Tu As Kidnappé mon cœur (En Réécriture)

Chapitres 14

Elle souhaite aborder le sujet pour lequel elle se trouvait dans cette situation.

Marco se rembruni automatiquement. Il la regarda droit dans les yeux. Dans ses yeux, il percevait qu'elle était sincère. Se pourrait il qu'elle regrette vraiment ? Quelle ait vraiment changée ? Non, impossible, c'était encore une ruse pour l'amadouer mais il ne marchait pas.

-Tu avoue enfin être responsable de sa mort. Accusa Marco.

-Je ne suis pas responsable de sa mort Marco.

Il fallait qu'il la croit, elle ferait tout pour qu'il la croit et qu'il cesser de la détester. Il est fiancé,alors elle ne pouvait espérer une relation avec lui, même si elle en mourait d'envie.

-Était-tu avec lui le jour de son accident ? Oui ou non ? S'exaspera Marco.

Que pouvait-elle répondre sans trahir son secret ? Il était hors de question qu'elle invente d'autres mensonges.

Ne sachant pas quoi répondre, Kara baissa les yeux vers ses pieds.

-Tu vois ! Tu n'as rien à dire. Parce que tu étais avec lui ce jour et que tu la abandonné. Tonna Marco.

Un éclair noir s'était allumé dans ses yeux. Sa bouche sensuelle avait prit une expression terrible. Il semblait torturé par une violence émotion. Elle croisa son regard et eut envie de le prendre dans ses bras pour le réconforter mais il l'aurait repoussée car sa colère et sa tristesse était contre elle.

-Qu'est ce que tu me veux ? Ne put s'empêcher de demander Kara.

Marco s'avança vers Kara avec un regard de prédateur.

-Tu sais pas ce que je veux ? Murmura-t-il contre son oreille. Je veux ton corps, ta sexualité débridée. Je suis certaine que pas mal d'hommes ont payés très cher pour goûter à ton corps. Tu es si jeune, séduisante.... Et tu aime le sexe. Alors tu vas payer avec ton corps.

Le temps qu'une seconde, Kara avait crut que Marco n'était pas si cruel qu'elle le pensait. La gorge sèche, d'une voix brisé et incrédule Kara murmura.

-Que fais tu de ta fiancée ?

-Cela n'est pas ton problème. Quand j'en aurai fini avec toi, je pourrais être avec une femme digne.

-Tu es inhumain, infect... Tu ne peux pas me désirér alors que tu me hais.

-Intellectuellement, sentimentalement, non. Mais pour le reste, je suis un homme ordinaire et en ce moment, tu es une sorte de tentation, irritante obsession que j'ai besoin d'apaiser. Heureusement, ces choses-là ne durent pas.

-Et si je refuse ? Que vas-tu faire ? Me violer ? Le defia Kara.

-Je sais comment te convaincre. En te payant grassement. A quelle somme entime-tu ton précieux corps ?

-Tais-toi ! Hurla Kara. Tu ne sais rien de moi, alors je t'interdis de me parler ainsi. J'ai n'ai nullement besoin de ton argent. Je gagne assez bien ma vie figure toi. Alors vas au diable avec ta maudits argent.

Marco éclata de rien, se qui poussa Kara dans une rage folle.

-Très impressionnant. Mais ne gâches pas tes talent de comédienne avec moi Kara.

-Tu es une ordure. Cria-t-elle au bord de l'hystérie. Je ne veux pas de toi.

-Ce n'est pas ce que j'ai cru entendre il y a une semaine, tu étais même transportée. Ironisa Marco. Il est un peu tard pour jouer indifférente.

Kara se détourna à demi, mais Marco la prit dans ses bras et l'obligea à le regarder.

-J'espère que tu as bien dormi pendant toute la semaine qui c'est écoulée. Car tu n'auras pas droit à beaucoup sommeil cette nuit.

A son grand désespoir, Kara trèssaillit,
parcouru d'un long frisson sensuel comme s'il lui avait déjà octroyé les caresses les plus intime. Comment pouvait-elle désire et aimer un homme aussi ignoble.

-Tu n'es pas humain, lui dit-elle alors qu'il commençait à la déshabiller. Bon sang, arrête, Térésa pourrait arriver à tout moment.

-Ne t'inquiètes pas ma douce,elle est allée faire des courses et ne sera pas de retour dans moins d'une heure. J'ai le temps de faire tous ce que je veux de ton corps de séductrice.

La jeune femme tenta de se blinder contre l'intensité des émotions sensuel qui l'assaillaient et d'écouter la voix de la raison. Mais une partie elle-même semblait si excite par homme qui se tenait à ses côté. Quand il se mit lui caresser doucement les seins, à y poser la bouche, elle se figea. D'un mouvement emporté et frénétique, elle tenta de l'écarter. Il était trop tard, ses lèvres s'étaient déjà emparée de la pointer d'un de ses seins. Elle s'empourpra, honteuse. Comment pouvait-elle desire Marco, quand il l'embrassait passionnément comme il le faisait en cet instant, elle ne peut qu'entrouvrir les lèvres pour mieux accueillir son baiser.

Alors que ses caresser douces et excitantes se faisaient plus hardies et sensuelle encore, qu'il s'aventura sur les territoires les plus intime de sa chair, elle tenta
Désespérément de dominer ses sens égaré. Mais, tandis que son esprit se révulsait à idée de s'abandonner, son corps, lui réagissait avec des transports violent, exprimait son exultation avec des gémissement de volupté. Ses larmes humectèrent les paupière de la jeune femme. Oh, comme il devrait la haïr, pour vouloir lui faire subir cela! Pourtant, si haineux qu'il fut, il ne le serait jamais autant elle même. La trahison de son propre corps était la chose la plus effroyante et la humiliant qu'il lui eut été donné de vivre

-Tu vois bien que tu en meure d'envie ? Susurre-t-il d'une rendu rauque par le désir.

-Non....... Répondit-elle dans un ultime sursaut de défi. C'est mon corps qui te désir, ma chair..... Parce qu'il n'est pas capable de te reconnaître pour ce que tu es réellement. Il ne connaît que l'excitation que tu procure. Mais mon corps, ce n'est pas moi tout entière Marco. Mon esprit et mon cœur ne veulent pas de toi, eux. Parce qu'ils savent ce que tu vaux

Elle poussa un cri lorsqu'il l'allongea sans douceur sur la table de la terrasse. Elle voulu preteste mais il lui empêcha en l'embrassant brutalement et en la pénétrant d'un coup "Ce n'était pas faire l'amour pensa Kara avec horreur, c'était une punition....." Oui c'était une lutte.

Presque aux mêmes instant son corps atteignit le plaisir intime, tandis que son cœur lui, sombrait dans des abîme de désespoir. Cela n'aurait pas dû avoir lieu..... Elle n'aurait pas dû éprouvée une telle sensation d'accomplissement, un tel plaisir avec un homme qu'il lui était interdit d'aimer et qui ne l'aimait pas. Elle se maudissait pour sa faiblesse.

Elle pleure humectèrent ses paupières. Marco la tenait encore dans ses bras inexplicablement..... Soudain figer par l'incrédulité, elle sentit qu'il promenait doucement ses lèvres sur sa peau sa gorge, sa joues, le coin de ses yeux clos. Il avait un souffle tiède et étrangement trouble, un signe que n'importe quelle autre femme aurait pu interpréter comme la preuve d'une émotion affective aussi forte que l'émotion sensuelle qu'il venait de montrer. Mais elle savait à quoi s'en tenir, elle. Il ne lui avait que trop signifie son antipathie et son mépris. Doucement, il la caressait toujours. N'était-ce pas la ce donc rêvait toute amante ? Que son compagnon continue à manifester sa tendresse.

-Sa suffit Marco. Cria-t-elle se dégageant pour se rhabiller en hâte. Tu as eu ce que tu voulais, que veux-tu encore ?

-Non, ce n'est que le début comme je te le disais, il y a quelques choses en toi qui me trouble et m'excite jusqu'au tourment.

Prenant ses jambes à son cou, Kara partit à toute allure se réfugier dans sa chambre.