côté donc elle ne peut pas l'entendre.

~ elle : ne me touche pas ne me fais pas de mal de grâce je ne t'ai rien fait ne me touche pas ne me souille pas encore plus tonton Matar

~moi: il ne te touchera plus jamais rassures toi princesse tu es en sécurité maintenant plus personne ne te fera de mal

J'étais de plus en plus désemparé. Pour éviter qu'elle se blesse je l'ai maintenu par les épaules. Elle se débattit quelques minutes avant de perdre connaissance. Pris de panique je court vers la salle de bain n'ayant rien trouver à part du parfum j'en asperge une bonne quantité sur un mouchoir. De retour dans la chambre je lui mets le mouchoir sous le nez et l'asperge avec un peu d'eau.

Petit à petit elle reprit connaissance. Je laisse échapper un ouf de soulagement tellement que j'étais stressé. Summayah me tourne le dos et se recroqueville sur elle même. La minute d'après je l'entend renifler.

Je la retourne la peur au ventre car appréhendant sa réaction. Heureusement pour moi elle se laisse faire. Je la prend dans mes bras. Elle se mit aussitôt à sangloter.

~moi: arrête de pleurer princesse tu te fais du mal je ne veux plus voir dans tes beaux yeux que des larmes de joie

~elle: excuse moi s'il te plaît pardonne moi je n'ai pas fait exprès

Entre ombres et lumières Où les histoires vivent. Découvrez maintenant