25. Une interdiction au gout amère

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Je descendis les marches de ma maison les couilles aussi vide que mon esprit. J’étais détendue, je savais qu’Elia n’avait rien, qu’elle était en sécurité, et cela me convenait plus que bien. Mais arriver a mis chemin des escaliers, sa voix attira mon intention.

-Oh putain mais vous êtes qui ! S’écria-t-elle 

Lorsque je descendis un peu plus, je la vis muni de ses poing en l’air, le corps presque sèche de sa baignade improvisée. Elle était belle vêtue de mon caleçon et de son débardeur large qui lui arrivait à mis cuisses.  J’aurais aimé continuer à la relooker, mais quelqu’un se trouvait chez moi sans mon autorisation. Je sauta les quelques marches qui me rester pour atterrir dans le salon et me plaça devant Elia en prenant soin de la cacher dans mon dos. Qui sait ce qui pourrait arriver ? Mais lorsque je regarda la trentenaire devant moi, je me détendit rapidement. 

-Maria, je ne savais pas que vous deviez venir aujourd’hui.
-Bonjour monsieur. Votre mère m'a demandé de passer faire un peu de rangement.
-Maman…. Soupirais-je
-Si je dérange, voulez-vous que je repasse plus tard ? 
-Non, absolument pas. 
-Bien monsieur.

Je me tourna vers Elia et la découvrit perplexe. 

-Je te présente Maria, c’est la femme qui s’occupe de la maison.
-Oh, enchanté. Répondit Elia

Maria lui souria chaleureusement avant d’aller dans le local à balai. Mais je fis les gros yeux en pensant à ma chambre. Si elle toucher au putain de mouchoir qui son au sol… Misère.

-Maria ? Interrogeais-je 
-Oui monsieur ? 
-Ne faites pas ma chambre.

Elle me souria chaleureusement avant de répondre.

-Ne vous en faite pas monsieur, votre mère m'a parlé de vos obit, je ne juge pas. je porterais des gants en cas de besoin.

Ma mère ? Mes obits ? Je regarda Elia mal à l'aise et elle écarquilla les yeux.

-C’est pas ce que tu crois.
-Je ne crois rien ne t’en fait pas. 
-Vu la tête que tu te coltines, je crois bien que tu penses à quelque chose.
-Tu es chez toi, tu as bien le droit à une ou deux…
-Ne termine pas cette phrase. Ne laisse pas ce mot ignoble franchir tes jolies lèvres. 

Elle croisa les bras sur sa poitrine et je me maudis d’avoir eu l'audace de citer “Tes jolies lèvres”. Elles étaient jolies je l'avoue, mais cela aurait dû rester dans ma tête. 

-J'allais dire gaterie. Mais si tu préfères les branlettes, je comprends.

J’écarquilla les yeux avant de l’attraper par les hanches et de la jeter sur mon épaule. Elle grimaça avant de s’accrocher a moi comme une folle et je la déposa au bord de la piscine. Elle regarda l’eau derrière elle, muni de ses gros yeux. Elle s’empressa d'agripper mes avant bras et de juré.

-Ne fais pas ça je t’en prie. 
-Faire quoi ? ça ? 

Et sans prendre gare, je la poussa dans l’eau et elle m’embarqua avec elle dans sa chute. Je nagea jusqu'à la surface mort de rire avant qu’Elia ne fonce sur moi pour me couler. Elle essaya tant bien que mal de me faire passer la tête sous l’eau, mais rien n’y faisait. J’enroula mes bras autour de sa taille tandis qu’elle enroula ses jambes autour de mon bassin. Ses petites mains se déposèrent sur mes épaules et elle ricana timidement. Ma langue passa sur mes lèvres sensuellement. Ses yeux commencèrent a loucher sur mes lèvres tandis que je souria. Ses yeux étaient si beaux que j’aurais pu me laisser couler avec en prime une mort. Nos visages, comme s’il était aimanter, se rapprochaient encore un peu plus chaque seconde. L’une de ses mains logea dans ma tignasse brune et je souria lorsqu’elle tira dessus. Mes yeux glissèrent sur son cou quelques secondes, brisant notre contemplation. Son cou si beau et si doux. J’aimerais tellement le lécher, le sucer, y laisser ma marque de fabrique…. 

Aaron HarrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant