Tu As Kidnappé mon cœur (En Réécriture)

Chapitres 16

Marco se leva, alluma la lumière et se mit à réchauffe plusieurs plats dans le micro ondes.

-Assieds-toi ! Ordonna-t-il.

Elle obéir.

Il aligna devant elle les différents plats qu'il venait de réchauffer.

-Manges. Ordonna-t-il encore.

Pour qui se prenait-il pour le parler ainsi ? Elle était bien tenter de refuser mais elle mourrait de faim. Alors l'obéit encore une fois et se mit à manger sans se soucier du regard moqueur de Marco.

- Je vois que tu avais faim ? Se moqua-t-il.

Il n'avait pas l'air fâché, il souriait  même. Kara l'aimait tellement quand il était ainsi. Hélas, ça ne durerait pas, il ne tardera pas à redevenir une brute.

Lorsqu'elle termina son assiette, elle se leva et Marco la prit par le bras. Il l'entraina à la terrasse.

L'heure de la confrontation était venue.

-Depuis quand as-tu des rendez-vous secret avec ce docteur ? Questionna Marco glacial.

Kara le connaissait déjà assez pour savoir qu'il n'allait pas tarder à rentrer dans une colère noire.

-C'était la première fois, je me promenais et l'aie rencontrer par hasard.

-Menteuse, s'enerva Marco, tu crois que je n'avais pas remarqué votre petite manège le jour de ta petite mésaventure ?

Kara s'enerva a son tout.

-Ça m'est égale. Je ne t'appartient pas, je suis libre de fréquenter qui je veux.

Elle savait qu'elle ne devait pas le provoquer car il savait être impitoyable.

-On est juste amis, rajouta-t-elle.

-Amis..... Quel genre d'amis, dis moi ? Lui as-tu proposé de te donner à lui ? De lui offrir tous ce qu'il souhaite en échange de quelques billets ? Peut-être même que tu lui as donner un avant goût ? Sait il que tu es capable de rendre un homme fou de désir comme tu l'as fais avec tant d'hommes ?

-J'en ai assez entendu, cria Kara. Laisse moi tranquille, laisse moi rentrer chez moi.

Sous l'effet de la colère, la respiration accélérer de Kara faisait se soulève sa poitrine, ce qui attira le regard de Marco.

Il s'approcha, elle recula. Jusqu'à ce qu'elle ce retrouve coincer contre le mur avec pour barrière les deux bras musclé de Marco de chaque côté de son visage.

-Tu ne peux pas partir. Chuchota Marco. Tu es mon esclave ne l'obli pas. Tu m'obsède et me rend fou. Je suis loin d'en avoir fini avec toi.

Sa main glissait vers les seins de la jeune femme et à son grande désespoir, elle sentit que son corps réagissait déjà.

-Tu vas m'obéir ? Demanda Marco dans un souffle.

Kara le détestait, elle se détestait, il la faisait du mal, mais elle en éprouvait du plaisir.

Elle n'avait jamais rien ressenti de tel. Elle avait l'impression d'être happée par un désir si sauvage qu'il en devenait presque douloureux, un désir qui ne pouvait trouver d'apaisement que dans la soumission absolue et avide aux caresses de celui qui l'eveillait. Ou était donc passer la force de rébellion dont elle aurait eu tant besoin ? Marco caressa son autre sein, en agaçant la pointe avec un sensualité consommée.

-Répond Kara.

-Oui Marco, je vais t'obéir.

Avec un sourire de triomphe, il l'embrassa avec fougue.

-Mets toi à genoux. Ordonna Marco.

Elle s'exécuta et il libéra son sexe puissant et raide. Elle avanca la main pour le toucher, referma les doigts autour de lui et se mit à le caresser, lui imprimant un petit mouvement de va-et-vient.

-Oui c'est ça...... Maintenant embrasse-le, ordonna-il, la voix rauque. Elle s'avança et pencha la tête vers son ventre. L'odeur de sa peau, mélange de santal et de musc, assaillit ses narine et fit s'accélère son pouls. Elle ouvrit la bouche, tendit sa langue et en donna un petit coup rapide sur son sexe dressé. Il avait un léger goût salé, plutôt agréable.

Encouragée par le gémissement que pousse Marco, elle le suça un instant puis descendit, absorbant peu à peu son membre dressé dans la douceur chaude et humide de sa bouche. Il poussa un grognement et enfouissant soudain les doigts dans ses cheveux, il la parqua violemment contre lui, s'enfonçant tout entier en elle.

Il bougea, l'encourageant a poursuivre. Et elle continua de le lécher, de le sucer avec de plus en plus d'assurance, de maîtrise. Libre d'agir à sa guise, elle l'aspiration en elle, explorant tout sa longueur, dans un voluptueux movement de va-et-vient, guidée par ses soupir, ses gémissement, enroulant sa langue autour de lui, goûtant la douceur légèrement salé de sa peau.

Brusquement, enfouit de nouveau les mains dans ses cheveux. Elle leva les yeux pour le regarder. Il avait renversé la tête en arrière, le visage en extase, les paupières closes. Et soudain, dans un long cri rauque, il explosa en elle.

Puis, il la releva et la prit contre le mur d'un mouvement brusque.

Il la serra dans ses bras quelques minutes, Kara se sentait si bien ainsi, blottie contre Marco. C'était la première fois qu'il était aussi tendre avec elle. Son cœur se goufla d'amour. Elle était prête à tout pour lui faire plaisir.

Subitement, elle sentit Marco se rembruni. Il la repoussa violemment.

-C'est ainsi que tu t'es offerte au docteur Bart ? Lança-t-il méprisant. Tu n'es qu'une garce.