Tu As Kidnappé mon cœur (En Réécriture)

Chapitres 8

Quand Marco ouvrit ses yeux, le jour n'était pas encore levé. Il avait eu une nuit très agité, Kara l'avait hanté toute la nuit. Il la voulait dans son lit et il l'aurait. Qu'elle le veuille ou non, elle sera sienne ensuite il la jetterait quand il aura fini car c'est tous ce qu'elle méritait.

Il se leva, prit son ipod et ses écouteurs enfila un short et alla courir sur la plage. Ça au moins allait le calmer. Il courra et nagea pendant au moins deux heures avant d'aller prendre sa douche. La pression du jet d'eau glacé sur son corps ne réussit pas à le calmer suffisamment...

Kara ouvrit les yeux, la lueur du jour filtrait à travers les grands rideaux. Pendant quelques secondes elle fut déconcertée. Elle ne reconnaît pas sa chambre. Peu à peu les événements de la veille refirent surface dans sa tête et lui donnait le vertige. Elle voulue se mettre à hurler à peine poumon mais ne changerait rien, ça ne la ramènera pas chez s'elle.

Elle prit une douche rapide et se vetit d'une autre robe bien trop petite  qu'on l'obligeait à porter il la certainement fait exprès, pensa-t-elle, il voulait l'humiliée et il y arrivait très bien. Elle le détestait mais se détestait encore plus car elle n'était pas totalement insensible à son charme.

Qu'allait-il se passer aujourd'hui ? Elle gardait l'espoir insensé qu'il décide de mettre fin à son plan diabolique.

Elle trouva Marco attablé sur la terrasse, Térésa était venue la chercher pour le petit déjeuner, bien qu'elle n'avait aucun envie de revoir Marco, elle avait néanmoins très faim.

-Bonjour Kara, dit Marco en levant les yeux sur elle. Tu as bien dormis ?

Elle ne répondit rien, elle voulait pas faire semblant ils étaient des bons amis alors que c'était tout le contraire.

-Assieds-toi, Ajouta-t-il.

Il jeta un coup d'œil à sa robe, beaucoup trop moulant, elle lui arrivait au dessus du genoux et le décolleté ne cachait rien. Il s'humecta les lèvres.

-Ces robes sont beaucoup trop petites, dit Kara,qui était devenu toute cramoisie devant le regard de prédateur de Marco.

-Tu as beaucoup plus de formes que mes anciennes conquêtes teroso,répondit Marco d'une voix grave.

Elle s'empourpra, bien sûr elle avait des forme généreuse, elle n'avait jamais aimé ses formes mais la c'était encore pire. C'était très l'humiliant mais après tout c'était bien le but de Marco.

Marco regarda Kara, dans cette robe elle ressemblait à une call girl, sexy en diable. Tant mieux ça lui importait peu ce qu'elle portait, il la voulait nue dans son lit et rien d'autre.

Kara s'assit en face de Marco. Tous les excellants gourmets alignés sur la table lui faisaient envie. Elle entrepris de se servir et mangea avec appétit.

-Tu as raison de bien manger, pour prendre des forces tu vas avoir besoin, dit Marco moqueur.

Elle le foudroya du regard, ce qui le fit encore plus rire.

-Que ça soit clair dans ta tête, déclara Kara hors d'elle, je ne coucherai pas  avec toi.

Le rire de Marco disparu et fit place à la colère.
-Qui ta dit que tu auras le choix ?

-Tu n'oseras quand même pas....

Elle laissa tomber sa fourchette et son couteau qu'elle tenait dans ses mains, elle n'avait plus du tous faim.

-Tu pensais que je t'ai emmenée ici pourquoi ? Voyons tu n'es quand même pas si naïve.

-Je ne te laisserai jamais me toucher.

Il la degoutait vraiment, c'était un être ignoble, elle le méprisait.

Il se pencha sur la table, si près que son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien.

-Tu ne peux pas m'en empêcher, tu ferrais bien de t'y résigner teroso.

Alors elle decida de lui dit la seul chose qu'elle savait qui l'affecterait.

-Tu n'as pas honte de vouloir mettre dans ton lit la femme de ton frère ?

Sa nique eut l'effet escompté. Il blêmit, son visage se transforma en rage il serrer si fort son point que le verre qu'il tenait se fracassa dans sa main lui entaillant la paume. Fou de rage, il souleva la table et la renversa. Sa respiration était saccadée. Kara tremblait de peur, elle regretta aussitôt de l'avoir provoqué. Il saignait énormément alors elle se leva instinctivement et l'attrapa sa main mais la repoussa avec violence et disparu de la maison.