Chapitres 9

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Kara ne le revit pas de toute la journée. Elle était allée un peu fort en lui disant ça. Son frère venait tout  juste de mourir c'était un sujet très délicat. Mais il avait été tellement odieux qu'elle avait voulue le faire taire. Et si je tentais de m'échapper ? Pensa-t-elle. Au village de île quelqu'un pourrait bien l'aider. Elle se décida d'abord de parler à Térésa. Celle-ci se trouvait dans la cuisine comme d'habitudes.

Lorsque Térésa la vit elle lui sourit.

-Besoin de quelque chose mon enfant ? Demanda Térésa

-Je voudrai vous parlez si vous êtes d'accord.

-Bien entendu. Parlez moi pendant que je fais mes petits gâteaux.

-Vous connaissez bien Marco ?

Térésa eut un sourire nostalgique.

-J'étais gouvernante dans la première maison où il avait été adopté. Et quand il s'est acheté sa première maison, je suis venue travailler pour lui. Son frère et lui étaient comme mes propres fils. Vous savez Marco ne veux pas que je travail, mais moi je veux continuer de lui mijoter ses petits plats préférés. Il est très malheureux depuis que son frère Paolo est mort.

Kara vit que Térésa aussi en était très affectée. Elle les aimaient énormément.

-Vous savez Paolo n'était pas un mauvais garçon, c'est juste qu'il avait de mauvais fréquentations. Marco était constamment derrière lui à réparer ses erreurs.

-Merci de m'avoir racontée tous ça.

Kara décida de présenter ses excuses à Marco quand il referait surface.

Marco était épuisé, il avait été toute la journée au village, il s'était occupée  de plusieurs façons. Il n'avait aucunement envie de revoir cette garce de Kara. Il la haïssait, comment avait telle put lui rappeler qu'elle était la fiancée de son frère. De quel droit osait-elle parler de lui alors qu'elle l'avait abandonnée sans scrupules. Elle avait intérêt à se cacher car s'il la croisait il ne répondrait plus de rien.

Il monta dans sa chambre, prit une bonne douche. Il sortit de la douche vêtu uniquement d'une serviette au tout des reins et fut stupéfait de trouver Kara devant la porte de sa chambre.

Kara avait entendue des pas et avait su que c'était Marco, elle avait longtemps hésitée avant de frapper à sa porte mais finalement elle eut assez de courage pour le faire. Il répondit pas, elle hésita encore puis ouvrit la porte, elle le chercha du regard quand elle le vit sortir dans l'embrassure de la porte attenante à sa chambre vêtu en tout pour tout d'une serviette au tout dès reins.

Immerse, redoutable, effrayant, le regard dur, beau comme un dieu  Marco la regardait d'une drôle de  manière qui eveilla des sensations étranges au creux de son ventre. Très vite son regard devint mauvais, perfide et Kara se dit qu'elle avait intérêt à déguerpir d'ici en vitesse.

-Qu'es ce que tu veux ? Grondait-il, elle était la dernière personne au monde qu'il désirait voir.

-Je.... Je voulais.....

Elle était complètement perdue face au regard ténèbreux de Marco.

Marco s'approcha lentement tel un prédateur, du regard il la déshabillait. Il arriva près d'elle et ferma la porte. Il l'attrape par le bras et la propulsa vers le centre de la pièce. Kara le fixait, les yeux obscurcir par la peur, il s'avança, elle recula et se heurte à l'immense lit à baldaquin qui prenait pratiquement tout l'espace. Elle regarda son torse musclé et sentit un long frisson parcourir son corps.

Soudain, il la prit par les épaules et l'attire vers lui, elle le repoussa machinement. Mais Marco la serra dans ses bras encore plus fort et l'embrassait dans le cou. Cruellement, il écrasé sa bouche contre celle de Kara. Elle se mit à débattre de toutes ses forces mais les bras en acier de Marco l'enserre sauvagement. Il reprit possession de ses lèvres avec violence pour qu'elle les entrouvrent. Kara refusa de céder, elle ne voulait pas qu'il l'humilie ainsi. Les larmes monta à ses yeux d'une brusque secousse, elle réussit à se libérer de ses bras et courue jusqu'à la porte pour s'enfuir mais Marco fut plus rapide. Il la rattrape et la jeta sur le lit. Elle sanglota, épuisée elle ne pouvait plus se battre contre lui. Il était beaucoup plus fort qu'elle.

-Je te hais, cria-t-elle entre deux sanglots.

-C'est parfait. Comme ça nous sommes quitte. Je te hait depuis le jour où mon frère m'a annoncé qu'il allait se marier et je te hait encore plus depuis le jour où j'ai su que tu étais avec lui le jour de son accident mortel que tu l'as laissée tomber.

En une minute,il réussit à déchiré sa robe et sa culotte, elle fut complètement nue sous lui. Morte de honte, elle ferma les yeux.

-Allons ne fait pas l'innocente, murmura-t-il, ça ne fonctionne pas le moins du monde.

Il se débarrassa de sa serviette et à la vue de son sexe tout dur et imposant, Kara ressentit une sensation qu'elle s'efforçait de refouler.

La vision du corps nue Kara sous le sien alluma un incendie dans le corps de Marco. Son souffle chaud caressait le cou de Kara, il l'embrassa de nouveau mais cette fois avec plus de tendresse, il la sentait s'abandonner dans ses bras. Il entreprit de caressé les pointes durcies des seins de Kara avec insistance. Il sonda son regard pour savoir ce qu'elle ressentait.

Elle se mordit la lèvres et baissa la tête pou fuir le regard de Marco. Mais il la tira par les cheveux et l'obligea à le regarder.

-Regarde-moi, as tu peur que je lis dans tes yeux à quels points tu me decider ? Lança-t-il.

-Tu es un monstre, je te déteste.

- Tu seras punie pour ton insolente teroso, susurra-t-il dans son oreille.

Il s'écarta légèrement pour contempler avec fascination les courbes du corps de Kara. Il l'attira plus étroitement contre lui, jusqu'à presser son sexe bandé contre son bassin, Kara réprime un gémissement de plaisir. Elle se refusait à ressentir du désir pour cet ignoble être. Les mains de Marco epousaient le galbe de ses seins et elle était gagnée par un vertige.

Marco regarda Kara et eut un sourire de triomphe. Elle ne pouvait pas le tromper il savait qu'elle le décidait autant que lui, la décidait.

Écartant ses cuisses sans douceur. Il fit glisser un doigt dans le cœur moite sa féminité. Kara se debattir pour l'en empêcher mais il la repoussa et la maintint bloquer sur le lit. Elle n'avait plus de force ses jambes tremblaient. Elle fut saisie spasmes lorsqu'elle sentit les droits de Marco en elle. Alors sans qu'elle puisse se retenir un gémissement s'échappa de sa bouche. Encouragé, Marco se baissa et remplaça ses doigts par sa langue. Kara se tortilla non pas pour s'échapper mais parce qu'elle voulait le sentir en elle. Sans serrer de promener sa langue en elle, Marco introduisit un doigt dans sa chair moite de désirs. Ses muscles se contractent, elle étouffa un cri avec ses mains elle n'en pouvait plus d'attendre.

Un instant plus tard, il s'allongea sur Kara pressant son sexe contre son ventre.

-Dis-moi que tu as envie de moi. Ordonna-t-il.

Kara détourna le visage. Il avait réussi a l'humilier et maintenant il voulait qu'elle le lui dit.

-Dit-le ! Cria Marco, la saisissante par le visage, la fonça de le regarder.

Des larmes de colère coulèrent sur ses joues.

-J'ai envie de toi.

Il l'embrassa dans un grognement sauvage. Puis sans plus attendre il s'enfonça profondément en elle.

Kara ignora combien de temps ils avaient fait l'amour. Brusquement, Marco se leva, son visage est fermé irradiait de colère. Elle se couvrit, horriblement honteuse elle n'avait espéré qu'après se qu'ils venaient de vivre, il serait moins en colère contre elle mais de toute évidence rien n'avait changé bien au contraire. Elle distingue l'éclat dur presque bestial de ses yeux dans la pénombre. Un monstre !

-Sors de cette chambre, dit-il.

Stupéfait, Kara resta figer sur place.

-Dégage, cria-t-il.

Il la tira par le bras, pour la forcer à se lever, elle n'eut juste le temps de se couvrir avec le draps, il la tira jusqu'à la porte qu'il ouvrit en grand. Et violemment, il la jeta hors de la chambre.

Tu As Kidnappé mon cœur (En Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant