20. Giulia

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Les baisers d'Alessio sont comme de feu, il me consume de l'intérieur et j'ai le cerveau complètement déconnecté. À ce moment, je suis comme envoûté par lui, plus rien est supérieur à lui.

-Tu me fais confiance?

Je le regarde comme hypnotise et fais un simple hochement de tête.

-Je veux t'entendre le dire.

-Je te fais confiance.

Il souffle et retire délicatement ma nuisette, je suis complètement nue devant lui, offerte à lui.

Alessio se mord la lèvre et à ce moment, je découvre un regard que je n'avais jamais encore vu dans ses yeux. Son regard est enfiévré et plein de désir, ce qui me donne du courage.

-Ce n'est pas égal, moi, je suis nue et toi non, dis-je en faisant une moue boudeuse.

-On va faire cela dans mes règles et même si ça veut dire que tu sois nue et moi non.

Je vais pour répondre, mais il m'embrasse, cet homme sait mettre sa bouche à son service dans de nombreuse circonstance à ce que je vois.

Ses baisers quittent ma bouche pour migrer vers le sud, et aller s'occuper de mon sein droit. Il titille doucement puis mord mon téton avec juste qu'il faut pour ne pas me faire mal, mais me donner une décharge électrique qui se dirige directement entre mes cuisses. Alessio prend son temps puis s'occupe également de mon sein gauche. Nom de Dieu que c'est bon!

Je serre les cuisses pour essayer de calmer la pulsion entre les cuisses, mais rien n'y fait.

-Ne bouge pas.

-Facile a dire...

Il rigole et continue ses baisés mais en descendant. J'ouvre grand les yeux et regarde le plafond, je suis gêné, stressé... Et là, je la sens, sa langue fait des petits cercles autour de mon clitoris.

-Mon dieu...

Il suce doucement puis un peu plus fort mon clitoris, c'est un plaisir hors du commun. Je sens également son doigt qui vient jouer avec mon clitoris et puis, qui fait des cercles à l'entrée de mon vagin. Je me crispe au départ, mais grâce à ses caresses, j'arrive à me détendre et même quand il fait coulisser un doigt en moi, je n'ai pas mal, c'est juste un peu bizarre.

Alessio s'arrête et me surplombe.

-Qu'est-ce que tu fais ?

-Je me déshabille pour qu'on soit à égalité.

Il se met debout devant le lit, enlève son pyjama et je l'admire parce que mon mari est vraiment bien sculpté. Son torse est magnifique, je suis lentement la fine ligne de poil qui conduit directement à son entrejambe. Et merde, c'est bien gros, je sais que ça devrait rentrer en moi, mais putain, je vais douiller !

-Tu as peur? Me dit-il en levant un sourcil et le regard fière.

-Peur? Il faudrait que je sois impressionné pour avoir peur.

-On va voir ça.

Alessio rampe jusqu'à moi et s'arrête pile-poil à mon niveau.

6je vais faire en sorte que tu es le moins mal, je te le promet.

-Je te fais confiance.

On s'embrasse et ses mains sont de partout sur moi, mes cuisses entourent ses hanches et je frotte timidement à lui. Il arrête notre baiser, et me regarde droit dans les yeux quand je le sens se positionner pour entrée en moi. Je respire le plus calmement possible pour me décontracter.

-Ne me quitte pas du regard, ok ?

-Ok.

Il pousse juste un peu et la sensation et bizarre sur le moment, là où ça fait mal 'est quand il est a moitie en moi. C'est désagréable et ça fait vraiment mal.

-Je vais devoir forcer juste un peu, c'est pour...

-Alessio vas y franco, s'il te plait.

Il hésite puis s'exécute et putain de bordel de merde que ça fait mal. Je serre fort les draps et ferme les yeux, une larme coule et je ne peux la retenir.

-Je suis désolé...

-Ne t'inquiète pas, ce n'est pas ta faute.

-Dis-moi quand la douleur sera moins vive.

Je hoche la tête et me concentre sur la douleur, j'aspire et expire pour contrôler la douleur. Alessio caresse ma joue doucement et ne bouge pas, il attend patiemment. Quand la douleur, c'est apaiser, je lui fais part, et il commence à bouger doucement. Mais j'ai très vite mal, donc je lui demande de s'arrête ce qu'il fait tout de suite.

Cela à durer un petit moment, il bougeait un peu et je lui demandais de s'arrêter. Je ne pensais pas avoir aussi mal pour ma première fois, mais chaque femme est différente et j'en ai encore la preuve. Au bout d'un moment, Alessio peut bouger et ma douleur n'est plus autant présente, elle n'est plus aussi gênante qu'avant.

Alessio me fit l'amour cette nuit, ses caresses était tendre, et ses coups de reins lents. J'ai éprouvé du plaisir, mais pas plus et pour une première fois, je trouve ça déjà bien. Alessio quant à lui, il a joui ce qui était beaucoup plus facile pour lui.

Nous nous sommes endormis après cela, nos corps collés l'un contre l'autre avec nos respirations synchronisait.

C'est la lumière du jour qui finit par réveiller, je m'étire tranquillement et me rends compte qu'Alessio n'est pas dans le lit. Je suis triste, car j'aurai aimé qu'il reste jusqu'à mon réveil mais il devait avoir de boulot donc bon.

La porte de la salle de bain s'ouvre et Alessio en sort avec une serviette noué à la taille. Finalement, il était juste parti prendre sa douche.

-Bonjour, dis-je.

-Bonjour, je t'ai réveillé ?

Il s'avance vers moi et m'embrasse doucement.

-Non, c'est la lumière du jour, je n'ai même pas entendu que tu étais dans la salle de bain donc bon.

-Tant mieux, ça va ?

-Oui ne t'inquiète pas, de toute façon, j'ai beaucoup à faire aujourd'hui.

-On partira dès qu'on aura petit-déjeuné.

-D'accord, je vais aller prendre une douche.

-Je vais m'habiller puis je t'attendrai au salon, je t'ai mis des affaires dans la salle de bain.

-Merci, je lui souris gentiment et m'assois ce qui me lance une décharge foudroyante. Je me crispe sous le choque.

- Tu es sur que ça va aller?

-Je vais avoir plus mal que ce que je pensais, mais je vais finir pour m'y habituer.

Je me lève et marche jusqu'à la salle de bain et referme la porte derrière moi. Heureusement que je ne marche pas comme un canard, car là, ça aurait vraiment été le bouquet final. La douche me fait grand bien, et j'aurai pu y rester des heures, mais ma journée était déjà bien entamé. Les habits qu'Alessio avait choisis sont parfaits pour cette journée, je ne perds pas plus de temps et vais rejoindre Alessio. Il est à table et regarde quelque chose sur son téléphone. Je m'assois et me sers des gaufres, car j'ai vraiment trop faim.

-Une faim de loup, madame Morina?

-Exactement, certaines choses de la nuit passent mon ouvert l'appétit.

On se sourit mutuellement et mangeons tranquillement, si je continue comme ça, je vais finir par ressembler à une baleine. Dès que nous finissons, nous partons directement en voiture pour rejoindre ma boutique. Dernières finitions puis je pourrais enfin réaliser mon rêve !

Famille Castelli Tome 2: Pour le meilleur et pour le pire.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant