Quelle vie tumultueuse !! Je me retrouve entre ombres et lumières.
Toute ma vie n'a été que souffrance qu'ai-je fait à cette dame est elle ma véritable génitrice? Ces questions je me les poserai certainement tout au long de mon existence. Le vérita...
Je me gare devant l'entreprise. Je salue et sympathise un peu avec le gardien puis je lui donne de quoi acheter du thé et les clefs pour qu'il déplace la voiture comme j'étais très en retard.
À l'entrée, bineta qui était à l'accueil me complimente sur mon port vestimentaire et me prend en photo. Elle me félicite pour mon mariage. Nous échangeons un peu avant que je ne prenne l'ascenseur pour rejoindre mon bureau. Je recevais des félicitations de mes collaborateurs.
C'est à peine quand j'ai introduit la clef de mon bureau dans la serrure que mon téléphone se met à sonner. Sans regarder je savais que c'était Djamil. J'ouvre la porte et décroche en allant ouvrir les stores pour faire entrer la lumière.
~moi: allo babe
~lui: oui mon cœur. Bien arrivée ?
~moi: oui al hamdoulila j'étais à la porte de mon bureau quand tu appelais
~lui: hum c'est bien. Pas trop fatiguée avec le personnel que t'as envoyé l'agence
~moi: non ils ont même démarré
~lui: c'est bien je te fais confiance. On déjeune ensemble ?
~moi: oui avec plaisir
~lui: d'accord je viendrai te prendre inshala
~moi: d'accord bye mon cœur
~lui: attends tu as porté quoi en allant au bureau
~moi: je savais que tu allais me poser cette question
~lui: réponds toujours princesse
~moi: d'accord bineta m'a prise en photo je vais te l'envoyer. Bisous à plus
Je raccroche en riant sacré Djamil il ne changera donc jamais. J'appelle bineta pour qu'elle m'envoie la photo. Elle me l'envoie, je la remercie puis transferts la photo à mon mari
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Je dépose mon téléphone et allume ma machine. Mon téléphone se remet à sonner. Cette fois ci un appel vidéo WhatsApp de Djamil. Je décroche en affichant un visage innocent tout en sachant ce qu'il va dire
~lui: Summayah Sy donc tu blagues pas
~moi: je comprends pas tu fait référence à quoi Kilifeu gui
~lui: tu sais bien de quoi je parle. Une jupe courte dévoilant toutes tes formes et le pire ton haut qui montre ta poitrine. Tu as cru que je suis ton camarade
~moi: ah chef ya tak khalé dé boul fatè 25ans la am (ah chef tu as épousé une jeune fille n'oublies pas que j'ai seulement 25ans)
~lui: arrêtes de jouer avec mes nerfs princesse. Là tu viens de niquer toute ma journée car je vais constamment penser aux regards de tous les hommes que tu as croisé sur ma propriété privée
