Famille Castelli Tome 2: Pour le meilleur et pour le pire.

21. Alessio

Dès que nous sommes dans la boutique, Giulia pose ses affaires dans un coin de la boutique et s'attache les cheveux.

-Tu veux de l'aide en quoi ?

-Hum, j'ai une idée.

Tout le long de la journée on finit de preparer sa boutique, on reçoit les ingrédients et nous les rangeons dans sa cuisine, après cela on a preparer le péremptoire pour qu'elle n'est plus qu'a mettre ces gâteaux. Nous n'avons même pas mangé un bout à midi, car honnêtement, il n'y avait pas mal de boulot. Et si je ne lui avais pas donné un coup de main, elle aurait dû venir demain pour finir.

-Il est déjà 18 heures, franchement, je ne pensais pas qu'il restait au tant à faire.

-Imagine moi alors, lui dis-je.

-Merci de l'aide, car tu n'étais pas obligé, je suis sûr que tu avais d'autre chose plus importante à faire.

Je m'approche d'elle et prends son visage entre mes mains.

-Rien n'est plus important que toi depuis le jour de notre mariage.

Elle me sourit grandement.

-C'est mignon ça.

-Et c'est la vérité.

Elle prend mes mains dans les siennes et les dépose sur sa taille pour qu'elle puisse se caler dans mes bras. Nous restons comme cela pendant un moment, en écoutant juste nos respirations, ce calme est magique.

-Tu as fait tout ce que tu voulais faire ?

-Oui, je n'aurai plus qu'à venir vendredi et samedi matin très tôt pour préparer les pâtisseries.

-D'accord, je ne serai pas là vendredi soir, j'ai un voyage d'affaire, mais je serai là samedi soir pour que tu me racontes ta première journée.

-Oh, d'accord, je vais être seule du coup...

-Tu peux demander à Livia de passer la soirée avec toi, je suis sûr que ce ne la dérangerait pas.

-Non, je préfère qu'elle ait sa soirée tranquille. Je vais bien trouver quelque chose à faire. Et tu pars vendredi dans la journée ?

-Oui, mais je reviendrai vite.

-D'accord, nous devrions aller.

-Allons-y alors.

Une voiture nous attend quand on sort et nous rentrons directement à la maison, et le dîner est prêt à notre arrivée.

-Ca sent bon!

-Merci, dit Livia avec un grand sourire.

Elle mange toute mon assiette et le dessert passe tout seul, Je l'a regarde en souriant.

-Y-t-il un problème?

-Non pas du tout, je suis heureux que tu aimes la cuisine de Livia.

-C'est tellement bon que même si je ne t'aimerais pas, je mangerais à ta table juste pour la nourriture.

-Ah parce que tu m'aimes ? Dis-je en souriant.

Elle ne bouge plus et essaye de trouver une explication a la phrase qu'elle a  lâcher sans faire attention.

-Euh, ben, je t'aime bien, tu vois quoi...

-Oui oui, je vois très bien en effet.

Giulia décide de se lever et prendre la fuite.

-Je vais me coucher, la journée m'a épuisé.

-Je te laisse fuir la conversation pour cette fois. Si tu me cherches, je serai dans mon bureau, j'ai des papiers à faire.